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12/11/2019

Father of detained Al Jazeera journalist Mahmoud Hussein dies

Hussein's family calls on Egypt to allow him to attend funeral after requests to visit his ailing father were denied.
12/11/2019

Pneumonie infantile: 13000 décès enregistrés en 2018 au Mali


Un enfant meurt de pneumonie toutes les 39 secondes dans le monde. Maladie pourtant évitable, la pneumonie tue plus d?enfants que toute autre infection. En 2018, 71 millions d?enfants n?ont pas reçu les trois doses recommandées de vaccin antipneumococcique conjugué (VPC) et ont donc plus de risques de contracter une pneumonie. Dans le monde, 32 % des enfants suspectés d?avoir la pneumonie ne sont pas amenés dans un centre de soins. Ce chiffre atteint 40 % pour les enfants les plus pauvres dans les pays à faible revenu et à revenu intermédiaire.
Selon une nouvelle analyse, la pneumonie a entraîné l?an dernier la mort de plus de 800 000 enfants de moins de 5 ans, soit un décès toutes les 39 secondes. La majorité des victimes ont moins de 2 ans, et près de 153 000 bébés ont y ont succombé au cours de leur premier mois.  Six organismes reconnus de santé et de protection de l?enfance tirent la sonnette d?alerte au sujet de cette épidémie oubliée et lancent ce jour un appel mondial à l?action.  En janvier, ce collectif accueillera les dirigeants internationaux au Forum mondial sur la pneumonie infantile qui se déroulera en Espagne du 29 au 31 janvier 2020.

Cause de la maladie
La pneumonie est causée par des bactéries, des virus ou des champignons, et provoque chez les enfants des difficultés respiratoires en raison du pus et du fluide qui envahissent leurs poumons. En 2018, ce fléau a fait plus de ravages chez les enfants de moins de 5 ans que n?importe quelle autre maladie. Par comparaison, 437 000 enfants de moins de 5 ans sont morts de diarrhée et 272 000 du paludisme. Kevin Watkins, directeur général de Save the Children, a déclaré ce 12 novembre que  « Cette épidémie mondiale oubliée nécessite une mobilisation internationale urgente. Des millions d?enfants meurent par manque de vaccins, d?antibiotiques abordables et d?oxygénothérapie régulière. La crise pneumonique est symptomatique de négligences et d?inégalités intenables dans l?accès aux soins. »
La prévention est possible...
Cinq pays représentent de plus de la moitié des cas mortels de pneumonie infantile : le Nigéria (162 000), l?Inde (127 000), le Pakistan (58 000), la République démocratique du Congo (40 000) et l?Éthiopie (32 000). Les enfants dont le système immunitaire est affaibli par d?autres infections comme le VIH ou par la malnutrition ainsi que ceux qui vivent dans des zones touchées par une pollution atmosphérique élevée et l?insalubrité de l?eau sont particulièrement vulnérables. Grâce à la vaccination, il est pourtant possible d?éviter cette maladie, qui se soigne par ailleurs aisément à l?aide d?antibiotiques peu coûteux si elle est bien diagnostiquée. Mais des dizaines de millions d?enfants ne sont toujours pas vaccinés, et un enfant sur trois présentant des symptômes ne reçoit pas de soins médicaux vitaux. Les enfants atteints de formes graves de pneumonie peuvent également nécessiter une oxygénothérapie, un traitement rarement accessible aux enfants qui en ont besoin dans les pays les plus pauvres.
Selon le Dr Seth Berkley, président-directeur général de Gavi, l?Alliance du Vaccin « Il est choquant que cette maladie évitable, soignable et facile à diagnostiquer soit toujours la première cause de mortalité infantile dans le monde. Nous avons fait d?importants progrès ces dix dernières années et des millions d?enfants des pays les plus défavorisés de la planète bénéficient aujourd?hui du vaccin antipneumococcique. Notamment grâce au soutien de Gavi, la couverture vaccinale contre les infections à pneumocoque dans les pays à faible revenu est désormais plus élevée que la moyenne mondiale, mais il nous reste encore des efforts à faire pour nous assurer que chaque enfant ait accès à ce vaccin qui sauve des vies. »
Faible accès aux financements...
La lutte contre la pneumonie est largement sous-financée par rapport à celle contre d?autres maladies. Seuls 3 % du total des dépenses mondiales de la recherche sur les maladies infectieuses est consacré à la pneumonie, et ce, alors même que la maladie explique 15 % de la mortalité chez les enfants de moins de 5 ans.
En 2018, les 15 premiers pays par nombre de décès d?enfants de moins de 5 ans des suites d?une pneumonie 



