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31/10/2019

Marocco, a morte assassini turiste

Pena capitale anche per quarto uomo che aveva avuto ergastolo
31/10/2019

Ue, nessun piano per hot spot in Libia

Portavoce, 'non ci sono condizioni per consideralo paese sicuro'
31/10/2019

Nigeria's border crisis fuelled by rice

Nigeria has closed its borders bringing checkpoints to a standstill and affecting West African trade.
31/10/2019

Trump impeachment: House votes to formalise inquiry

The Democratic-controlled chamber approves a resolution formalising the impeachment inquiry process.
31/10/2019

The city wins ? but Egypt loses

REVIEW ?For Alaa. This would?ve been a better book if I?d been able to talk to you.? The dedication of Omar Robert Hamilton?s 2017 novel, The City Always Wins, is to his cousin mdash; the activist Alaa Abd El-Fattah mdash; who was in prison at the time of its writing and publication. Hamilton?s modesty comes across as sincere but, even without Abd El-Fattah?s input, his novel is a tour de force. Washington Post editor Phil Graham described journalism as the ?first rough draft of history?. This phrase springs to mind when I?m reading The City Always Wins (that is, if you delete ?rough?). Although it is a novel, it is imbued with the contemporary history of Egypt since 2011; a fictionalised...
31/10/2019

South Sudan expels AP journalist Sam Mednick

JOHANNESBURG ? South Sudan's Media Authority has revoked the press accreditation of Canadian journalist Sam Mednick in response to a recent story she wrote for The Associated Press. The AP stands by Mednick and her story. The South Sudanese officials withdrew...
31/10/2019

