Sei a pagina 1699 |
|
18/10/2019
Mali: DIPLOMATIE MUNICIPALE DE LA GUINÉE : Aminata Touré à CologneLa maire de Kaloum est en mission du coté de l?Allemagne pour une conférence sur les droits des enfants. Occasion d?voir des échanges pour des partenariats à l?endroit de sa commune. Depuis le lundi 14 octobre 2019 , Mme Aminata Touré est en déplacement du côté de l?Allemagne. Précisément en Cologne pour une conférence mondiale [&]
|
18/10/2019
Mali : Politique culturelle du Mali: le Conservatoire tisse sa toileDans le cadre de la mise en ?uvre de la Politique culturelle nationale, le ministère de la Culture, à travers le Conservatoire des Arts et Métiers Multimédia Balla Fasseké KOUYATE (CAMM-BFK), a signé des accords de partenariat dynamiques avec des Associations culturelles et établissements d?enseignement supérieur artistiques du Danemark, d?Italie et de France. Fruits de [&]
|
18/10/2019
Mali : Sinko récidive !Au cours de l?émission dite ??via à vis?? de la radio « Peace FM » Moussa Sinko Coulibaly, bien que convoqué au Camp I pour des propos jugés atteindre à la sureté de l?état, a clamé haut et fort que le président IBK a enterré le pays. La récente double attaque perpétrée à Boulkessi et [&]
|
|
18/10/2019
Mali : Dialogue et réconciliation: comment l?arnaque est planifiée et exécutéeTout en ruse et en duplicité, le pouvoir récidive. Après le vote d?une parodie de Loi d?Entente Nationale, capitalisant cette expérience, par le biais d?une douce tyrannie emmaillotée dans le lange d?un Dialogue National Inclusif (DNI) qui semble partir en vrille, il impose de projet de réforme constitutionnelle. Une instrumentalisation d?un cynisme rarement égalé pour [&]
|
18/10/2019
Mali : l?OJPDM debout pour le dialogue national inclusifL?OJPDM (Organisation des jeunes pour la paix et le développement du Mali) a organisé une conférence de presse mercredi 16 octobre dans le but d?atteindre et sensibiliser plus de jeunes sur le dialogue national inclusif. L?OJ PDM est une association présente dans toutes les régions du Mali et dans le district de Bamako. Selon le [&]
|
|
|
18/10/2019
Mali: femmes et enfants victimes d?esclavage : Oumou Fofana explique son calvaireL?esclavage est très répandu dans les zones sahéliennes. Contrairement à la Mauritanie, au Tchad, au Niger ou au nord du Mali, ce n?est pas un groupe ethnique qui en asservit un autre dans la région de Kayes et dans le reste du sud du Mali. C?est un esclavagisme par ascendance, lié à l?hérédité, qui sapparente [&]
|
18/10/2019
Mali ? Université : faites votre pre-inscription icivoici le lien http://campusmali.ml/app/Candidatures.woa/wa/candidatureExterne
|
|
|
18/10/2019
Mali Urgent : découverte d?un réseau de vente d?armes de l?arméeUn Caporal de l?armée malienne à la personne de Mr TIMBELY de la DMHTA de Sevaré a volé et vendu plusieurs centaines darmes de guerre de la dotation de Famas à un réseau dans la région de Mopti. Après linventaire, on découvre quil a vendu : Plus de 400 PM, 15 mortiers, [&]
|
18/10/2019
Afghanistan : 62 morts lors d?un attentat dans une mosquéeAu moins 62 fidèles ont péri pendant la prière du vendredi dans un attentat contre une mosquée de l'est de l'Afghanistan, alors que les victimes civiles ont atteint de nouveaux records cet automne dans le pays. "Le bilan de l'attaque contre la mosquée est monté à 62 morts et 33 blessés", a annoncé le porte-parole du gouverneur de la province de Nangarhar, Attaullah Khogyani, via la messagerie WhatsApp. Son alter-ego de la police, Mubarez Attal, a confirmé le nombre de morts et fait état de 36 blessés. Selon M. Khogyani l'attaque a été menée avec "des explosifs qui avaient été placés à l'intérieur de la mosquée", située dans le village de Jaw Dara, dans le district d'Haska Mina. D'autres sources, dont une taliban, ont évoqué la possibilité d'une attaque au mortier. C'est le deuxième attentat le plus meurtrier de l'année en Afghanistan, après celui qui avait fait 91 morts dans un mariage chiite à Kaboul en août, revendiqué par l'Etat islamique. La mosquée, dont le toit s'est effondré selon plusieurs sources, "pouvait contenir jusqu'à 700 fidèles, mais en comptait 350 au moment de l'explosion", a dit à l'AFP Omar Ghorzang, un habitant de Jaw Dara. Aucun groupe n'a revendiqué l'attentat, mais les talibans ont "condamné cette