Pays
Estimation du nombre de décès en lien avec la pneumonie chez les enfants de moins de 5 ans, 2018


Nigéria
162 000


Inde
127 000


Pakistan
58 000


République démocratique du Congo
40 000


Éthiopie
32 000


Indonésie
19 000


Chine
18 000


Tchad
18 000


Angola
16 000


République unie de Tanzanie
15 000


Somalie
15 000


Niger
13 000


Mali
13 000


Bangladesh
12 000


Soudan
11 000


Total
802 000





Sources: UNICEF, Save the Children

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12/11/2019

Mali : Football : le Mali dit adieu à la CAN U-23!

Dans ce match de la relance pour les Aigles Espoirs du Mali, il y avait comme une impression que leurs ailes étaient complètement mouillées. Sans rien montrer véritablement, les Lions Indomptables ont profité des approximations de la défense malienne pour ouvrir le score à la 75ème minute par Franck Evina. A la retombée d?un coup [&]
12/11/2019

Mali : Elle brûle le sexe de sa nièce de 8 ans : « Le procès de notre humanité »

Dans son audience du jeudi 7 novembre, la cour d?assise a condamné Haye Fofana à 2 ans de prison ferme pour coups et blessures volontaires aggravés et torture sur une fillette de 8 ans. « Cette affaire est un procès de notre humanité », a lancé le procureur général pour solliciter l?attention des juges sur la gravité [&]
12/11/2019

Mali : Championnat : La bonne opération du Stade et du Djoliba

Débutée le lundi passé, la 6e journée de la Ligue a pris fin le dimanche avec 3 matches au programme. Le choc du jour a tourné à l?avantage du Djoliba AC qui s?est imposé devant le CS Dougouwolofila (1-0). Du coup, les Rouges de Bamako (désormais 13points) reviennent à la 2e place de la poule [&]
12/11/2019

Mali : Sommet historique de SOTCHI: le nouveau partage de l?Afrique a commencé

La Russie, par le sommet de SOTCHI, a juste voulu véhiculer l?image d?un pays super-puissant dans un monde multipolaire qui serait prêt à répondre à tout moment à l?appel des décideurs politiques du continent qui cherchent aujourd?hui à diversifier leurs partenariats, à l?international. Selon le constat de Sambou Sissoko, les entreprises russes qui jusque-là avaient [&]
12/11/2019

Mali : Tribune: la fuite en avant !

On dit que : « le bon sens est la chose la mieux partagée au monde.» Alors qui veut encore salir nos généraux en ce moment particulièrement difficile pour notre pays en guerre contre le terrorisme international. En effet, un article encore commandité par les vitrines de la déchéance du Mali circule sur les réseaux [&]
12/11/2019

Mali : Sanctions contre les agents fautifs de l?Aéroport international Modibo Keita: le directeur de la police de l?air recadré par la hiérarchie

Dans la nuit du 06 au 07 novembre 2019, à l?aéroport international Modibo Keita de Sénou, tous les passagers d?un Boeing venus de Brazzaville, qui a atterri, à 00 h 11 minutes ont échappé au contrôle de la police. L?information balancée sur les réseaux sociaux, par vidéo filmé par un passager abasourdi, s?est vite rependue, [&]
12/11/2019

Mali : Contre la félonie, le carriérisme et la prévarication : les juges décident d?aller au front

Les deux syndicats de la magistrature juges déclarent la guerre à la félonie, au carriérisme et à la prévarication Après plus de 100 jours de grève illimitée, entamée le 25 juillet 2018, les deux syndicats de la magistrature (le Syndicat autonome de la magistrature (SAM) et le Syndicat libre de la magistrature (SYLIMA)) avaient tenu [&]
12/11/2019

Mali : Maliens arnaqués par QNET en Guinée: le CSDM porte plainte contre la société

Le Conseil supérieur de la diaspora malienne (CSDM) a animé, le vendredi 8 novembre, une conférence de presse pour éclairer l?opinion nationale et internationale sur l?interpellation de certains de nos compatriotes en Guinée pour leur implication dans le réseau QNET. Le CSDM a expliqué le rôle qu?il a joué pour leur libération, tout en demandant [&]
12/11/2019

