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25/10/2019

Mali : Le Président de la Plateforme PCC, Pr. Clément Dembélé face à la presse «Les 8000 fonctionnaires doivent tous déclarer leurs biens, sinon ils seront dénoncés publiquement»

Le président de la Plateforme contre la Corruption et le Chômage au Mali (PCC), Pr. Mahamadou Clément Dembélé a animé une conférence de presse, mercredi 23 octobre dernier, à son siège sis à Lafiabougou. L?objectif était de faire l?état de lieu de ses activités depuis le début de la création de ladite Plateforme et se [&]
25/10/2019

Mali : Troisième Réunion du Comité Technique Spécialisé sur l?Élevage, l?Agriculture, le Développement rural, l?Eau et l?Environnement.

Le Mali a élaboré un projet de plan stratégique 2019 -2025 d?éradication de la peste des petits ruminants. Ce plan a fait l?objet d?une première validation technique en rapport avec l?Organisation mondiale de la santé animale (OIE). Le Mali dispose d?une loi sur le bien-être animal. Les actions de sensibilisation sont des tâches quotidiennes. Dans [&]
25/10/2019

Mali : A Mopti, la journée des Nations Unies célébrée sous le signe de l?union et de la cohési

« Unis pour un Mali prospère », c?était le thème national de la journée des Nations Unies célébrée ce 24 octobre à Mopti sous la présidence du Gouverneur de région, le Général Abdoulaye Cissé en présence de la Représentante des Nations Unies à la cérémonie Fatou Dieng Thiam et du Coordonnateur humanitaire adjoint Johannes Van Der Klaauw. C?était [&]
25/10/2019

Mali : En vue d?aider les enfants talibés pour leur insertion sociale Abdoulaye Diabaté, Nafi Diabaté et Dj Solo aux côtés de l?Association Alegria

Dans le cadre de son projet de soutien aux enfants talibés, appuyé par le FAFPA, l?association malienne « Alegria » a organisé,  le samedi 19 octobre, une soirée Gala de bienfaisance à l?hôtel  Sheraton de Bamako. L?objectif était de mobiliser, dans le cadre d?une initiative pilote, des fonds auprès des partenaires, structures ou des particuliers, pour la [&]
25/10/2019

Mali : Grève de 48 heures des secteurs Banques, assurances, établissements financiers ? ? Une perte d?un milliard de FCFA par jour pour les seules banques ?, selon le secrétaire général du SYNABEF

La grève de 48 heures (24 et 25 octobre) déclenchée par le Syndicat national des banques, assurance et établissements financiers (SYNABEF) et la Fédération nationale du pétrole, commerce et banque (FENECAB) a été largement suivie. Un tour dans les Directions générales et agences de certaines banques a permis de constater une grande morosité de l?activité. [&]
25/10/2019

Mali : Nuit du Taman La 5ème édition placée sous le thème le ?Taman, un instrument de rassemblement et de cohésion sociale?

Les organisateurs de la 5ème édition de la nuit du Taman étaient face à la presse, le jeudi 17 octobre, à l?Institut Français du Mali. Objectif : expliquer le programme de l?événement 2019. C?était en présence du Directeur de l?Institut Français, Patrick Giraude, le Conseiller communal de Tominkorobougou, Mahamadou Kouyaté et l?artiste Yah Kouyaté. Dans [&]
25/10/2019

Mali : Opération de ratissage dans le gourma Une dizaine de terroristes neutralisés, des engins roulants et des armes saisis

Une dizaine d?assaillants ont été neutralisés lors d?une opération de ratissage dans la zone du Gourma. Cette opération menée, le 17 octobre dernier par des soldats maliens et français visait à maintenir la pression sur les groupes terroristes, notamment l?organisation Etat islamique du Grand Sahara (EIGS), dans ses zones refuges et difficiles d?accès, pour en [&]
25/10/2019

Mali : Protection et promotion de la diversité des expressions culturelles Le Mali prépare son premier rapport quadriennal avec l?appui de l?UNESCO

Le lundi 21 octobre, au Musée National du Mali, la ministre de la Culture, Mme N?diaye Ramatoulaye Diallo a procédé à l?ouverture des travaux de la rencontre de formation des membres du Comité de mise en ?uvre et de suivi de la Convention de 2005, au Mali, sur la protection et la promotion de la [&]
25/10/2019

Mali : Urgent-voici la liste d?orientation des élèves admis au DEF

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25/10/2019

Mali : insécurité au centre, enlèvement de 5 enseignants à Mopti

Ce vendredi 25 octobre 2019, dans la région de Mopti précisément à Korientzé dans la matinée, 5 enseignants ont été enlevés par des hommes armés non identifiés. Selon les informations, les assaillants auraient également détruit et incendier une bonne partie du matériel scolaire. Ces genres d?attaques sont de plus en plus fréquents dans cette zone. [&]
25/10/2019