atrocité dans les termes les plus fermes", en la qualifiant de "crime majeur", dans un message de leur porte-parole Zabihullah Mujahid. Il a fait porter la responsabilité de l'attaque "au mortier ou avec un explosif... sur les soldats de l'administration (gouvernementale) de Kaboul ou les combattants de Daech", l'acronyme du groupe Etat islamique (EI). - "Au milieu de la prière" - Les talibans et l'EI sont tous deux implantés dans le Nangarhar, province frontalière du Pakistan, où ils s'affrontent. Le district de Haska Mina, aussi appelé Deh Bala, est proche de cette frontière. "C'était une forte explosion", a raconté à l'AFP Haji Amanat Khan, qui habite la zone. "Le toit de la mosquée est tombé à la suite de l'explosion", a-t-il ajouté. Depuis son lit d'hôpital, Abdul Wahab, 24 ans, a raconté à l'AFP : "Nous étions au milieu de la prière du vendredi quand une grosse explosion est survenue et le toit de la mosquée est tombé". Dans un communiqué, Amnesty International a dénoncé un "crime de guerre". "Tuer de la sorte autant de civils en pleine prière est un crime de guerre", a déclaré l'ONG dans un communiqué, dénonçant une "escalade" de la violence dans ce conflit dont les premières victimes sont les civils. Jeudi, un rapport de l'ONU a déploré un nombre de victimes "sans précédent" depuis plus d'une décennie au troisième trimestre de l'année, l'Afghanistan continuant à s'enfoncer dans une violence "totalement inacceptable". Entre le 1er juillet et le 30 septembre, la Mission de l'ONU en Afghanistan (Manua) a recensé 1.174 civils tués et 3.139 blessés , d'après son rapport trimestriel. Le mois de juillet, avec 425 morts recensés, a aussi été le pire depuis une décennie. Les attentats visant des mosquées sunnites, le courant de l'islam dominant en Afghanistan, sont peu fréquents. En mai dernier un imam sunnite réputé, qui revendiquait son opposition aux talibans, avait été tué dans un attentat à la bombe visant une mosquée de Kaboul. Un fidèle avait également péri. Les lieux de culte chiites sont plus souvent ciblés, généralement par le groupe Etat islamique, qui est d'obédience sunnite et considère les chiites comme des infidèles. En juillet, l'EI avait ainsi revendiqué une attaque contre une mosquée chiite à Ghazni (Est), qui avait tué deux personnes. En août 2018, deux kamikazes en burqa s'étaient fait exploser dans une mosquée chiite de Paktia (Est), faisant 35 morts et 94 blessés. Trois mois plus tard, un autre kamikaze de l'EI avait actionné sa charge dans une mosquée bondée d'un camp militaire de la province de Khost (Est), tuant 27 soldats. L?article Afghanistan : 62 morts lors d’un attentat dans une mosquée est apparu en premier sur Journal du Tchad. |
18/10/2019
Des inondations font 29 morts au GhanaLe nombre de morts dans les inondations qui ont frappé la province ghanéenne du Haut-Est a atteint 29, selon les informations parvenues vendredi à APA.L'Organisation nationale de gestion des catastrophes (NADMO) a confirmé le nombre de morts par l'intermédiaire de son Coordonnateur régional, Jerry Asamani. Selon des informations antérieures, 20 morts et 19 blessés ont été répertoriés et environ 1.550 maisons endommagées après 12 jours de pluies torrentielles dans la même région. Les derniers chiffres indiquent que 1.225 maisons se sont effondrées complètement, tandis que 1.664 autres ont été endommagées. La NADMO a déjà commencé à mobiliser des ressources pour aider les personnes déplacées. L?article Des inondations font 29 morts au Ghana est apparu en premier sur Journal du Tchad. |
|
18/10/2019
Les raisons de la crainte des Gambiens des troubles en GuinéeLes Gambiens suivent avec inquiétude l'agitation politique meurtrière qui se déroule en Guinée voisine, après que le projet du président Alpha Condé de prolonger son mandat au pouvoir a provoqué au cours de cette semaine, des scènes de violente à Conakry principalement.Condé, élu pour la première fois en 2010, demande des modifications de la constitution qui lui devraient lui permettre d'aller au-delà de ses deux mandats reconnus par la loi fondamentale du pays, une tentative rejetée par l'opposition et les acteurs de la société civile qui mènent une campagne nationale de désobéissance civile à son encontre. Au moins neuf personnes ont été tuées dans des affrontements entre