Mali : Conférence des cadres du RPM: les 4 vérités des Tisserands

Le Parti présidentiel, le Rassemblement pour le Mali (RPM), a réuni ses cadres, dans la salle des banquets du Centre International de conférence de Bamako, pour un brainstorming sur le Dialogue national inclusif. Sous le thème : « Réflexion sur le Dialogue National Inclusif », cette conférence des cadres avait pour but de rassembler en [&]
12/11/2019

Mali : Maouloud 2019 au stade du 26 Mars: le Chérif Haidara lance un appel à l?effort de guerre

Ce samedi, la communauté musulmane du Mali a célébré avec faste le Maouloud, qui consacre la naissance du prophète Mohamed (PSL). Comme à l?accoutumée, à l?appel de la fédération internationale Ançar-Dine(FADI), le Stade du 26 mars a fait le plein des voix. Une mobilisation grandiose à la dimension réelle de l?événement avec des pèlerins venus [&]
12/11/2019

Mali : Aéroports du Mali: passoir et foutoir !

Suite à la publication d?une vidéo sur les réseaux sociaux faisant état de l?absence des policiers dans les box d?enregistrement à l?arrivée du vol Air Mauritanie en provenance de Brazzaville dans la nuit du 06 au 07 novembre 2019 à 00 heure 11 minutes, les Maliens ont été indignés de constater l?inconscience des éléments de [&]
12/11/2019

Mali : Sans Tabou : lutte anti-terroriste, la Russie peut-elle sauver le Mali??

Le Mali fait face, depuis 2012, à la plus grave crise sécuritaire de son histoire, exacerbée par des attaques d?ennemis sans visage, ayant coûté la vie à plusieurs centaines de personnes civiles et militaires. Face recrudescence des attaques avec leur cortège de pertes humaines et matérielles, ils sont de plus en plus nombreux les Maliens [&]
12/11/2019

Mali : Meeting de la société civile en faveur de l?armée: le soutien tourne au pugilat

La manifestation de la Conférence de la société civile en soutien à l?armée nationale a dégénéré, ce vendredi 8 novembre, au Monument de l?Indépendance. Des manifestants très remontés s?en sont pris aux organisateurs en leur lançant sachets d?eau. En cause, ils accusent ces derniers de rouler pour l?intérêt de la France. Mouillés, la plupart des [&]
12/11/2019

Mali : Forum de Paris sur la paix : la situation au Sahel au menu des échanges

La deuxième édition du Forum sur la paix s?est ouvert ce mardi à Paris. Une trentaine de chefs d?états dont une dizaine de dirigeants africains participent à cette rencontre. Le Président Ibrahim Boubacar Kéita, ainsi que certains de ses homologues du Sahel sont présents à ce forum qui devrait aborder la situation au Sahel. Selon [&]
12/11/2019