Ghana : cinq millions de dollars pour le recensement de la population


Le gouvernement ghanéen a débloqué cinq millions de dollars (environ 25 millions de cedis) pour le recensement sur l'habitat et la population prévu en mars 2020.Le professeur Samuel Kobina Annim, statisticien de l'Etat a annoncé, jeudi à Accra, la nouvelle, lors de l'inauguration du Comité national de la communication, de l'éducation et du plaidoyer du recensement.
Selon le professeur Annim, le recensement de 2020 sera unique en son genre car, le pays est l'un des rares pays africains, à l'exception du Kenya et du Malawi, à mener un recensement numérique.
Il a déclaré que son institution a achevé la démarcation du pays en zones géographiques plus petites pour un recensement efficace.
Le Ghana avait effectué en 2010 un recensement portant sa population à un peu plus de 18 millions d'habitants.
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25/10/2019

Trottinettes et code de la route: les fabricants s?adaptent à une nouvelle donne


Les trottinettes entrent dans le code de la route avec de nouvelles conditions réglementaires et techniques, mais les fabricants et distributeurs français semblent plutôt préparés à cette mesure, attendue depuis longtemps.
Sans chambouler tout le marché, le décret de modification du code de la route publié vendredi impose plusieurs règles qui concernent tant les fabricants que les loueurs de trottinettes en libre-service.
Limitation de la vitesse des engins à 25 km/h dès la conception, obligation d'être équipé de freins et de feux, souscription à une assurance impérative, nouvelles règles de circulation: le décret clarifie la place des engins de déplacement personnels motorisés.
"Une bonne nouvelle", pour Dott. "Une très bonne chose" pour Trottix. Un "cadre législatif bénéfique", pour Altermove.
Ces acteurs du secteur interrogés par l'AFP saluent une réglementation attendue depuis longtemps, globalement satisfaisante et permettant officiellement à ces nouveaux véhicules électriques de circuler.
Les fabricants et distributeurs, qui étaient dans la confidence des discussions autour de cette réglementation, n'ont pas été pris au dépourvu et s'y étaient préparés.
Le concepteur français Trottix propose déjà des modèles de trottinettes tous conformes au décret. "La philosophie de notre entreprise est de fournir un véritable véhicule, donc le freinage est primordial et la vitesse de 25 km/h est largement suffisante pour la fonction de mobilité", explique à l'AFP Arnaud Lacreuse, le fondateur de la marque.
- Brider les trottinettes -
A l'inverse de Trottix, certains fabricants étrangers se vantaient de la puissance de leurs engins. Ecologic, distributeur du chinois E-Twow, déplore que "le cadre ne permette pas d'offrir un contexte pour les produits plus puissants", puisqu'il est interdit de posséder un engin conçu pour rouler à plus de 25 km/h.
Son patron, Carel Wijngaards, fait le parallèle avec les vélos électriques qui sont autorisés à rouler jusqu'à 45 km/h. S'il est d'accord avec une limitation globale à 25km/h, un cadre pour l'usage de trottinettes plus rapides sur des voies privées aurait été bienvenu d'après lui.
Les vendeurs ont prévu de se mettre aux normes et de proposer uniquement des véhicules bridés, mais le problème se pose pour les personnes qui ont déjà acheté une trottinette pouvant dépasser les 25 km/h. Même s'il respecte la limitation, le conducteur est passible d'une amende de 1.500 euros.
"Nous cherchons des solutions avec les fabricants pour proposer un service de bridage des trottinettes. Nous avions demandé, lors des consultations du ministère de l'Intérieur, une période de transition pour effectuer ces ajustements, malheureusement cela n'a pas été retenu", regrette Stéphane Baillet, directeur général d'Altermove, distributeur français de véhicule de mobilité douce. L'opération mécanique de bridage des engins devrait coûter entre 20 et 50 euros selon lui.
Côté location de trottinettes en "free-floating", la question de l'assurance s'est déjà posée et les interrogations ont été renforcées après plusieurs accidents mortels impliquant ces véhicules électriques, obligeant les opérateurs à prendre des mesures.
"Lorsque vous louez une trottinette Lime, vous avez une assurance civile générale et une assurance civile aux tiers, il suffit d'appeler le service client pour démarrer le processus", affirme Arthur-Louis Jacquier, directeur général de Lime France. Aucune clause ne concerne toutefois l'assurance dans les conditions générales d'utilisation du loueur, mais ces dernières "seront bientôt mises à jour", assure M. Jacquier.
Nicolas Gorse, le directeur général France de l'opérateur Dott, note un "régime des trottinettes aligné sur celui des vélos, logique et adapté". Concernant "les obligations de circulation, nous alertons déjà nos utilisateurs sur des règles de sécurité élémentaires", ajoute-t-il.
Concernant les autres règles imposées par le code de la route (notamment les dispositifs réfléchissants la nuit, l'âge des conducteurs, l'interdiction de monter à deux sur un engin) les loueurs vont inciter leurs usagers à les respecter, mais ne vont pas fournir de matériel supplémentaire. Charge maintenant aux utilisateurs de s'équiper dès samedi.
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25/10/2019

Algérie: « humiliés » par les propos de Bensalah, les Algériens en masse dans la rue