manifestants avec les forces de sécurité. De nombreux Gambiens craignent que les événements en Guinée incitent à une action de protestation similaire, menée par un mouvement qui a juré de renverser le président Adama Barrow en décembre prochain, date de la fin de son mandat de trois ans conformément à ses promesses. Un groupe de militants de la société civile se réclamant du mouvement « Three Years Jotna » s'est engagé à descendre dans les rues pour forcer le président Barrow à respecter sa promesse électorale de 2016. Barrow avait fait campagne en tant que candidat à la présidence, à la tête d'une coalition de partis d'opposition, promettant de quitter le pouvoir au terme d'une transition de trois ans, afin de préparer le terrain pour l'élection du prochain président du pays. Cependant, il semble revenir sur cette promesse et un mouvement déjà mis sur pied pour faire pression sur lui pour qu'il respecte sa parole menace de réagir. L'intention de Barrow de briguer un mandat complet de cinq ans est conforme à la constitution et ce qui reste de la coalition qui l'a mené à la victoire à la présidentielle contre Yahya Jammeh, dont la volteface dramatique après avoir concédé la défaite par les urnes avait plongé le pays dans une grave crise postélectorale. Tout au long de la semaine, les personnes qui ont appelé à la radio ont mis en garde les sympathisants du mouvement « Three Years Jotna », qui s'inspire de ce qui se passe en Guinée et pourrait déboucher sur des troubles en Gambie. « Cela fait seulement trois ans que nous sommes sortis d'une crise postélectorale et nous devrions savoir que ce qui se passe en Guinée n'est pas un exemple à suivre », a déclaré un correspondant qui avait requis l'anonymat. Un autre interlocuteur a déclaré que même si les Guinéens s'insurgent contre Condé pour sa tentative de s'accrocher au pouvoir, la dynamique politique en Gambie est différente. L?article Les raisons de la crainte des Gambiens des troubles en Guinée est apparu en premier sur Journal du Tchad. |
18/10/2019
La diversification des partenaires, une chance pour l?Afrique (député congolais)L'augmentation des partenariats, notamment dans le cadre du Sommet Russie-Afrique prévu à Sotchi du 22 au 24 octobre 2019, est une opportunité que le continent africain se doit de saisir afin d'accélérer son développement, a soutenu ce vendredi, dans un entretien accordé à APA, le député Lambert Mende.« L'Afrique n'a aucun intérêt à n'avoir qu'un seul partenaire qui lui dicte sa volonté. La Russie est donc en droit de marquer sa vision dans ses relations avec l'Afrique », a affirmé cet ancien ministre et porte-parole du gouvernement congolais. De l'avis de M. Mende, l'Occident, particulièrement l'Europe qu'il qualifie de « puissance du passé » n'a presque plus « rien à apporter à l'Afrique » mais se sert de ce continent immensément riche en ressources comme « une bouée de sauvetage ». Poursuivant, l'ex-ministre de la Communication et des Médias a souligné que « des puissances étrangères convoitent les potentialités et l'influence, aussi minime soit-elle, dans les institutions internationales de Afrique afin d'influencer le cours de l'histoire ». Partant de là, il a souhaité que les Africains vendent ces potentialités et cette influence « au plus offrant ». Evoquant la coopération avec la Russie, Lambert Mende a noté que ce pays de l'Europe de l'est a beaucoup à partager notamment dans le domaine de la formation des jeunes africains. Se définissant comme un « souverainiste », le porte-parole du gouvernement du président Joseph Kabila de 2007 jusqu'aux élections du 30 décembre 2018, a dénoncé les restrictions que des puissances occidentales veulent imposer à l'Afrique alors qu'elles n'ont plus grand-chose à lui proposer. L?article La diversification des partenaires, une chance pour l’Afrique (député congolais) est apparu en premier sur Journal du Tchad. |
18/10/2019