Le périple rocambolesque de l?ex président bolivien Morales pour rallier Mexico


L'ancien président bolivien Evo Morales, déterminé à "continuer la lutte", est arrivé mardi au Mexique à l'issue d'un périple rocambolesque de seize heures dans l'espace aérien de l'Amérique latine.
Une série de complications, due à des ordres et contrordres des pays survolés, ont rallongé de huit heures le temps de vol de l'avion militaire mis à la disposition du président démissionnaire.
Morales, qui s'était vu offrir lundi l'asile politique au Mexique, a finalement pu atterrir à l'aéroport international Benito Juarez de la capitale peu après 17H00 GMT.
En polo bleu ciel et en jeans, très souriant, il a serré la main du chef de la diplomatie mexicaine Marcelo Ebrard venu l'accueillir.
"Merci au Mexique, à ses autorités, et je tiens à vous dire que tant que je suis en vie, je reste en politique, tant que nous sommes dans le train de la vie, la lutte continue", a-t-il déclaré, assurant avoir "renoncé pour éviter plus de violences". Il a remercié le Mexique de lui avoir "sauvé la vie".
Depuis que Morales a accepté l'offre du gouvernement mexicain de lui accorder l'asile politique, et que l'appareil affrété par le président Andres Manuel Lopez Obrador (AMLO) est venu le chercher à Chimoré, dans l'Etat de Cochabamba, en Bolivie, plusieurs pays du sous-continent lui ont mis des bâtons dans les roues.
Ce périple ressemble à "un voyage dans les méandres de la politique latino-américaine avec tous les risques inhérents" aux pays concernés, a résumé M. Ebrard.
Les complications ont commencé lorsque l'avion de l'armée de l'air mexicaine affrété pour aller chercher M. Morales a atterri lundi à Lima où il a été immobilisé des heures durant dans l'attente des autorisations nécessaires à la poursuite de son vol vers la Bolivie.
Lorsque le feu-vert a enfin été accordé, "ils ont décollé de Lima. Une fois dans l'espace aérien de la Bolivie, on leur a dit que l'autorisation qui venait de leur être donnée n'était plus valable. Ils ont donc dû rebrousser chemin vers Lima", a raconté Ebrard.
En Bolivie, a-t-il poursuivi, "on ne sait pas qui décide quoi". Du coup, sans explication, les autorités boliviennes ont finalement autorisé l'arrivée de l'avion. Le vol au départ de Lima devait être direct. Mais c'était sans compter avec les autorités péruviennes.
Sans coup férir, le gouvernement péruvien a décidé qu'en raison d'une "réévaluation de la situation politique, l'autorisation de vol ne pouvait plus être délivrée à Lima", toujours selon Ebrard.
Selon lui, ce fut "très difficile et très tendu parce qu'à l'aéroport où Evo se trouvait la situation était compliquée. Ses partisans étaient postés autour de l'aéroport, tandis qu'à l'intérieur étaient stationnées les forces armées boliviennes".
Les autorités mexicaines ont alors décidé de mettre en place "un plan B" qui consistait à faire appel au Paraguay.
"Le président élu d'Argentine (Alberto Fernández) nous a aidé en s'entretenant avec le président du Paraguay", a-t-il déclaré. Mais une fois l'autorisation de ce pays obtenue, les autorités boliviennes ont menacé de ne pas laisser partir l'avion de l'armée de l'air mexicaine.
Mais, pour une raison inconnue, la menace n'a pas été mise à exécution et l'avion a finalement pu quitter la Bolivie. Jusqu'au moment où l'Equateur a décidé d'interdire le survol de son espace aérien.
Une intervention conjointe brésilienne et mexicaine a permis de contourner cet ultime obstacle et permettre à l'avion de survoler le Brésil sans passer au dessus de l'Équateur.
A 17:00 GMT, l'avion militaire mexicain transportant Morales atterrissait finalement à Mexico.
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12/11/2019

2ème édition du « Village du Maroc » du 6 au 8 décembre à Abidjan


La deuxième édition de l'événement « Village du Maroc à Abidjan » se déroulera du 6 au 8 décembre 2019 dans la métropole ivoirienne, sous le slogan « la continuité d'une vision avant-gardiste et novatrice », annoncent les organisateurs.Initié par Musk Strater Geis, en partenariat avec l'Ambassade du Maroc en Côte d'Ivoire et l'Agence Marocaine de Développement des Investissements et des Exportations (AMDIE), cet événement se propose d'être dans la continuité de la vision et la stratégie royale de coopération Sud-sud, de créer des ponts et consolider les relations entre différents pays africains, faisant de ce continent une seule force.
Cette manifestation, organisée en collaboration avec la société Marchica Med, et l'Agence Marocaine de Coopération Internationale (AMCI) sera une occasion aux acteurs économique de créer des synergies et de collaborer directement et efficacement, souligne-t-on de même source.
Il s'agit d'une vision qui invite à l'ouverture sur l'Afrique, mais également le développement des relations économiques et sociales entre les pays du sud.
« Village du Maroc à Abidjan » a concocté un programme à l'image de l'Afrique, riche et multiculturel. Trois durant seront organisés des conférences et des panels portant sur l'histoire commune de l'Afrique, le présent, mais aussi sur l'avenir du continent.
« Village du Maroc » c'est aussi l'occasion de démontrer, à travers l'art et la culture, nos racines communes.
L'événement sera marqué par une soirée animée par le grand humoriste maroco-ivoirien Oualas avec à l'affiche un défilé inédit signé de deux des plus grands noms de la mode et de la création, dans nos deux pays, à savoir Albert Oiknine et Elie Kuame.
Le public aura l'occasion d'assister à un grand moment de magie musicale, réunissant la majestueuse Oum et le jeune chanteur à la renommée internationale, Serge Beynaud, selon les organisateurs.
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12/11/2019