Inclusion féminine : La très longue marche


48ème et 159ème. Ce sont  les rangs qu?occupe le Mali respectivement sur le plan africain et mondial dans le classement des pays où il fait bon être femme, selon le « Women Peace and Security index », réalisé par l?Institut Georgetown pour les femmes, la paix et la sécurité, en partenariat avec National Geographic, publié le 15 octobre 2019. L?inclusion des femmes, l?un des principaux critères d?évaluation des pays sur lesquels se base le rapport, est à la traine au Mali. Même si des efforts sont déployés pour inverser la tendance, on est encore loin du compte.
À l?instar des autres pays du monde, le Mali  a adopté la majorité des conventions internationales visant à promouvoir l?égalité des sexes. Le pays n?est pas resté en marge de la lutte contre toutes les formes de discriminations à l?égard des femmes. Appuyées par le gouvernement, avec des projets et programmes financés avec ses partenaires, les organisations de femmes du Mali sont fortement engagées dans ce combat.
Mais, malgré ces efforts, force est de constater que peu de place est accordée aux femmes maliennes dans la gestion des affaires publiques. En dépit de l'égalité en droit du travail et d'accès à l?administration publique malienne, les femmes ne représentaient que 28,38% des fonctionnaires en 2011, selon la Cellule de planification statistique de l?INSTAT, avec une prédominance dans les secteurs sociaux.
Le Mali ne comptait qu?un préfet femme en 2011, six femmes sous-préfets en 2011 et 2012 et cinq femmes sous-préfets en 2013. De 2011 à 2013, sur 3 582 postes nominatifs, les femmes n?en occupaient que 378, 10,55% en 2011, 11,78% en 2012 et 11,67% en 2013.
Faible inclusion politique et économique
Elles sont seulement 9% des députés et aucune femme n?a jamais présidé l?Assemblée nationale du Mali. Elles ne dépassent pas 1% de l?ensemble des maires du pays. Et, dans le gouvernement actuel, 9 portefeuilles sur 38 sont détenus par des femmes, en dépit de la loi N°052 du 18 décembre 2015, qui stipule qu?à « l?occasion des nominations dans les Institutions de la République ou dans les différentes catégories de services publics au Mali, par décret, arrêté ou décision, la proportion de personnes de l?un ou de l?autre sexe ne doit pas être inférieure à 30% ».
« Pour réussir en politique, les femmes doivent s?appuyer sur le soutien de la famille, la contribution du parti politique, le soutien des membres du groupement, les activités de formation et d?information des partenaires techniques », déclare Mme Maiga Oumou Dembélé, Porte-parole du Cadre de concertation des femmes des partis politiques du Mali.
Selon l?Enquête permanente auprès des ménages (EPAM), réalisée en 2007 et qui a contribué à l?élaboration d?un « Plan National Genre » en 2011, 70% des femmes actives occupées avaient un revenu inférieur au SMIG contre 30% pour les hommes. En milieu rural, 74% des femmes avaient un revenu de 29 000 FCFA, contre 60% dans les villes et 52% à Bamako.
Selon la même source, 1,7% de femmes ne gagnait rien en termes de revenu à Bamako, 11,6% dans les autres villes et 10% en milieu rural, contre respectivement 2,1%, 10,9% et 8,8% chez les hommes.
À en croire le Bureau des soldes du ministère de la Fonction publique, en 2006 le salaire brut annuel des hommes dans la fonction publique était supérieur à celui des femmes : 86 838 466 452 FCFA contre 18 852 752 820 FCFA, soit un écart de 78%. Il serait principalement dû à la faible présence des femmes dans la fonction publique, où elles ne sont que 26%.
Dans le secteur privé, la situation de la femme malienne est aussi assez précaire, car 47,9% d?entre elles déclaraient en 2006 ne percevoir aucune forme de rémunération et seulement 4,6% avaient un emploi régulier, selon l?EPAM. Sur l?ensemble des emplois déclarés en 2006, seuls 7,32% étaient occupés par des femmes. Selon l?ANPE, sur la même période, 17,72% seulement étaient demandeuses d?emploi, ce qui démontre que les femmes sont toujours défavorisées en matière d?accès à l?emploi.
Causes multiples
La faible représentation des Maliennes aux postes de décision peut s?expliquer par plusieurs facteurs. Selon le rapport sur la représentativité des hommes et des femmes dans les instances nominatives de l?administration publique, datant de juillet 2015, l?explication de cette sous représentation tiendrait surtout à la persistance de représentations sociales très largement diffusées, qui rendent l?engagement politique et administratif au féminin difficile à penser et à admettre pour nombre de citoyens, pour lesquels l?image de la femme reste attachée à l?espace domestique alors que l?administration et la politique sont des activités « viriles ».
L?étude « Stratégie Genre du PNUD Mali 2018 - 2020 », réalisé en juillet 2018, met l?accent sur plusieurs problématiques, comme l?inégalité de situation et de position dans la famille et dans la société qui limite les capacités des femmes et entrave leur participation,  l?inégal niveau d?instruction, d?éducation et de qualification, la précarité de la santé de la reproduction des femmes et des adolescentes malgré la forte contribution des femmes à l?économie des ménages et à l?économie de marché.
La faible visibilité du travail des femmes et le faible accès aux bénéfices du développement, la  jouissance des droits et l?exercice des devoirs différenciés pour l?homme et la femme au sein de la famille et de la société, malgré l?égalité de droit établie par la Constitution et certains textes, ainsi que la  faible prise en compte de la multi-sectoralité du Genre sont également indexées dans l?étude.
« D?une manière générale, dans tous les secteurs, la proportion des femmes est faible. Les secteurs qui accordent le plus de postes aux femmes sont celui de la Santé, du Développement social et de la Promotion de la famille, avec 26,4% en 2015 contre seulement 3,6% du secteur de l?Administration générale. On constate que ce dernier taux est légèrement supérieur à celui de 2014 (26,1%) », lit-on.
Inverser la tendance
« Pour  assurer une représentativité effective des femmes, plusieurs facteurs doivent être pris en compte, dont l?adoption de mesures spécifiques Genre. L?image donnée à la femme par la société malienne est peu valorisante et les pesanteurs socioculturelles, toujours présentes, sont des facteurs de démobilisation », estime  Mme Maiga Oumou Dembélé.
C?est pourquoi la Politique nationale genre (PNG), principale arme du gouvernement pour rectifier le tir en matière d?inclusion féminine, s?est donnée pour vision de bâtir une société démocratique, garantissant l?épanouissement de toutes les femmes et de tous les hommes, grâce au plein exercice de leurs droits égaux fondamentaux, à une citoyenneté active et participative et à l?accès équitable aux ressources, en vue de faire du Mali un pays émergent.
Elle contient sept principes directeurs, six orientations stratégiques et dix-neuf axes d?intervention, dont la promotion de l?équilibre dans la représentation des femmes et des hommes dans les instances de décision, dans les postes électifs et administratifs au niveau national et dans les représentations du Mali au niveau sous-régional (CEDEAO, UEMOA), régional (UA) et international.
Mais pour réussir une plus grande inclusion des femmes, il faut aller au-delà de mesures « pour la plupart théoriques ». « Il faut un réel changement de mentalités, qu?on arrête de prendre la femme comme faite uniquement pour la maison. Étant donné que nous avons les mêmes droits à l?éducation que les hommes, il faut accepter que les femmes occupent des postes de responsabilité lorsqu?elles atteignent un certain niveau d?instruction », conclut Dr Marie-Thérèse Dansoko, point focal Genre du ministère de la Justice et des droits de l?Homme.