Destitution: l?enquête explosive contre Donald Trump en cinq pointsL'enquête en vue d'une rare procédure de destitution à l'encontre de Donald Trump s'est accélérée cette semaine au Congrès américain, avec une succession de témoignages et de documents. Les démocrates soupçonnent le président américain d'avoir abusé de son pouvoir en faisant pression sur l'Ukraine pour qu'elle enquête sur son rival politique, Joe Biden. Ils le suspectent en outre d'avoir conditionné l'octroi d'une aide militaire de plusieurs centaines de millions de dollars destinée à Kiev à ces investigations. Dénonçant une enquête "anticonstitutionnelle", la Maison Blanche refuse de coopérer. Sans parvenir toutefois à bloquer les auditions de témoins sous le coup d'assignations. En affirmant qu'il ne participera pas à l'enquête, Donald Trump pourrait alimenter un autre chef d'"inculpation", martèlent les démocrates: celui d'"entrave à la bonne marche du Congrès", qui avait justement été retenu contre le président Richard Nixon en 1974. Voici cinq points pour comprendre la procédure de mise en accusation ("impeachment"). - Appel Trump-Zelensky - Le 25 juillet 2019, le président américain s'entretient avec son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky, récemment arrivé au pouvoir. Après les félicitations d'usage, Donald Trump lui demande "un service": enquêter sur un mystérieux "serveur". Une requête découlant d'une théorie du complot selon laquelle l'Ukraine aurait piraté les e-mails du parti démocrate lors de la présidentielle américaine de 2016, et non la Russie comme l'a établi le renseignement américain. Puis il mentionne le candidat démocrate à la Maison Blanche Joe Biden, dont le fils Hunter a siégé au conseil d'administration du grand groupe gazier ukrainien Burisma. Lorsqu'il était vice-président, M. Biden a plaidé pour le départ d'un procureur ukrainien accusé par la communauté internationale de ne pas lutter contre la corruption endémique. Pour M. Trump, il cherchait en fait à éviter des ennuis à son fils. "Cela serait formidable si vous pouviez vous pencher dessus", dit M. Trump à M. Zelensky. - SMS diplomatiques - Kurt Volker, ex-représentant spécial des Etats-Unis pour les négociations ukrainiennes, fournit aux enquêteurs parlementaires une série embarrassante de SMS. Ils montrent, a minima, que Washington a demandé en juillet à Kiev d'enquêter sur les Biden comme condition préalable à une visite de M. Zelensky à la Maison Blanche. Et un échange, début septembre, entre le chargé d'affaires américain à Kiev Bill Taylor, et l'ambassadeur des Etats-Unis auprès de l'Union européenne, Gordon Sondland, touche au coeur des soupçons de pressions économiques. Je "trouve ça dingue de suspendre l'aide sécuritaire en échange d'un coup de main pour une campagne politique", dénonce Bill Taylor. Réponse de Gordon Sondland: "Le président a été très clair, pas de contrepartie, d'aucune sorte". - Témoignages au Congrès - Dans les sous-sols sécurisés du Congrès à Washington, les longues auditions à huis clos s'enchaînent. Des perles fuitent parfois. L'ex-conseiller à la Sécurité nationale John Bolton se serait notamment alarmé des efforts déployés dans ce dossier par l'avocat personnel de Donald Trump, Rudy Giuliani: "Une grenade dégoupillée prête à faire sauter tout le monde", aurait-il asséné, comparant ses agissements dans ce dossier, en compagnie du chef de cabinet de la Maison Blanche Mick Mulvaney, à des "manoeuvres de petits trafiquants de drogue". - La bévue de Mulvaney - Ce dernier a justement secoué l'enquête jeudi, au détour d'un aveu stupéfiant: Donald Trump a bien lié l'aide destinée à l'Ukraine à des considérations de politique intérieure. "A-t-il mentionné en passant (...) le serveur informatique du parti démocrate? Absolument, il n'y a aucun doute à ce sujet, c'est pour ça que nous avons gelé l'argent", a-t-il déclaré à la Maison Blanche. - Et maintenant? - Les démocrates veulent aller vite alors que l'élection présidentielle de novembre 2020 approche. Au terme de l'enquête, la Chambre, a majorité démocrate, devrait voter sur l'"impeachment", une sorte de dossier d'inculpation de Donald Trump. La procédure de destitution passerait alors au Sénat, à majorité républicaine, pour le "procès" du président. Le chef de la majorité Mitch McConnell aurait confié cette semaine aux sénateurs républicains qu'il entrevoyait un procès se déroulant entre fin novembre et Noël. "Aucune idée", cela dépendra de l'enquête, a rétorqué la présidente démocrate de la Chambre, Nancy Pelosi. L?article Destitution: l’enquête explosive contre Donald Trump en cinq points est apparu en premier sur Journal du Tchad. |
|
18/10/2019