A la veille de l'expiration du délai de dépôt des candidatures pour l'élection présidentielle du 12 décembre, les Algériens ont manifesté massivement vendredi contre le pouvoir, aiguillonnés par des propos polémiques du chef de l'Etat par intérim.
Les rues du centre d'Alger étaient noires de monde pour ce 36e vendredi consécutif de contestation contre le "système" au pouvoir depuis l'indépendance de l'Algérie en 1962 et contre la présidentielle destinée à élire un successeur à Abdelaziz Bouteflika, poussé à la démission le 2 avril par les manifestations.
"Il n'y aura pas de vote", proclamait une pancarte portée par un manifestant.
Dessinée, une botte figurant le peuple, envoie le chef d'état-major de l'armée, le général Ahmed Gaïd Salah, homme fort du pays depuis le départ de M. Bouteflika, rejoindre le président par interim Abdelkader Bensalah et le Premier ministre Nourredine Bedoui dans une "poubelle de l'Histoire".
"Il y a beaucoup de monde dans les rues d'Alger", avec "toujours la même détermination", s'est réjoui Saïd Salhi, vice-président de la Ligue algérienne des droits de l'Homme (LADDH), présent dans le cortège algérois, qui s'est dispersé dans le calme en fin d'après-midi.
Entré mardi dans son 9e mois, le Hirak "se renforce au fur et à mesure que nous approchons de la présidentielle", a-t-il expliqué à l'AFP.
Désormais, selon lui, "un vrai bras de fer" est engagé entre le pouvoir, qui entend mettre fin à la crise avec le scrutin du 12 décembre, et le mouvement populaire qui refuse que M. Bensalah, le général Gaïd Salah et M. Bedoui, ex-fidèles de Bouteflika, organisent des élections.
- Candidats du "système" -
Faute de candidats, le pouvoir avait dû annuler un précédente présidentielle, prévue le 4 juillet pour clore les trois mois d'intérim constitutionnel de M. Bensalah.
Cette fois-ci, deux candidats issus du "système" ont déjà déposé leur dossier à l'Autorité nationale indépendante des Elections (Anie), nouvel organisme censé garantir la transparence et l'équité du scrutin.
Et cinq autres candidats ont pris rendez-vous avec l'Anie d'ici l'expiration du délai de dépôt des candidatures, qui expire samedi à minuit (23H00 GMT), selon l'institution.
Ancien ministre de M. Bouteflika, Azzedine Mihoubi a été le premier, mercredi, à déposer sa candidature au nom du Rassemblement national démocratique (RND), qui fut l'un des principaux soutiens du chef de l'Etat jusqu'à sa chute.
M. Mihoubi en a pris la tête après l'incarcération du très impopulaire Ahmed Ouyahia, trois fois Premier ministre de M. Bouteflika et visé par des enquêtes pour corruption présumée.
L'islamiste Abdelkader Bengrina, ancien ministre, a déposé sa candidature le lendemain, au nom d'El-Bina. Ce petit parti est membre d'une coalition islamiste, dont l'un des membres a été élu en septembre à la présidence de l'Assemblée nationale, grâce aux voix du RND et du Front de libération nationale (FLN) de M. Bouteflika, détenteurs de la majorité absolue.
- "Humiliation" -
Vendredi, les manifestants ont troqué la cible habituelle de leurs slogans --l'omniprésent général Gaïd Salah-- par l'effacé Abdelkader Bensalah.
Diffusées par la chaîne RT (ex-Russia Today), ses déclarations jeudi au président Vladimir Poutine, qu'il "tient à rassurer" sur la situation "sous contrôle" en Algérie et qui minimisent l'ampleur de la contestation, ont enflammé les réseaux sociaux algériens et le "Hirak".
"Les propos de Bensalah devant Poutine ont été ressentis comme une humiliation du Peuple et de l'Algérie", explique Saïd Salhi, de la LADDH.
En février déjà, au début du Hirak, les manifestants affirmaient avoir été poussés à descendre dans la rue par "l'humiliation" ressentie face à l'entêtement de M. Bouteflika, octogénaire affaibli par la maladie, à se représenter après déjà 20 ans passés au pouvoir.
Vendredi, des cortèges ont également réuni, sans incident, des foules importantes dans plusieurs autres villes du pays, selon les témoignages et images postés sur les réseaux sociaux.
Comme à Alger, les manifestants ont réclamé en outre la libération de la centaine de "détenus d'opinion", manifestants, militants ou journalistes, incarcérés depuis juin pour des faits liés au "Hirak".
Arrêtés respectivement mercredi et jeudi, le rédacteur en chef d'un quotidien local, Mustapha Bendjama, et un militant de la LADDH, Kadour Chouicha, ont été relâchés jeudi.
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25/10/2019

Le Sénégal-émergent veut s?appuyer sur une énergie de qualité durable (ministre)