Quelques Chiffres
78% : Écart entre le salaire brut annuel des hommes et des femmes dans la fonction publique en 2006
9 : Nombre de femmes sur les 38  ministres du gouvernement actuel
378 : Nombre de postes nominatifs occupées par les femmes sur un total de 3 582 de 2011 à 2013
29 000 FCFA : Revenu de 74% des femmes en milieu rural en 2007
1,7% : Pourcentage de femmes à Bamako n?ayant gagné aucun revenu en 2007
5 : Nombre de femmes sous-préfets au Mali en 2011

Par Germain KENOUVI

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31/10/2019

L?inclusion des femmes dans la société est-elle suffisamment prise en compte ?


A la question "L'inclusion des femmes dans la société est-elle suffisamment prise en compte ?". Deux citoyens  ont répondu à la rédaction. Le débat reste ouvert tous. 


Kadiatou Kanté, stagiaire en journalisme

Oui, les femmes jouent un rôle majeur sur tous les plans (économique, entrepreneurial, politique...). Tout le monde s'entend pour dire que c'est un enjeu crucial. Pour des raisons humaines et en conjonction avec les valeurs et l'éthique de nos sociétés, mais aussi pour des raisons qui devraient convertir les plus traditionalistes: une meilleure place des femmes en entreprise relève aussi d'une saine stratégie et d'une meilleure performance d'affaires. Ce défi est encore trop peu soutenu et partagé par les hommes. Aujourd'hui, nous constatons que l'inclusion de la femme est bien perçue. Nous voyons des femmes chefs d'entreprises, non par nomination mais par leur projet. Au niveau politique, un pourcentage a été  voté pour les femmes dans le gouvernement.

Djenebou Keita, chargée de communication

La question de l'inclusion des femmes au Mali reste une question non épuisée, malgré les efforts fournis. Il faut le dire, les femmes ne sont pas encore suffisamment représentées et n'ont pas toujours l'occasion de s'exprimer sur des sujets qui normalement les impliquent. Il est vrai que les choses connaissent une évolution depuis quelques années. Si on fait une rétrospective, on verra rapidement qu'il y a beaucoup de femmes qui entreprennent et qui trouvent le moyen de s'intégrer et de remplir pleinement leur rôle de citoyennes. Mais le Mali occupe une place non désirée parmi les pays africains qui ont des politiques de promotion de la femme. De plus, nous sommes dans un système patriarcal qui ralentit considérablement la prise en compte des droits de la femme en tant qu'être humain, femme et citoyenne.
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31/10/2019

Découverte des gisements offshore: Le Sénégal veut être opérationnel d?ici 2022 à 2026