Côte d?Ivoire/Présidentielle 2020: «C?est décidé, je suis candidat pour 2020» (Soro)L'ancien président de l'Assemblée nationale ivoirienne, Guillaume Kigbafori Soro a mis fin aux supputations sur son éventuelle candidature à la présidentielle ivoirienne de 2020 en affirmant dans une interview diffusée vendredi soir sur les antennes de la télévision internationale française France 24 que « c'est décidé je suis candidat ».« Il y a longtemps, j'ai beaucoup réfléchi à cette question qui m'a maintes fois été posée. C'est décidé je suis candidat... J'ai décidé de prendre mon destin en main. J'ai décidé de m'assumer et de faire cavalier seul», a dit M. Soro. « J'irai à la présidentielle avec le soutien du peuple de Côte d'Ivoire. C'est au seul peuple de Côte d'Ivoire de décider qui présidera à sa destinée. J'espère être le Guillaume Soro de Côte d'Ivoire et être élu président en 2020», a-t-il ajouté. Hormis sa candidature à cette élection de 2020, plusieurs sujets étaient au menu de cet entretien de l'ancien patron de l'hémicycle ivoirien dont son arrestation manquée à Barcelone ( Espagne) la semaine dernière, la nouvelle Commission électorale indépendante ( CEI), ses rapports avec le président ivoirien Alassane Ouattara, l'éventuelle rencontre entre lui et l'ancien président ivoirien Laurent Gbagbo en liberté conditionnelle à Bruxelles en Belgique, ses ennuis judiciaires... « J'ai des craintes pour la stabilité et la paix en Côte d'Ivoire. Tout le monde sait que cette CEI va brûler la Côte d'Ivoire », a estimé M. Soro relativement à la mise en place de la nouvelle CEI (institution chargée d'organiser les élections dans le pays). En ce qui concerne son arrestation manquée la semaine dernière à Barcelone, M. Soro qui a déjà déposé une plainte a indiqué que « la justice espagnole dira qui est derrière ». Quant à une éventuelle rencontre entre lui et l'ex-président ivoirien Laurent Gbagbo, l'ancien chef du parlement ivoirien a fait savoir qu'il « ne verrait aucun d'inconvénients » si M. Gbagbo était disposé à le recevoir. Il a d'ailleurs révélé que « nous avons des contacts par personne interposée ». S'agissant de ses rapports avec le président Alassane Ouattara, M. Soro a fait savoir « qu'au plan politique, je pense que la rupture est consommée puisque j'ai lancé mon mouvement. Mais au plan personnel et humain je continue à garder beaucoup de respect pour le président Ouattara ». M. Soro a conclu en annonçant son retour en Côte d'Ivoire la semaine prochaine. L?article Côte d’Ivoire/Présidentielle 2020: «C’est décidé, je suis candidat pour 2020» (Soro) est apparu en premier sur Journal du Tchad. |
18/10/2019
Inhumation du dirigeant chinois Zhao Ziyang, 15 ans après sa mortL'ancien secrétaire général du Parti communiste chinois Zhao Ziyang, qui avait été démis de ses fonctions après les manifestations de la place Tiananmen à Pékin en 1989, a été inhumé vendredi dans un cimetière à la périphérie de Pékin, près de 15 ans après son décès, a annoncé sa famille. Zhao, une figure respectée dans le milieu des défenseurs des droits de l'homme en Chine, est toujours un sujet sensible dans ce pays, où les commémorations à l'occasion des anniversaires de sa mort, le 17 janvier 2005 à l'âge de 85 ans, se déroulent sous une étroite surveillance ou sont carrément empêchées. Les médias officiels n'ont fait aucune mention de son inhumation et la recherche de son nom sur les réseaux sociaux n'a fourni aucun résultat. Sa famille a mis tout ce temps pour trouver une place dans un cimetière pour inhumer les cendres de Zhao Ziyang. "Aujourd'hui, nous sommes soulagés", a déclaré à l'AFP au téléphone son gendre, Wang Zhihua. "Après tant d'années et d'obstination, nous avons vraiment trouvé le soulagement", a-t-il ajouté, refusant de préciser pourquoi il a fallu tant de temps pour organiser l'inhumation des cendres de l'ancien dirigeant. La cérémonie d'inhumation de Zhao et de son épouse Liang Boqi a eu lieu dans l'après-midi. Des photographies du couple ont été exposées près d'une simple pierre tombale grise, sur laquelle leurs noms ont été gravés et surlignés à l'encre noire, selon des photographies diffusées par le South China Morning Post et la BBC. "Aujourd'hui, c'était uniquement pour la famille et les proches", a dit M. Wang, précisant que seules une vingtaine de personnes avaient assisté à la