Le ministère sénégalais du Pétrole et des Energies a dévoilé, vendredi à Dakar, la nouvelle Lettre de politique de développement du secteur de l'énergie (LPDSE) pour la période 2019-2023, un document notamment axé sur la vision globale du Plan Sénégal Emergent de « faire de l'énergie durable et de qualité le fondement » de l'émergence du pays, selon le chef de ce département ministériel Mouhamadou Makhtar Cissé.« Dans le secteur de l'énergie, la projection axée sur la vision globale du Plan Sénégal Emergent, c'est l'accès généralisé à une énergie durable et à un coût supportable pour les ménages et pour les entreprises. Cette vision globale doit nous pousser à faire de l'énergie le fondement de notre émergence », a notamment déclaré le ministre du Pétrole et des Energies.
La LPDSE, bâtie sur une énergie durable, de qualité, respectueuse de l'environnement et fondement de l'émergence du pays, a pour objectif global de renforcer l'accès de tous à une énergie en qualité et quantité suffisantes à moindre coût et durable.
Elle repose sur cinq valeurs (performance, transparence, durabilité, équité et égalité de genre) et est scindée en quatre orientations stratégiques. La première porte sur la sécurisation de la production et de l'approvisionnement du pays en énergie en quantité suffisante et au moindre coût.
La deuxième orientation devrait quant à elle garantir l'accès à l'électricité avec une qualité et une continuité de service à moindre coût et de façon durable, là où la troisième orientation stratégique devrait assurer l'accès des populations aux combustibles de cuisson.
La quatrième et dernière orientation stratégique devrait servir au renforcement du financement, de la gouvernance, de la régulation et du suivi-évaluation.
Les 4 orientations stratégiques de la LPDSE sont également subdivisées en huit programmes dont le premier est consacré à la promotion et à la sécurisation de la production locale de pétrole et de gaz.
Il est ainsi prévu la poursuite de l'exploration du bassin sédimentaire aussi bien dans l'onshore que dans l'offshore, la mise en place des préalables pour la transition vers la production du pétrole et du gaz local et l'élaboration d'une loi d'orientation sur la gestion et la gouvernance des revenus pétroliers et gaziers.
La définition du cadre légal, réglementaire et de régulation régissant le midstream et l'aval gazier et pétrolier, l'élaboration d'un plan directeur pour le pétrole et le gaz ainsi que le développement du contenu local accompagneront les programmes précités.
Le deuxième programme porte sur la sécurisation de la chaine d'approvisionnement du pays en hydrocarbures. Ce programme verra l'élaboration d'un schéma directeur de Développement de la logistique pétrolière et gazière, l'augmentation et la décentralisation du nombre de points d'approvisionnement en plus du port de Dakar ainsi qu'une augmentation des volumes de stockage en produits pétroliers et gaziers.
Une réhabilitation et une adaptation de la logistique de transport et de transfert des hydrocarbures, l'adaptation des spécifications techniques des hydrocarbures aux exigences de protection de l'environnement et de la création d'un laboratoire national de contrôle et de vérification des produits auxquels s'ajouteront la mise en à niveau technique de la Société africaine de raffinage et l'amélioration de son dispositif de production et de sa rentabilité, seront également mises en ?uvre.
Le troisième programme axé sur l'amélioration et l'optimisation du système d'offre d'électricité devrait entre permettre l'augmentation de la capacité de production avec un mix amélioré tenant compte du « gas to power »à l'effet de baisser le coût du KWh, et la lutte contre les pertes techniques et non techniques pour améliorer le rendement.
Les cinq programmes restant portent entre autre sur l'accès à l'électricité en milieu rural partout et pour tous, la promotion des énergies renouvelables, le développement de la maitrise et de l'efficacité énergétique, la promotion et la diversification des combustibles domestiques modernes et enfin la gouvernance la régulation du secteur énergétique.
Un dispositif de pilotage et de suivi-évaluation seront mis en place pour conduire la LPDSE dont le budget prévisionnel est estimé à plus de 4.000 milliards de FCFA.
Malgré le coût élevé du projet, le ministre du Pétrole et des Energies a invité les uns et les autres « à faire focus sur les projets » car, dit-il, « le défis majeur c'est de mettre l'accent sur le suivi et l'évaluation pour pouvoir obtenir les résultats ».
« Ma conviction est que les financements est le problème le moyen partagé dans les politiques économiques. Quand vous avez un bon plan, généralement vous avez un financement parce que ce n'est pas l'argent qui manque dans le monde, ce sont les bons projets parfois qui font défaut », a-t-il ajouté.
Mouhamadou Makhtar Cissé a par ailleurs plaidé pour certains programmes comme le biogaz, permettant de maitriser les risques sur l'environnement et la santé des populations mais aussi d'amorcer une petite économie au niveau des zones rurales.
A en croire M. Cissé, cela devrait leur permettre non seulement d'avoir du gaz pour la cuisson et l'éclairage et même de produire de l'engrais pour pouvoir améliorer les rendements de leur agriculture et même commercialiser cet engrais et avoir des revenus monétaires.
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25/10/2019