Lorsqu?il est question de zones gazières émergentes, tous les regards se tournent vers la côte de l?Afrique de l?Est et notamment vers le Mozambique, mais cela pourrait bien changer sous peu. Si le Sénégal ne compte pas, pour le moment, parmi les principaux producteurs de pétrole et de gaz du continent, le pays prévoit de les rejoindre dans les années à venir. À la suite de découvertes notables en eau profonde, la nation d?Afrique de l?Ouest devrait devenir au cours de la prochaine décennie une zone névralgique pour les clusters de GNL à coût relativement faible.
Le Sénégal, où du pétrole a été découvert en 1961, s?attend à ce que tous ses projets offshore deviennent opérationnels d?ici 2022 à 2026. Selon le Fonds monétaire international, entre 2014 et 2017, des réserves pétrolières et gazières s?élevant à plus d?un milliard de barils de pétrole et à environ 1 100 milliards de m3 de gaz ont été découvertes ? à partager, en majeure partie, avec la Mauritanie. Actuellement, deux vastes gisements sont en cours de développement : le champ SNE confié à la société australienne Woodside Energy, et le projet Greater Tortue Ahmeyim développé par la co-entreprise BP/Kosmos Energy.
La Tortue avance à toute allure
BP a pris sa décision finale d?investissement (FID) dans le cadre du plan FLNG Mauritanie-Sénégal, à la fin de l?an dernier. Le projet Greater Tortue Ahmeyim LNG fournira environ 2,5 millions de tonnes de gaz par an à partir de 2022. Des plans d?expansion sont prêts concernant un hub gazier à Yakaar-Teranga et un autre à Birallah. Le puits Orca, qui devrait être inauguré en octobre, devrait soutenir le hub de Birallah et la première phase fournira du gaz domestique et des données aux producteurs. Le Sénégal a lancé un plan de développement en 2014 et, selon la société Kosmos Energy, il devrait être soutenu par ces gisements gaziers offshore.
En septembre, Kosmos Energy et son partenaire BP ont confirmé que le puits d?évaluation Yakaar-2 avait rencontré environ 30 mètres de gaz net d?une qualité élevée similaire à celle du réservoir cénomanien du puits d?évaluation Yakaar-1, en continuité avec le taux de 100% de réussite des puits gaziers ciblant la tendance gazière onshore de la Mauritanie/Sénégal.
Selon Kosmos Energy, les résultats du puits prouvent que la base de ressources Yakaar-Teranga est de taille mondiale et pourrait soutenir un projet GNL qui fournirait des volumes significatifs de gaz naturel pour le marché domestique et pour les marchés d?exportation. Le développement du champ Yakaar-Teranga devrait se faire par étapes, la phase 1 fournissant du gaz domestique et des données qui permettront d?optimiser le développement des étapes suivantes. Il soutiendra également le « Plan Sénégal Émergent » lancé par le Président du Sénégal en 2014. Kosmos Energy a déclaré avoir l?intention de vendre sa participation dans le projet. La société cherche à différer ses coûts de développement pour se concentrer sur son expertise dans l?exploration.
Champ pétrolier en eau profonde SNE
Le champ pétrolier en eau profonde SNE est situé dans les blocs d?exploration Rufisque, Sangomar et Sangomar Deep, qui couvrent ensemble une zone de 7 490 km² dans la partie sénégalaise du bassin MSGBC. Il s?agit de l?un des champs pétroliers les plus vastes découverts au cours de la dernière décennie ; son développement a été confié à une joint-venture entre Cairn Energy (40%), Woodside Energy (35%), FAR (15%) et Petrosen (10%), Woodside Energy étant l?opérateur du projet.
Lors du forage des premiers puits en eau profonde au large du Sénégal en 2014, Cairn Energy a fait deux découvertes en bordure de bassin, dont le champ SNE, la plus grande découverte mondiale de pétrole en 2014. Depuis lors, la région a évolué, de bassin frontalier à zone pétrolière émergente, attirant ainsi l?attention de l?industrie mondiale. L'année dernière, des progrès importants ont été accomplis dans son développement, un certain nombre de jalons clés ayant été atteints. Woodside assume le rôle d?opérateur et la coentreprise cible une décision d?investissement finale au second semestre 2019, en vue d?une première extraction de pétrole en 2022.
Il est prévu que le champ soit développé au moyen d?un système de navires de stockage FPSO (Floating Production Storage Offloading) d?une capacité d?environ 100 000 barils/jour, avec 23 puits sous-marins et une infrastructure sous-marine de soutien. L?ensemble sera conçu de manière à permettre l?exécution des étapes ultérieures de développement du champ SNE, et comprendra des options d?exportation du gaz vers la côte et de futurs raccordements sous-marins à partir d?autres réservoirs et champs.
Au début de l?année, les bases techniques du projet ont reçu une approbation de principe et l?extension de la licence couvrant la zone de développement a été confirmée, de manière à permettre la conclusion du FEED et la finalisation des activités de financement en 2019 avant l?octroi de la licence d?exploitation.
« La région a maintenant évolué, passant du statut de zone frontière à celui d?opportunité émergente d'hydrocarbures, ce qui attire l?attention de l?industrie mondiale, a déclaré Eric Hathon, directeur de l?exploration chez Cairn Energy. Au cours des trois dernières années, nous avons mis en ?uvre trois programmes de forage sûrs et fructueux et jeté les bases d?un plan de développement en plusieurs phases. »
« Nous sommes déterminés à apporter au Sénégal des avantages sociaux-économiques, notamment la sécurité énergétique, des revenus, des emplois, le développement d?infrastructures et des investissements sociaux », a-t-il poursuivi. « Cairn Energy est convaincue que la découverte et le développement d?une production pétrolière durable profiteront largement à l?économie nationale et à la population locale. »
Cycle d?octroi de licences
Fort de ces succès, le Sénégal avait annoncé le lancement d?un deuxième cycle d?octroi de licences pour la fin octobre mais, en raison de problèmes politiques internes, celui-ci a été reporté jusqu?à la première journée de la conférence de l?Africa Oil Week au Cap. Le nouveau cycle d?octroi de licences, qui sera ouvert pendant six mois, a pour but de trouver des développeurs pour dix à douze champs offshore. La manifestation de cette année au Cap sera une excellente occasion d?en savoir davantage sur le Sénégal et sur les opportunités du prochain cycle d?octroi de licences. M. Mouhamadou Makhtar Cissé, ministre du Pétrole et de l?Énergie du Sénégal et M. Joseph Medou, directeur Énergie et Pétrole chez Petrosen, font partie des orateurs de l?événement.
Source: Africa Oil Week
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31/10/2019

Services publics: Représentativité des femmes aux instances nominatives


Représentativité des femmes au niveau des instances nominatives des services publics en chiffres.