cérémonie, rejointes plus tard par d'autres. L'opposition de Zhao Ziyang à l'usage de la force militaire pour réprimer les manifestations en faveur de réformes démocratiques lui a valu d'être démis de ses fonctions après la proclamation de la loi martiale par le gouvernement et d'être placé en résidence surveillée pendant seize ans, jusqu'à sa mort. Zhao était également respecté par ses partisans pour les réformes économiques qu'il a mises en oeuvre dans les années 1989. Mais il n'a pas eu droit aux funérailles accordées aux anciens dirigeants chinois et a été sans cesse critiqué pour avoir pris le parti des étudiants. L?article Inhumation du dirigeant chinois Zhao Ziyang, 15 ans après sa mort est apparu en premier sur Journal du Tchad. |
18/10/2019
Côte d?Ivoire: Guillaume Soro se déclare candidat à la présidentielle de 2020"C'est décidé, je suis candidat pour 2020": c'est par ces mots que Guillaume Soro, ancien président de l'Assemblée nationale de Côte d'Ivoire, passé à l'opposition, s'est lancé le premier vendredi dans la course à la présidence, à un an du scrutin. L'ex-chef de la rébellion ivoirienne dans les années 2000 a ainsi officialisé sa candidature, lors d'un entretien à la radio RFI et la chaîne France 24, quelques jours après l'avoir annoncée à des partisans lors d'une réunion privée en Espagne. Une candidature qui est tout sauf une surprise: les analystes politiques, qui le disent populaire dans le pays, lui prêtaient une ambition présidentielle depuis des années. M. Soro, en voyage à l'étranger depuis plusieurs semaines, a précisé qu'il rentrerait "la semaine prochaine" dans son pays, pour y faire "une déclaration solennelle et officielle en terre de Côte d'Ivoire". "J'ai décidé de prendre mon destin en main, j'ai 47 ans, désormais je ferai cavalier seul", a expliqué Guillaume Soro, homme politique précoce qui a déjà une longue carrière derrière lui. Il a été ministre de la Communication au début des années 2000, Premier ministre - à 38 ans - de 2007 à 2012, avant de prendre la présidence de l'Assemblée nationale (2012-2019). M. Soro, qui n'est soutenu par aucun des trois grands partis ivoiriens, a lancé une nouvelle structure, Générations et peuples solidaires (GPS), dont il espère un succès équivalent à celui d'En Marche, lancé un an avant son élection à la présidence française par Emmanuel Macron. "Quand Macron lançait +En marche+, toute la classe politique était unanime (pour dire) qu'il ne serait jamais président", a-t-il relevé. Depuis deux ans, plusieurs mouvements politiques le soutenant étaient apparus, sans que M. Soro n'admette publiquement son ambition. - "Craintes" pour la paix - Reste que ce natif du nord de la Côte d'Ivoire, chrétien, apparaît isolé sur la scène politique. Sa rupture avec le président Alassane Ouattara, dont il fut le plus puissant allié, lui a coûté son poste à l'Assemblée nationale en janvier. "Au plan politique, la rupture est consommée" avec M. Ouattara, a admis Guillaume Soro, dont on dit qu'il avait espéré que le président ferait de lui son dauphin. M. Ouattara reste d'ailleurs mystérieux sur ses propres intentions pour 2020. "En politique, les promesses n'engagent que ceux qui y croient", a rappelé M. Soro, citant des mots attribués à l'ancien ministre français Charles Pasqua. Dans ses relations avec l'opposition, M. Soro n'apparaît pas non plus au centre du jeu. Le Parti démocratique de Côte d'Ivoire (PDCI) de l'ancien président Henri Konan Bédié a lancé une plateforme de ralliement de l'opposition en vue de la présidentielle de 2020, qu'il entend bien mener. "Avec le président Bédié (qui n'a lui non plus toujours pas fait connaître ses intentions personnelles pour 2020), nous avons longuement discuté. Au second tour, nous nous mettrons d'accord pour soutenir le mieux placé", a assuré Guillaume Soro. Quant à l'ex-président Laurent Gbagbo, fondateur du Front populaire ivoirien (FPI), M. Soro ne l'a toujours pas rencontré depuis sa libération. M. Gbagbo vit à Bruxelles depuis son acquittement par la Cour pénale internationale de crimes contre l'humanité, en attendant l'examen de l'appel formulé par la procureure. "Nous avons des contacts par personne interposée", "je suis disposé à le rencontrer", a dit M. Soro. D'autres embuches, de nature judiciaire, pourraient se dresser sur sa