La Guinée lance son fonds de développement industriel


Le Premier ministre guinéen, Dr Ibrahima Kassory Fofana a lancé, vendredi à Conakry, le Fonds de Développement Industriel et des PME (FODIP), qui vise à promouvoir le développement industriel et de l'entrepreneuriat.« Le FODIP est un instrument innovant de renforcement de capacités des structures d'appui de l'écosystème entrepreneurial guinéen. C'est aussi une plate-forme qui mutualise les interventions afin de garantir une meilleure efficacité opérationnelle », a expliqué le Pm Fofana.
Selon lui, l'avènement du FODIP constitue une étape majeure dans le processus d'appui au développement du secteur industriel et des PME en Guinée.
« L'opérationnalisation du FODIP s'inscrit dans la dynamique des actions prioritaires du Gouvernement visant à créer des conditions favorables au développement du secteur privé », a ajouté le chef du Gouvernement guinéen.
Présent à cette cérémonie, le représentant de la Banque Africaine de Développement, Léandre Bassolé a estimé que le lancement du FODIP est important pour le secteur privé guinéen, dans un contexte de relance des unités industrielles destinées à la transformation des produits locaux.
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25/10/2019

Brexit: Johnson met la pression sur les travaillistes pour obtenir des élections


Le Premier ministre britannique Boris Johnson a exhorté vendredi le chef de l'opposition Jeremy Corbyn à se comporter en "homme" et accepter des législatives anticipées pour sortir le Brexit de l'impasse, en plein flou sur la date du divorce.
A six jours de la date-butoir actuelle, les Européens ont repoussé à la semaine prochaine une décision sur la durée du report qu'ils comptent accorder pour éviter une sortie sans accord porteuse de hauts risques économiques, en fonction de la situation à Londres.
Car Boris Johnson, sans majorité parlementaire pour accomplir sa promesse d'un Brexit le 31 octobre, veut organiser un vote lundi pour la tenue de législatives anticipées le 12 décembre. Il a besoin pour cela d'une majorité des deux tiers des députés et donc du soutien de l'opposition travailliste.
"Il est temps pour Jeremy Corbyn de se comporter comme un homme", a déclaré sur Sky News le dirigeant conservateur. Il a soutenu que sa promesse d'un Brexit au 31 octobre est "toujours possible". "Malheureusement, cela dépend de ce que l'UE va dire", a-t-il ajouté.
Jeremy Corbyn a réaffirmé jeudi soir que son parti ne voterait pas pour des élections tant que la menace d'une sortie sans accord ne serait pas écartée.
A l'issue d'une réunion des ambassadeurs des 27 vendredi matin, les Européens ont renvoyé la balle à Londres. Selon plusieurs sources européennes, une nouvelle réunion des ambassadeurs se tiendra lundi ou mardi pour décider de la durée du troisième report à accorder au Royaume-Uni pour une sortie de l'UE.
"Selon les évolutions au Royaume-Uni, on se donne jusqu'au début de la semaine prochaine", a indiqué un diplomate européen.
"Le travail va continuer dans les prochains jours", selon la porte-parole de la Commission européenne Mina Andreeva, tandis que le négociateur de l'UE sur le Brexit Michel Barnier a qualifié d'"excellentes" les discussions de vendredi entre les ambassadeurs des 27.
Un autre a précisé que mardi était une "date butoir informelle", deux jours seulement avant la date prévue du 31 octobre.
- "Enlisement" -
Sur le principe du report, tous les pays de l'UE sont d'accord. Il comptent prendre une décision sur ce sujet par le biais d'une procédure écrite, sans qu'il soit nécessaire de convoquer un sommet.
Concernant la durée, la plupart des pays semblent ouverts à un report de trois mois, au 31 janvier 2020, délai que Boris Johnson a été contraint de demander tout en s'y disant hostile, selon des sources européennes. La France a insisté pour avoir "de la clarté" sur les intentions britanniques avant une décision.
"C'est une chose de dire on aimerait faire peut-être des élections, c'est autre chose de dire elles sont organisées", avait souligné jeudi la secrétaire d'Etat française aux Affaires européennes Amélie de Montchalin.
Selon elle, il faut "des choses pas juste voulues, mais réellement actées". "On a besoin de savoir pourquoi on donne du temps. On sait que le temps tout seul n'amène à rien d'autre qu'à l'enlisement", a insisté Mme de Montchalin.
Un précédent accord de Brexit négocié fin 2018 par l'ancienne Première ministre Theresa May avait été rejeté trois fois par le Parlement.
Mardi, les députés britanniques ont entériné le principe du nouvel accord arraché il y a une semaine par Boris Johnson, mais ont voté contre le calendrier d'examen accéléré proposé par le dirigeant conservateur.
Il a alors annoncé qu'il suspendait l'examen de l'accord par le Parlement jusqu'à ce que l'UE prenne une décision sur un report de la date du divorce -un report auquel il est personnellement opposé.
Les derniers sondages donnent un avantage aux conservateurs sur les travaillistes en cas de législatives anticipées mais la situation politique est devenue très volatile trois ans après le choc du référendum sur le Brexit.
L'accord trouvé par l'UE et Johnson règle les conditions du divorce après 46 ans de vie commune et permet une sortie négociée assortie d'une période de transition courant au moins jusqu'à fin 2020.
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25/10/2019