Trump minimise l?impact de la guerre commerciale sur les Etats-Unis


Donald Trump a loué la bonne santé de l'économie américaine mardi malgré les études chiffrant l'impact de la guerre commerciale sur l'emploi et l'activité économique aux Etats-Unis.
L'économie "a largement dépassé nos attentes", a déclaré l'hôte de la Maison Blanche dans un discours à New York, tout en défendant l'imposition des droits de douane punitifs. "Le réel coût aurait été de ne rien faire."
Alors que l'industrie manufacturière américaine est en récession, il a toutefois reconnu pour la première fois que les industriels souffraient "peut-être d'une légère incertitude" avant d'affirmer le contraire: "Il n'y a pas d'incertitude", "ils n'ont pas été affectés" par la guerre commerciale.
Le discours de Donald Trump devant le club économique de New York est intervenu au moment même où une étude menée pour le compte du port de Los Angeles (Californie), premier port des Etats-Unis et l'un des plus importants du monde, chiffre les effets de la guerre commerciale.
Les tarifs douaniers punitifs imposés par l'administration Trump aux importations, principalement de Chine, et les représailles contre les biens américains menacent près de 1,5 million d'emplois aux Etats-Unis, selon cette étude.
Les importations et exportations affectées représentent 186 milliards de dollars annuels, en valeur de fret et sur la base des données de 2018.
L'enquête inclut les droits de douane additionnels portant sur plus de 360 milliards de dollars de biens chinois déjà en vigueur, ainsi que ceux qui pourraient être imposés le 15 décembre aux quelque 160 milliards de dollars de biens chinois --dont les iPhone-- n'ayant pas encore été surtaxés.
Jusqu'à présent, Donald Trump et son administration n'ont eu de cesse de marteler que la guerre commerciale n'avait eu aucun impact sur l'économie américaine, incriminant la politique de la Banque centrale dans le ralentissement économique.
En septembre, peu après une nouvelle vague de tarifs punitifs, le secrétaire américain au Trésor Steven Mnuchin avait lui-même affirmé ne pas voir "pour le moment de signe d'impact sur les Etats-Unis".
Les économistes s'accordent pourtant à dire que la croissance économique américaine ralentit en raison notamment de l'incertitude entourant la guerre commerciale, qui décourage les investisseurs.
L'activité du secteur manufacturier aux Etats-Unis a continué de se contracter en octobre mais à un rythme plus lent que le mois précédent.
Ce qui fait dire à Donald Trump que l'industrie manufacturière "se reprend très très fortement" et que "notre pays est vraiment très solide".
- Nouvelle menace -
"Toutes les zones urbaines, suburbaines et rurales de notre pays bénéficient des importations et des exportations transitant par les ports de San Pedro Bay", a souligné de son côté Gene Seroka, directeur exécutif du port de Los Angeles.
Le fret passant par le port californien est estimé à plus de 380 milliards de dollars et l'activité économique génère plus de trois millions d'emplois américains.
Selon M. Seroka, certaines régions et industries ressentent déjà "les dommages causés aux emplois, aux revenus".
L'étude montre que les droits de douane imposés depuis mars 2018 pourraient entraîner des coûts supplémentaires de 31 à 35 milliards de dollars, qui sont supportés par les consommateurs et par les fabricants américains ayant besoin de matières premières importées et de certains composants.
Alors que la majorité des tarifs douaniers visent les produits chinois, les auteurs du rapport rappellent que la Chine est la principale source d'approvisionnement, comptant "à hauteur de 54% pour les importations".
Donald Trump a annoncé le mois dernier un accord commercial de principe avec la Chine, qui doit encore être signé.
"Si nous n'avons pas d'accord, nous augmenterons significativement les droits de douane", a-t-il une nouvelle fois menacé mardi.
"Et ce sera le cas aussi pour les autres pays qui nous maltraitent", a-t-il ajouté, pointant directement du doigt les Européens dont "les barrières douanières sont terribles".
Le président n'a pas dévoilé sa décision sur l'imposition éventuelle de droits de douane dans le secteur automobile qui doit intervenir cette semaine.
Le rapport publié mardi montre enfin que les Etats agricoles les plus vulnérables comprennent des bastions républicains comme le Kansas, le Texas et la Louisiane, ainsi que des Etats plus disputés tels que l'Ohio et l'Arizona.
La semaine dernière, le groupe de pression Tariffs Hurt the Heartland avait, lui, estimé que les entreprises et consommateurs américains avaient payé 38 milliards de dollars supplémentaires entre le début de la guerre commerciale début 2018 et septembre 2019.
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12/11/2019