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31/10/2019

Ecole d?automne de Bamako : la deuxième édition s?est ouverte à Kabala


  Du 28 octobre au 1er   novembre 2019,  l?Université des Lettres et des Sciences humaines de Bamako accueille la  deuxième édition de l?Ecole d?automne de Bamako 2019. L?ouverture de cet événement réunissant des chercheurs, universitaires et étudiants a été présidée par le ministre de l?Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, en présence de l?ambassadeur de France et des responsables des structures concernées. 
Les sciences sociales dans la crise. Pratiques de recherches et production des savoirs en situation de conflit.  Tel est le thème général de cette école d?automne de Bamako, organisée par le Laboratoire Mixte international Macoter.  L?événement était présidé par le Ministre de l?Enseignement supérieur et de la recherche scientifiques, l?ambassadeur de France au Mali, en présence du directeur de l?Institut de recherche pour le Développement(IRD),  des responsables du Laboratoire mixte international Macoter, des chefs d?institutions universitaires, etc. 
 Pendant cinq jours,  les chercheurs maliens et français débattront autour des trois panels et des ateliers pédagogiques sur chacun de ses panels. La directrice adjointe de LMI Macoter annonce dans une salle pleine des chercheurs et du monde universitaire le déroulement de cette session unique du genre au Mali. Pour elle déjà, la thématique entend  avant tout « questionner la production des sciences humaines et sociales en temps de crise et en particulier les pratiques de recherches de la production de savoirs réalisés dans les situations de conflits ». « Cette école se déroulera en trois temps. Un workshop international qui animera trois panels de haut niveau dont les communications feront l?objet d?une publication ; les 28, 29 et 30 octobre seront consacrées à des ateliers pédagogiques autours desquels les masteriens et doctorants encadrés par des formateurs s?approprieront et synthétiseront les communications des trois panels, et enfin, il y aura  le 1er novembre la restitution des travaux en ateliers sous la forme de trois notes conceptuelles qui rendent compte de trois panels », plante Dr Fatoumata Coulibaly directrice adjointe du LMI Macoter.  Ce Laboratoire regroupe 36 chercheurs et enseignants chercheurs dont 18 maliens. 
Le thème de cette édition de l?Ecole d?automne aborde la place des sciences sociales dans un pays en crise. Une problématique  qu?il convient de poser à un moment où le Mali depuis 2012 est ébranlée par une crise dite multidimensionnelle. Le terme ?? crise ?? est en effet beaucoup employé ces dernières années dans le registre sécuritaire. Alors que la situation que traverse le Mali apparaît également comme une crise sociale profonde.  Pour Dr Gilles Holder, codirecteur du Laboratoire mixte international Macoter « qu?elle soit explicitée ou euphemisée, qu?elle soit conjoncturelle, multidimensionnelle ou totale, la crise malienne touche avec une permanence historique aussi bien la société que ceux qui l?étudient ». L?anthropologue formule un certain nombre des questions auxquelles l?édition de 2019 va aborder pour tenter de répondre à l?exercice du métier de chercheur et comment transmettre à la société les résultats de ces recherches.  « Si les chercheurs ne réévaluent pas leurs pratiques, leurs pratiques à l?égard non seulement de la crise mais de sa permanence ou de sa récurrence alors qui va penser cela ? Peut-on vraiment penser à la crise malienne, c?est-à-dire la définir, la déconstruire et éventuellement proposer une relecture lorsque qu?on y est soumis au quotidien sans possibilité de s?en extraire intellectuellement ou lorsqu?on est au commande de l?action ? Est-ce que les sciences sociales dans la crise signifient que celles-ci  soient en crise ? », se questionne le chercheur. 
Quels impacts
Si les chercheurs en sciences sociales se voient  souvent discriminés par rapport aux chercheurs en sciences dures, l?impact de leurs productions est indéniable, surtout en temps de crise. « Dans la situation qui caractérise le Mali, les productions de savoirs sur la société pourraient apparaître à priori une ressource majeur pour éclairer les débats sur la résolution de la crise, les conditions de la paix etc. », souligne Dr Gilles Holder car poursuit ?il,  « le recours à la science permet en effet de proposer une lecture un peu différente de celle faite par le politique, le militaire, ou par l?expert à travers une analyse de la nature, de la forme, de l?historicité du contexte ».  
Pour le recteur de l?Université des sciences juridiques et politiques de Bamako, Dr Moussa Djiré, il revient aux chercheur de proposer aux décideurs ou à la communauté scientifique des pistes de solutions pour sortir de la crise, car très souvent on nous reproche ce que servent nos recherches », disait-il. Il a mis en relief la pertinence des thématiques qui seront traitées et les questions méthodologique, épistémologique, éthique et déontologique que soulève la recherche en temps de crise. Pour conforter l?utilité de la science et de recherche, il cite Averroès, philosophe et théologien du XII siècle, qui disait que  « l?ignorance mène à la peur, la peur mène à la haine et la haine à la violence ». 
Les personnalités présentent à la cérémonie, comme l?ambassadeur de France a magnifié la qualité du partenariat entre les institutions de recherches françaises et le Ministère  malien de l?Enseignement supérieur et de la recherche scientifique. « J?estime que l?action et la décision doivent se fonder sur des analyses rigoureuses » a fait savoir Joël MEYER. 
Pour encourager cette dynamique d?Ecole d?automne  dont la première édition a eu lieu en octobre 2018 à Bamako, le ministre de l?Enseignement supérieur et de la recherche scientifique,  Mahamadou FAMANTA, a mis l?accent sur l?importance des sciences sociales pour comprendre les situations de crise. Il a déploré les tueries qui sont intervenues au centre du pays entre peulhs et dogons, deux communautés qui ont vécu des millénaires ensemble. « Nous avons la conscience aiguë que les scientifiques des sciences sociales vont nous permettre de connaître les raisons  socio-anthropologique de ces conflit et les informations qu?ils vont donner pourront contribuer à la résolution de cette crise », espère-t-il.   
Acherif Ag Ismaguel 