route. "Je ne vois absolument pas de raison pour que la justice (ivoirienne) m'empêche d'être candidat", a cependant déclaré M. Soro, balayant toutes les affaires le concernant. L'ex-président de l'Assemblée s'est par ailleurs montré inquiet sur le processus électoral de 2020, alors qu'une nouvelle commission électorale a été mise en place en septembre. "Tout le monde sait que cette CEI (Commission électorale indépendante) est aux ordres (du pouvoir). J'ai des craintes pour la stabilité et la paix en Côte d'Ivoire", a-t-il lancé. Dix ans après la crise post-électorale de 2010-2011 qui avait fait 3.000 morts, la prochaine présidentielle d'octobre 2020 s'annonce tendue en Côte d'Ivoire. Les élections municipales et régionales de 2018 avaient été marquées par de nombreuses violences et des fraudes. L?article Côte d’Ivoire: Guillaume Soro se déclare candidat à la présidentielle de 2020 est apparu en premier sur Journal du Tchad. |
|
18/10/2019
Le frère du président hondurien reconnu coupable de trafic de drogue à New YorkLe frère du président hondurien Juan Orlando Hernandez a été reconnu coupable de trafic de cocaïne par un jury new-yorkais vendredi, une décision immédiatement dénoncée par le dirigeant hondurien alors que l'opposition appelait à des manifestations pour réclamer sa démission. Après deux semaines d'un procès où les nombreuses accusations de pots-de-vin ont plongé le gouvernement hondurien dans l'embarras, les 12 jurés du tribunal fédéral de Manhattan ont reconnu Tony Hernandez coupable des quatre chefs d'accusation contre lui, dont trafic de drogue, faux témoignage et possession d'armes à feu. Le frère du président hondurien, un ex-député de 41 ans, devrait connaître sa peine lors d'une audience fixée au 17 janvier 2020. Emprisonné aux Etats-Unis depuis son arrestation à l'aéroport de Miami en novembre 2018, il risque désormais la prison à perpétuité. Le président Juan Orlando Hernandez, ou "JOH", a immédiatement dénoncé ce verdict, en son nom et au nom de sa famille, dont plusieurs membres étaient au tribunal lors de l'annonce du verdict. "J'ai appris avec une grande tristesse la nouvelle du jugement new-yorkais", a réagi sur Twitter ce dirigeant qui s'est montré un partenaire privilégié de Donald Trump. "Que peut-on dire d'une condamnation basée sur des témoignages d'assassins reconnus?" "Au nom du gouvernement du Honduras et de ses institutions, nous rejetons les versions fausses et irresponsables qui cherchent à salir le nom du Honduras à l'origine de ce jugement", a-t-il ajouté. Mais l'opposant et ex-président de gauche Manuel Zelaya, renversé par un coup d'Etat en 2009, s'est lui félicité sur Twitter que "la justice nord-américaine ait révélé le réseau de trafic de drogue et de corruption dirigé par l'Etat du Honduras". Il a appelé à une mobilisation nationale pour réclamer la démission du président. A Manhattan, des membres de la famille de Tony Hernandez, qui étaient au tribunal pour l'annonce du verdict, ont été accueillis à leur sortie aux cris de "Dehors JOH!". - "Impunité totale" - Lors du procès, le procureur fédéral avait affirmé, témoignages d'ex-trafiquants à l'appui, que Tony Hernandez était impliqué dans le trafic de cocaïne depuis 2004 au moins, opérant "avec une impunité totale" grâce à la protection de son frère, contribuant à "pourrir les institutions du Honduras". "L'accusé était protégé par l'actuel président (du Honduras), qui a reçu des millions de dollars de pots-de-vin de narcotrafiquants, dont (Joaquin) Guzman +El Chapo+", avait déclaré le procureur dès l'ouverture du procès le 2 octobre. Quelques jours plus tard, Alexander Ardon, ex-narcotrafiquant et ex-maire hondurien, avait notamment témoigné à la barre avoir assisté en 2013 à une réunion lors de laquelle le puissant co-dirigeant du cartel de Sinaloa aurait remis un million de dollars en espèces à Tony Hernandez, une somme destinée à la campagne électorale de son frère. Le président hondurien avait qualifié ces accusations de "fausses à 100%, absurdes et ridicules", mais elles avaient suscité des appels à sa démission et des manifestations au Honduras. L'avocat de la défense, Omar Malone, avait lui mis en doute la crédibilité des témoins à l'origine de ces accusations, pour la plupart des ex-narcotrafiquants parfois reconnus coupables d'assassinats. Et fait valoir que la seule évocation du célèbre narcotrafiquant mexicain El Chapo ne pouvait remplacer l'absence de preuves matérielles. Mais ces arguments n'ont visiblement pas ébranlé les jurés, qui ont rendu leur verdict de culpabilité vendredi après moins de deux jours de délibérations. L?article Le frère du président hondurien reconnu coupable de trafic de drogue à New York est apparu en premier sur Journal du Tchad. |