Au Chili, la mobilisation reste forte et pèse sur l?économie


Plusieurs dizaines de milliers de manifestants sont une nouvelle fois descendus dans les rues mardi au Chili pour réclamer au gouvernement de profondes réformes sociales, une persistance de la crise sociale qui commence à peser sur l'économie du pays.
Plus de 80.000 personnes ont défilé dans le centre de Santiago à l'appel de plusieurs organisations sociales, a annoncé le sous-secrétaire à l'Intérieur, Rodrigo Ubilla, qui a également évoqué "quelques incidents violents isolés".
Les manifestants, brandissant des drapeaux chiliens et des banderoles syndicales, se sont rassemblés sur l'emblématique Plaza Italia, dans le centre de la capitale, pour se rendre ensuite au siège de la Centrale unitaire des travailleurs (CUT), plus puissant syndicat du pays, a constaté l'AFP.
"Il y a beaucoup de mécontentement sur de nombreux sujets (...) l'éducation, la santé, l'exploitation des ressources naturelles. Tout ce qu'a proposé le président (Sebastian Piñera) est insuffisant, c'est une farce !", a dénoncé Karen Delgado, une manifestante de 29 ans.
La manifestation s'est déroulée dans le calme, à l'exception de quelques incidents en fin de cortège lorsque les forces de l'ordre ont brièvement fait usage de gaz lacrymogène pour disperser des manifestants près du palais présidentiel de La Moneda.
L'appel à une "grève générale" dans les secteurs publics avait été lancé par une centaine d'organisations sociales, dont la CUT et de nombreux syndicats des secteurs de l'éducation, de la santé, des services portuaires et douaniers.
De nombreuses écoles étaient fermées et les cours dans les universités n'ont pas repris depuis l'éclatement de la crise sociale le 18 octobre, déclenchée par une hausse du prix du ticket de métro dans la capitale.
Des barricades ont été érigées sur plusieurs artères de la ville, gênant la circulation. Les transports publics fonctionnaient toutefois quasi normalement et aucune perturbation n'était constatée à l'aéroport international de Santiago.
La mobilisation restait également forte dans le reste du pays, dans les villes d'Arica, Antofagasta (nord), Puenta Arenas (sud), Concepcion (centre), Rancagua et Valparaiso, où siège le Parlement qui a suspendu ses activités pour la journée.
- Chute historique du peso -
Conséquence de la persistance de cette vague de contestation sans précédent dans un pays loué jusque-là pour sa stabilité, la monnaie chilienne a chuté à la mi-journée mardi à un plus bas historique (-5,3%), un dollar s'échangeant à 800 pesos.
Le précédent record à la baisse remontait au 10 octobre 2002, 761 pesos étant alors nécessaires pour obtenir un billet vert. La Bourse de Santiago était également en baisse, de 3,38% à la mi-journée.
"C'est un signe d'inquiétude que nous suivons avec beaucoup d'attention", a réagi le ministre des Finances, Ignacio Briones. La Banque centrale a indiqué de son côté qu'une telle baisse était "attendue dans un contexte de plus grande incertitude" en raison notamment de la persistance de la crise.
Près d'un mois après le début de la fronde sociale, la mobilisation ne faiblit pas, malgré plusieurs concessions du gouvernement, impensables encore il y a quelques semaines.
Le président conservateur Sebastian Piñera a notamment accepté une modification de la Constitution, héritée de la période de la dictature d'Augusto Pinochet (1973-1990), une forte revendication des manifestants.
Le gouvernement a également conclu deux accords avec l'opposition sur le budget 2020 et pour une réforme fiscale destinés à financer les mesures sociales annoncées pour tenter d'apaiser la colère sociale.
Mais les syndicats réclament des réformes plus profondes, notamment du système de retraite, totalement privatisé, une hausse du budget de la santé publique et une augmentation du salaire minimum.
Pour tenter de trouver une sortie de crise consensuelle, le chef de l'Etat a également rencontré les ex-présidents de centre-gauche Eduardo Frei (1994-2000) et Ricardo Lagos (2000-2006).
Il s'est aussi entretenu par téléphone avec l'ex-présidente socialiste Michelle Bachelet (2006-2010 et 2014-2018), désormais Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l'homme.
Parmi les secteurs économiques les plus touchés figurent notamment le commerce et le tourisme. Selon la Chambre de commerce de Santiago, les ventes ont chuté en moyenne de 50% dans la capitale depuis le début de la contestation.
Le gouvernement indique que la baisse du PIB en octobre devrait atteindre 0,5%.
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12/11/2019