A Bagdad sous les lacrymogènes, canette-masque à gaz et poubelle-étouffoir


D'un côté du pont al-Joumhouriya de Bagdad, les policiers rechargent leurs lance-grenades lacrymogènes. De l'autre, les manifestants préparent leur propre arsenal: bouteilles de soda, poubelles en plastique et des gants de jardinage.
Sous la pluie de gaz dont l'odeur âcre pique les yeux, le nez, la bouche et fait rapidement tomber en bord de route des manifestants suffocant, ces outils sont devenus leur plus précieuse protection.
Il y a ceux qui chassent les grenades pour les enfermer sous des poubelles en plastique et les empêcher de diffuser leur fumée blanche. Et il y a ceux qui enfilent leurs épais gants de jardinage pour se saisir des grenades métalliques avant qu'elles n'atteignent des manifestants.
- Distribution générale de soda -
Car dans la capitale, plusieurs d'entre eux sont morts entre le pont al-Joumhouriya et la place Tahrir, touchés mortellement par des grenades lacrymogènes et assourdissantes, ces projectiles brûlants qui explosent en vol, leur poids multiplié par leur forte vitesse.
D'autres, agiles, s'emparent des grenades pour les relancer en direction des forces de sécurité. Mais pour s'approcher autant des grenades, il faut avoir le nez et la bouche bien protégés.
Certains ont le visage en partie recouvert par des masques de peintres, généralement utilisés dans le bâtiment pour ne pas respirer les solvants.
D'autres ont fait preuve d'ingéniosité: une coque de plastique bricolée pour se couvrir le nez et en-dessous, recouverte d'un filtre de papier ... une canette de Pepsi!
Son propriétaire, pas peu fier, explique à l'AFP que "maintenant, si on me tire une grenade lacrymogène dessus, je vais un peu larmoyer, mais je ne vais pas suffoquer".
Car les manifestants sont unanimes, le soda américain est la meilleure arme contre le gaz lacrymogène. Ils s'en aspergent tous régulièrement les yeux ou le visage. Ou alors ils ont recours au jus de citron ou au lait, grands classiques des manifestations à travers le monde.
Vendredi, aux abords des manifestations, les journalistes de l'AFP ont vu des voitures arriver jusqu'aux blocs de béton qui bloquaient les accès à la place Tahrir.
- "Maintenant on sait" -
Là, leurs conducteurs déchargeaient des caisses de soda pour approvisionner les protestataires qui continuaient à pied. "Tenez, prenez ça pour nos frères les manifestants", lançaient certains, avant de repartir à l'approche des forces de sécurité.
Depuis jeudi soir, l'Irak en pleine crise sociale et politique, s'enfonce de nouveau dans la violence. Des manifestants ont été tués à Bagdad, la deuxième capitale la plus peuplée du monde arabe, et dans plusieurs provinces du sud de l'Irak.
Entre le 1er et le 6 octobre déjà, 157 personnes avaient été tuées, selon les autorités. Quasiment tous étaient des manifestants, dans leur grande majorité mortellement touchés par des balles à Bagdad.
Pour le retour des manifestations, les forces de sécurité, qui se savent l'objet de tous les regards après le chaos du début du mois, n'ont tiré dans la capitale que des grenades lacrymogènes et assourdissantes.
A l'issue d'une journée passée dans un nuage de fumée blanche et grâce à toutes les protections bricolées et les astuces que se donnent les manifestants entre eux, "maintenant on sait comment réagir au gaz lacrymogène", affirme un jeune Irakien.
"Mais quand ils se mettront à tirer à balles réelles, là on aura vraiment peur".
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25/10/2019

Erosion côtière: «Tout le littoral ivoirien est en danger» (Physicien)