 
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31/10/2019

Washington : Tenue des concertations du DNI cette semaine


Les concertations pour le Dialogue national inclusif se poursuivent. Celles de Washington DC auront lieu les 2 et 3 novembre prochains à l?ambassade du Mali. L?ambassadeur du Mali aux Etats-Unis, Mahamadou Nimaga, a invité les Maliens et les représentants des partis politiques résidant sur le sol américain à y participer. En amont, une série de rencontres ont eu lieu afin de préparer au mieux ce dialogue décentralisée. Sur sa page Facebook, l?ambassade a annoncé avoir tenu des échanges fructueux avec les partenaires du Conseil des Maliens de l?extérieur, du Conseil supérieur de la diaspora malienne (CSDM), des partis politiques et de la société civile. Ils ont permis de s?accorder sur les modalités pratiques d?organisation du Dialogue national inclusif aux USA, ainsi que sur la stratégie d?information et de mobilisation. Une affiche publicitaire sur laquelle les Maliens sont exhortés à s?asseoir et à discuter ensemble a été élaborée.
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31/10/2019

Armée de l?Air: Session ordinaire annuelle de l?Assemblée générale ce jeudi


La session ordinaire annuelle et statutaire de l?Assemblée générale 2019 de la mutuelle de l?aviateur s?est tenue le jeudi 31 octobre 2019 au foyer de l?Air de la Base Aérienne 100. Présidée par le Chef d?Etat-major de l?Armée de l?Air, le Général de Brigade Daouda Dembélé, cette session a regroupé les délégués mutualistes venus de toutes les Bases Aériennes de l?Armée de l?Air ainsi que les représentants des mutuelles des autres armes.
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31/10/2019

Mali : La Coupe d?Afrique des nations 2021 en danger?

Avec l?organisation de la Coupe du monde des clubs 2021 en Chine entre la mi-juin et la mi-juillet, la CAN pourrait être retardée de plusieurs semaines. Ce serait un coup dur pour la plus grande compétition continentale africaine. « La décision de la Fifa d?organiser la Coupe du Monde des Clubs au mois de juin signifie qu?ils sont [&]
31/10/2019

Mali : IBK : « la Russie est prête à répondre à la demande Africaine dans tous les domaines »

C?est le sentiment du président de la République, fraîchement, revenu de Sotchi, ville balnéaire de Russie où, il a pris part à la première édition du Forum économique Russie-Afrique et au sommet Russie-Afrique. C?était du 23 au 24 octobre derniers. L?objectif de ce sommet, auquel 47 Chefs d?Etat africains sur 54 ont participé, était de [&]
31/10/2019

Mali : Lutte contre la corruption au Mali : IBK affiche-t-il enfin une réelle volonté politique ?