18/10/2019
Tchad : un nouveau chef de canton installé au SilaLe nouveau chef de canton de Koukou Angarana, dans le département de Koukou, province de Sila, Mahamat Brahim Birke Bakhit, a été installé mercredi. Il a été nommé par le décret n° 1064 du 30 septembre 2019. La cérémonie s?est déroulée en présence de nombreux civils e... (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); |
18/10/2019
Tchad : la ministre de la Femme et de la Solidarité nationale à l?EstLe ministre de la Femme, de la Protection de la petite enfance et de la Solidarité nationale, Dr. Djallal Ardjoune Khalil, est arrivée ce jeudi soir à Abéché, chef-lieu de la province du Ouaddai. Accompagnée par des cadres et techniciens de son département, la ministre s'est rendue à l... (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); |
|
18/10/2019
Tchad : la Croix-Rouge vole au secours du Lycée d?HabbenaDepuis la reprise des cours, les élèves du lycée d'Habbena n'ont pas accès à leurs salles de classe. La cour du lycée est devenue un bassin de rétention d'eau. Le comité de la Croix rouge du Tchad a donné un coup de main en pompant l?eau. Les autorités scolaires n'ont plus de force qu... (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); |
18/10/2019
Tchad : la cartographie électorale lancée dans les provinces sous état d?urgenceUne mission de la CENI se trouve à Goz Beida, sous la supervision d?un délégué en charge des opérations de mise à jour des démembrements de la CENI au Sila. La rencontre de prise de contact a eu lieu ce jeudi, en présence de plusieurs participants, notamment les autorités provinciales... (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); |
18/10/2019
Tchad : 2 personnes sur 5 sont en sous-alimentationLe coordinateur des Nations Unis, Ste?phane Toull a appele? mercredi a? une action renforce?e et plus vigoureuse dans un pays comme le Tchad, pour lutter contre la faim. Cette action doit s?inscrire dans tous les secteurs, de la production, de la transformation et de la commercialisation d... (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); |
|
18/10/2019
Tchad : la CTDDH appelle à une issue favorable face au conflit à l?extrême-nordLa Convention tchadienne de défense des droits de l'Homme (CTDDH) a indiqué jeudi dans un communiqué que « des combats intenses avaient eu lieu le 16 octobre 2019 à 50 kilomètres de la localité de Yebibou. » Selon la CTDDH, « ces combats qui avaient opposé une colonne de l'armé... (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); |
18/10/2019
Tchad : après les violences, des appels au dialogue au TibestiLe parti Alliance nationale républicaine (ALNAR) a condamné vendredi dans un communiqué, « les violences meurtrières entre les forces gouvernementales et le comité d?auto-défense » dans la province du Tibesti. Le parti demande « l?arrêt immédiat des combats et propose l?ouverture d?u... (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); |
18/10/2019
Tchad : la ministre Ardjoune Khalil Djallal appelle à cultiver l?esprit de toléranceLa ministre de la Femme, de la Protection de la petite enfance et de la Solidarité nationale, Dr. Ardjoune Djallal Khalil est arrivée à Abéché ce samedi 17 octobre 2019. Elle a été accueilli à une dizaine de kilomètres à la sortie ouest d'Abéché par le secrétaire général de la provinc... (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); |
|
17/10/2019
How publicity-shy professor Kais Saied became Tunisia's presidentA former law lecturer seems an unlikely choice to win the hearts of young Tunisians voters who want jobs.
|
17/10/2019
Egitto: turista scala Piramide,arrestatoE' un europeo. L'anno scorso arrestata coppia danese nuda
|
17/10/2019
Ben Enwonwu: The Nigerian painter behind 'Africa's Mona Lisa'Ben Enwonwu, the painter behind "Africa's Mona Lisa", had a complex relationship with the UK.
|
Sei a pagina 1699 |