Tout le littoral ivoirien est en danger et est sous la menace de l'érosion côtière, a affirmé vendredi à Abidjan, Pr Ochou Abé Delfin, physicien de l'atmosphère et Coordonnateur du Programme de gestion du littoral ouest-africain ( En Anglais WACA) pour la Côte d'Ivoire, un projet lancé dans le pays, il y a un an et dont l'objectif principal est de renforcer la résilience des communautés face à l'érosion côtière.«En 2011, il y a eu un raz-de-marée sur tout le littoral ivoirien parce que c'est la zone la plus menacée. Tout le littoral ivoirien est en danger. Il y a aussi les répercussions du changement climatique sur le littoral », a indiqué Pr Ochou qui s'exprimait dans un atelier de formation des journalistes sur la gestion de l'environnement côtier en Côte d'Ivoire.
« L'objectif principal de ce projet est de renforcer la résilience des communautés face à l'érosion côtière », a expliqué le physicien de l'atmosphère appelant à  une gestion intégrée de la zone côtière ivoirienne.
Selon lui, « l'instabilité politique ne permet pas d'avoir des choses à long terme. Ce qui nous tue». Auparavant dans une communication sur la gestion intégrée de la zone côtière dans le pays,  Pr Eric Valère Djagoua, océanologue et coordonnateur adjoint du projet WACA en Côte d'Ivoire a passé en revue les causes, les conséquences et les solutions pour lutter contre l'érosion côtière.
Abondant dans le même sens que Pr Ochou, M. Djagoua a soutenu que « la Côte d'Ivoire n'est pas épargnée par un tsunami comme en 1942 où la localité d'Assinie a été ravagée par ce phénomène ».  Il a conseillé que pour cela qu'il «faut passer à la gestion de ces zones qui est très importante pour notre économie ».
Dans la foulée, Pr Djagoua a rappelé que le littoral ivoirien a une population de 7 millions d'habitants, soit 30% de la population ivoirienne. De son avis, la gestion de la zone côtière est un « processus dynamique, continue destiné à promouvoir le développement durable ».
Pour ce faire, il a  proposé la combinaison de trois principes, notamment la concertation (au niveau régional, national et local), la coordination des actions et la bonne gouvernance. 
Pr Djagoua a conclu en énumérant plusieurs solutions pour réduire la menace de l'érosion côtière dans le pays dont la reconstitution des stocks halieutiques, la formation des acteurs et la sensibilisation des populations sur les questions de la zone côtière.
Le projet WACA est un projet régional qui regroupe six pays pour sa première phase que sont la Mauritanie, le Sénégal, la Côte d'Ivoire, le Togo, le Bénin et SaoTomé & Principe.
L'objectif général de ce projet est de renforcer la résilience des communautés et des zones ciblées de la zone côtière ouest-africaine. En Côte d'Ivoire, le projet  a été lancé en 2018 pour une durée de cinq ans (2018-2023) et d'un coût d'environ 16 milliards FCFA.
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25/10/2019

Des ministres en conclave à Abidjan pour adopter un schéma d?aménagement de l?espace UEMOA


Une réunion de haut niveau des ministres en charge de l'aménagement du territoire de l'Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA) s'est ouverte vendredi à Abidjan pour adopter le Schéma de développement de l'espace régional (SDER), a constaté APA sur place dans la capitale économique ivoirienne.Le SDER est un document « hautement stratégique » pour l'horizon 2040 avec entre autres pour objectifs d'assurer l'harmonisation des politiques nationales d'aménagement du territoire communautaire et fournir aux différents pays les orientations nécessaires pour la planification, la coordination et l'animation du développement régional.
 Pour Nialé Kaba, la ministre ivoirienne du Plan et du développement, cette réunion constitue un «élément important » pour le développement de l'espace de l'UEMOA.
Mme Nialé qui a présidé cette rencontre, a indiqué que ce projet SDER permettra aux pays de l'UEMOA de relever plusieurs défis relatifs à l'aménagement du territoire. Au nombre de ces défis, elle a énuméré entre autres, le développement des infrastructures, l'énergie, le transport, l'urbanisme et la sécurité.
«Ces défis sont multiples et multidimensionnels et traduisent l'impérieuse nécessité et l'intérêt qu'il y a pour nos États d'adopter un schéma commun et volontariste pour le développement spatial capable d'apporter des solutions appropriées », a-t-elle estimé, saluant la présence de ses collègues du Sénégal, du Mali, du Niger et de la Guinée Bissau.
Selon la ministre, ces solutions peuvent permettre entre autres de promouvoir le développement des infrastructures structurantes transnationales et promouvoir les pôles urbains, agricoles, industriels et de recherche.
« Le SDER permettra de prendre des mesures à moyen et long terme visant à accompagner les dynamiques régionales souhaitables, infléchir les évolutions non désirées et prévenir celles à venir afin de parvenir à un développement soutenu, mieux équilibré et durable de l'espace communautaire», a expliqué pour sa part, Paul Koffi Koffi, le Commissaire de l'UEMOA en charge  du département de l'aménagement du territoire et du transport.
M. Koffi a ajouté que la stratégie développée dans le SDER « devient un instrument qui devrait aider les Etats membres à la planification et à la programmation budgétaire sur la base d'un meilleur ciblage des actions de développement ».
Créée en 1994, l'UEMOA est une organisation ouest-africaine avec pour mission l'intégration économique de ses huit Etats membres que sont le Bénin, le Burkina Faso, la Côte d'Ivoire, la Guinée-Bissau, le Mali, le Niger,  le Sénégal et le Togo.
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25/10/2019

Tchad : 400 cas de cancers par an






La journée mondiale de mobilisation sociale contre le cancer dénommée octobre rose a été lancée officiellement ce 23 octobre 2019 à Moundou, chef-lieu de la province du Logone Occidental.

Placée sous le haut patronage de la Première Dame, Hinda Déby Itno, la cérémonie...