La lutte contre la corruption prend corps au Mali. Cela, avec l?arrestation de Bakary Togola, président de l?Apcam, et celle du maire du district Adama Sangaré. Plusieurs autres présumés corrompus ont été arrêtés, comme le président de l?Assemblée régionale de Kayes et certains cadres de la Direction générale des Aéroports du Mali. Des arrestations qui [&]
31/10/2019

Mali : Clément Dembélé, président de la Plateforme de Lutte contre la Corruption et le Chômage : « Nous allons sortir bientôt pour déclarer le vendredi noir à Bamako »

C?était l?indignation totale, samedi dernier, à la Place du Cinquantenaire, à côté du fleuve, sis à l?ex-ENSUP. Les membres de la Plateforme de Lutte contre la Corruption et le Chômage étaient furieux, car, ils ont jugé l?endroit trop exigu et sensé les museler. D?autant plus que l?endroit était encerclé par un nombre impressionnant de policers. [&]
31/10/2019

Mali : Yatela : L?État nationalise la mine d?or

La mine d?or de Yatela est devenue une propriété de l?État malien. L?achat de ladite mine d?or a été officialisé en Conseil des ministres du mercredi 23 octobre 2019. Cela, pour non seulement exploiter le reste la richesse minière de Yatela, mais aussi pour préserver les emplois. En effet, sur le rapport du ministre de [&]
31/10/2019

Mali : Forum des anciens de l?AEEM pour une école performante et apaisée

Le Centre international de Conférence de Bamako a abrité le forum international des anciens de l?Association des Elèves et Etudiants du Mali (AEEM) les 25, 26 et 27 octobre 2019. Organisé par le Cercle de Réflexion et de Solidarité des anciens de l?Association des Elèves et Etudiants du Mali (CRS), ce forum a mobilisé les [&]
31/10/2019

Mali : Secteur des transports : Adoption du décret d?application de la loi sur la profession de transporteur routier

Depuis un certain temps, le Mali dispose d?une loi régissant la profession de transporteur routier. Mais c?est son décret d?application qui mettait un frein à son application. Le processus vient de prendre un nouvel élan avec l?adoption du projet de décret fixant les modalités d?application de ladite loi par le conseil des ministres. En effet, [&]
31/10/2019

Mali : Kidal : la CMA désavouée par les populations

Lasses d?attendre le redéploiement des services sociaux de base à Kidal, empêché par les leaders de la CMA (Coordination des Mouvements de l?Azawad), les populations de l?Adrar lancent un nouveau cri de c?ur au gouvernement malien. Privées d?électricité, de soins de santé, d?eau et de documents administratifs et d?école depuis sept ans, les populations de [&]
31/10/2019

Mali : IBK, un môgô très puissant !

Sous son premier mandat, IBK a été accusé, par ses opposants, de tous les péchés d?Israël. Mais, en ce début de second, surprise sur ?prise. Les Maliens se disent heureux de retrouver en lui l?homme à poigne, qu?ils ont plébiscité en 2013. On disait de lui, qu?il était aux ordres de Paris ; qu?il n?écoutait [&]
31/10/2019

Mali : Mr Sidi Touré, professeur de philosophie, au sujet de l?accord pour la paix et la réconciliation nationale : « sa relecture est une nécessité vitale pour sa compréhension, son appropriation par l?ensemble des maliens et son application effective su

Le débat autour de l?accord pour la paix et la réconciliation signé en mai et juin 2014 continue de susciter des interrogations, des prises de position diverses de la part des acteurs impliqués dans sa mise en ?uvre. Sur RFI, dans une sortie désastreuse et ratée, Ould Sidati, président en exercice de la CMA, s?en [&]
31/10/2019

Mali : ??Rictus-Mon Billet??: nos intellectuels présidents ou la malédiction africaine (1ère partie)

« Ça me fait si mal, si mal, ça me fait beaucoup pleurer. Ça me fait si mal si mal, l?Afrique doit se réveiller ! » Cette chanson d?Alpha Blondy, le reaggaeman ivoirien date de plus de dix ans. Et pourtant, en l?écoutant, moi j?ai l?impression qu?il l?a composée juste hier, pour critiquer les absurdités politiques [&]
31/10/2019

Mali : Dialogue national : quelle est la position de l?opposition après le tête-à-tête entre IBK et soumaila Cissé ?

Le président de la République et le chef de file de l?opposition se sont rencontrés en début de semaine. Ibrahim Boubacar Keita et Soumaila Cissé ont échangé sur plusieurs sujets, entre autres la situation sécuritaire, l?état de l?armée nationale mais aussi du dialogue national inclusif. Cette rencontre peut-elle être un déclic à la position de [&]
31/10/2019

Mali : Sévaré: la fondation pour la solidarité propose son service aux FAMa

Une délégation de la fondation pour la solidarité conduite par le commissaire divisionnaire Djélika Diallo est en visite dans la 5ème région administrative du Mali. L?objectif de cette visite est de faire savoir aux autorités militaires et administratives de la région de Mopti l?existence de ladite fondation. La fondation pour la solidarité a été créée [&]
31/10/2019

Mali : BDM-SA : Des clients mécontents veulent partir

Ils sont nombreux à vouloir fermer leurs comptes à la Banque de développement du Mali (BDM-sa). La raison trouvée est qu?ils sont mécontents du fait qu?il est difficile de retirer de l?argent dans leur compte. Une situation qui met à nu le mauvais management de la direction actuelle qui au lieu de recruter, préfère fait [&]
31/10/2019