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25/10/2019

Afrique : Déby sollicite le soutien militaire et diplomatique de la Russie






Le président tchadien Idriss Déby s'est à nouveau insurgé mercredi contrel?intervention militaire de 2011 en Libye qui a engendré la déstabilisation de la sous-région et du Sahel, lors du sommet Afrique-Russie qui a eu lieu à Sotchi.Il a appelé la Russie à soutenir militairement...






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25/10/2019

Tchad : l?ADETIC veut rendre le domaine .td plus accessible






L?Agence de développement des TIC au Tchad a organisé jeudi à N?Djamena, un atelier national de validation des textes régissant le domaine .td.

L?ADETIC a été créé par la loi n° 12 du 14 mars 2014 pour répondre aux défis énormes et pluriels que le gouvernement du Tchad rencontr...






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25/10/2019

Doing Business 2020 : Deux pays d'Afrique subsaharienne parmi les meilleures progressions






WASHINGTON ? Les économies de l'Afrique subsaharienne continuent d'améliorer le climat des affaires. Selon l?étude Doing Business du Groupe de la Banque mondiale, la plus grande économie de la région, le Nigeria, obtient une place parmi les meilleures progressions mondiales de l?année aux côtés d...






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25/10/2019

Tchad : au Sila, les civils à nouveau priés de rendre les armes






Le préfet de département de Kimiti, Hassan Adoum Fouda, a tenu vendredi matin à la maison des jeunes de Goz Beida, une réunion de mobilisation sur le désarmement.

Plusieursresponsables dont le secrétaire général de la province de Sila, les forces de sécurité, les responsable...






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24/10/2019

Sudan revolution: Meet the 'Mother of martyrs'

Ahlam Khidir vowed to fight for her son after he was killed in an anti-government protest in 2013.
24/10/2019

L'Eurocamera chiede verità su Regeni

Critiche a repressione e restrizioni dei diritti in Egitto
24/10/2019

Egypt, Ethiopia agree to resume technical discussions on Grand Renaissance Dam

Egypt and Ethiopia#8217;s leaders agreed on Thursday to the immediate resumption of the work by a technical committee trying to agree on the operating terms of the Grand Ethiopian Renaissance Dam (GERD), an Egyptian presidency spokesman said,...
24/10/2019

Egypt, Ethiopia 'agree' to resume talks on massive Nile dam

Stalled technical discussions on Grand Ethiopian Renaissance Dam will restart, Cairo says after leaders meet in Sochi.
24/10/2019

Dr Diakalia Koné : « Je peux vous assurer que le travail d?orientation est terminé »


Plus de deux mois après les résultats du Diplôme d?études fondamentales (DEF) les orientations ne sont pas encore disponibles. Le Directeur général de la Cellule de planification et de statistiques de l?Éducation (CPS) explique à Journal du Mali les raisons de ce retard et assure que la proclamation est imminente.

Comment expliquez-vous le retard dans les orientations ?
Je voudrais vous rassurer, il n?y a pratiquement pas de problème. Seulement, quand on est responsable, on se donne les moyens de faire un travail qui va être globalement accepté par l?ensemble des acteurs. Pour ce faire, nous avons dégagé  des critères d?orientation afin d?aboutir à un processus accepté et validé par tous.
Le processus, dans son déroulement, a pu prendre du retard pour des raisons toutes simples. Nous avons d?abord commencé par recenser les établissements susceptibles de recevoir les élèves. En termes d?établissements secondaires privés, tous types confondus, nous dépassons aujourd?hui la barre des 2 500. Nous avons 98 808 élèves réguliers admis. Pour les affecter, il faut dégager des critères valables, pour sortir un produit qui ne sera pas contesté. Nous avons fait des missions d?évaluation des capacités d?accueil. 53 équipes ont été réparties dans tous les pôles académiques du pays. Cela a pris du temps.
Je peux déjà vous assurer que le travail est complètement fini et n?attend que le feu vert de la hiérarchie pour être publié.  
Pourquoi de telles évaluations cette année ?
Il y a trois ans, une liste des établissements évalués a été établie. Ils étaient éligibles trois ans. Deux raisons ont amené à cette nouvelle évaluation. En 2017, les orientations ont eu lieu sans tenir compte de la liste d?éligibilité de 2015 - 2016. Il y a eu une rupture. Ensuite, il y a cette année 300 nouveaux établissements. Il fallait donc s?assurer qu?ils pouvaient s?ajouter à la liste.
Quels sont les critères d?orientation ?
Il fallait tout d?abord orienter tous les élèves admis et remplir les 109 établissements publics à hauteur de leurs capacités d?accueil, qui ont été fournies par les académies. Vient ensuite la répartition du reste de l?effectif sur les privés éligibles. Le département procède à l?orientation en fonction de l?âge et de la scolarité. Le critère principal validé a été d?envoyer au lycée tous les enfants admis réguliers dont l?âge varie entre 12 à 17 ans. Ceux qui ont 18 ans vont au technique et professionnel, pour passer un BT et ceux qui ont 19 et 20 ans dans le même type d?établissements pour faire un CAP.
Propos recueillis par Acherif Ag Ismaguel
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© Alberico Barattieri 1989-2021 eccetto ove indicato diversamente