Côte d?Ivoire : Ouattara nomme A?Salfo et Ben Badi au Conseil économique et social


Le président ivoirien Alassane Ouattara a procédé à la nomination d'une centaine de personnalités dont le célèbre chanteur Traoré Salif dit A'Salfo et l'ex footballeur international Traoré Abdoulaye dit Ben Badi en qualité de membres du Conseil économique, social, environnemental et culturel, a appris APA jeudi de source officielle dans la capitale économique ivoirienne.Selon un communiqué de la présidence ivoirienne, le président sortant du Conseil économique, social, environnemental et culturel, Charles Koffi Diby  a été « confirmé» et reconduit à son poste. Ce renouvellement du Conseil économique, social, environnemental et culturel intervient après l'arrivée à terme du mandat des membres de cette institution le 30 octobre dernier. 
Hormis A'Salfo et Ben Badi, plusieurs autres personnalités issues de divers secteurs d'activités du pays ont été nommées membres de  ce nouveau Conseil . On peut citer pêle-mêle les Journaliste Kouassi Konan Venance et Coulibaly Sounkalo dit Charles Sanga,  l'imam Traoré Mamadou, l'avocate Tanoe Viviane épouse Togba ainsi que le président de la Confédération générale des entreprises de Côte d'Ivoire (CGECI, patronat ivoirien) Jean-Marie Ackah. 
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31/10/2019

« Assistance Ô Pays », une offre de Banque Atlantique à la diaspora sénégalaise en Europe


Banque Atlantique, filiale du Groupe Banque centrale populaire du Maroc vient de procéder, en partenariat avec Allianz Sénégal, au lancement officiel de l'offre « Assistance Ô Pays », un produit spécialement développé pour la diaspora Sénégalaise vivant en Europe.Cette offre permet au souscripteur de bénéficier d'une couverture d'assurance assistance en cas de décès survenu à l'étranger. «Assistance Ô Pays » garantit l'accompagnement des proches pour le rapatriement du corps du défunt vers son pays d'origine ou l'inhumation dans le pays de résidence assurant la prise en charge des frais d'obsèques.  
La cérémonie s'est tenue le vendredi 25 octobre 2019, à Dakar, en présence de M. Outman Roqdi et Mme Alexandra Awadi respectivement directeur général et directeur général adjoint de Banque Atlantique, ainsi que de M. Mouhssine Cherkaoui, directeur général Maroc Assistance International et Mme Adja Samb, directrice générale d'Allianz Sénégal.  
« A travers ce produit, Banque Atlantique souhaite consolider son positionnement d'institution financière au service de la diaspora dans les pays d'origine », a déclaré Mme Alexandra Awadi, directrice générale adjointe en charge du développement de Banque Atlantique.
Dans cet élan, dira-t-il, « le groupe Banque Centrale Populaire met au c?ur de sa stratégie les Africains du monde et plus particulièrement, la Diaspora Sénégalaise estimée entre 2,5 et 3 millions de personnes établies à travers le monde».
Pour sa part, M. Cherkaoui, directeur général Maroc Assistance Internationale, a affirmé que « bien plus qu'un nouveau produit, Assistance Ô Pays permettra d'insuffler deux dimensions dans l'accompagnement des Sénégalais résidant en Europe, clients de Banque Atlantique Sénégal ».
M. Cherkaoui a assuré d'une dimension, logistique, à travers une plateforme opérationnelle 24H/24 et 7J/7, composée d'hommes et de femmes prêts à intervenir dans le monde entier grâce à un réseau de prestataires spécialisés et une dimension humaine, à travers l'accompagnement et le soutien des familles frappées par le deuil.  
Concernant les multiples avantages de l'offre, Mme Adja Samb, directrice générale d'Allianz Sénégal a expliqué que « cette solution combinée permet de répondre aux préoccupations des Sénégalais de la diaspora et de leur proposer bien plus qu'une assurance, mais surtout, une tranquillité d'esprit sachant que nous serons présents aux côtés de leurs proches dans les moments difficiles ».
Poursuivant, Mme Adja Samb  a indiqué que « d'autres solutions de protection sont en cours de développement pour ce segment de clientèle. Le but étant de permettre à nos assurés de préparer sereinement leur retour au pays ».
Avec Assistance Ô Pays, les Sénégalais du monde, résidant en Europe devraient être dorénavant pris en charge localement à travers une offre complète, dont les garanties s'appliquent dans le respect des us et coutumes sénégalaises conformément aux rites funéraires de l'assuré, assure Banque Atlantique.
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