Sahel: Macron annonce des décisions prochaines sur la lutte antijihadiste


Emmanuel Macron a annoncé que des décisions seraient prises "dans les prochaines semaines" pour améliorer la lutte antijihadiste au Sahel, en recevant mardi à L'Elysée les présidents du Tchad, du Niger et du Mali.
"Nous avons avancé sur la situation sécuritaire" et sur "les décisions" qui seront annoncées "dans les prochaines semaines pour reconcentrer la force conjointe" G5-Sahel "sur le fuseau central" (terme militaire désignant la zone aux confins du Mali, du Burkina Faso et du Niger), a déclaré le président français à l'issue du déjeuner avec ses homologues Idriss Déby Itno (Tchad), Mahamadou Issoufou (Niger) et Ibrahim Boubacar Keita (Mali).
M. Macron a ajouté qu'il serait également appelé prochainement à "repréciser le rôle de Barkhane", la force française au Sahel, et à "confirmer et conforter l'engagement" dans la région.
Relancé en 2017, le G5-Sahel compte 5.000 militaires de Mauritanie, du Mali, du Niger, du Burkina Faso et du Tchad, chargés de lutter contre les jihadistes. Poussée par la France, cette force pourrait remplacer à terme l'armée française dont les 4.500 militaires de l'Opération Barkhane combattent dans la région depuis 2014.
Emmanuel Macron a indiqué qu'il allait "rappeler à l'ordre" des pays partenaires "qui s'étaient engagés dans l'Alliance pour le Sahel et qui tardent parfois à livrer leur aide". Des livraisons militaires sont attendues "en fin d'année et au début de l'année prochaines", selon lui.
Au cours du déjeuner, les quatre présidents ont également parlé de la situation problématique à Kidal, une ville du nord-est du Mali qui échappe à l'autorité de l'Etat.
Prise en 2012 par les rebelles jihadistes, elle est aujourd'hui, malgré la présence de bases française et des forces onusiennes, sous le contrôle d'ex-rebelles séparatistes touareg qui se sont soulevés contre le pouvoir central en 2012 avant de signer un accord de paix à Alger en 2015.
"Je souhaite redire très clairement que Kidal, c'est le Mali et l'Etat malien. A Kidal, c'est le drapeau malien, l'administration malienne et j'ai parfois entendu des messages contraires", a déclaré Emmanuel Macron.
Il a qualifié de "très bonne" la décision du président malien "d'envoyer le Premier ministre" prochainement dans cette ville.
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12/11/2019

Marrakech accueille la 3ème conférence des Femmes africaines du 21 au 23 novembre


La ville de Marrakech abrite du 21 au 23 novembre la 3ème édition de la conférence des Femmes Africaines (AWC), sous le thème « Construire une coalition pour mettre fin à l'inégalité des sexes en Afrique ».Initiée par la Fondation Helpline for the Needy Abuja (Nigeria) en partenariat avec le Centre International de Diplomatie (Maroc) et en collaboration avec Echoes Africa Initiatives (New York), cette conférence, qui se veut l'un des plus éminents rassemblements annuels d'experts, d'institutions, d'organisations non gouvernementales et d'entreprises, a pour but de définir des agendas et des options viables, à travers lesquels les acteurs de la politique africaine peuvent canaliser les diverses ressources dont disposent les femmes africaines vers le développement durable du Continent, indique un communiqué des organisateurs.
Le Maroc a été choisi pour accueillir cet événement en raison de son capital social, son positionnement géographique stratégique, sa croissance économique florissante ainsi que de ses diverses initiatives et investissements dans le continent africain visant à renforcer la coopération sud-sud, souligne le communiqué.
Cette rencontre rassemblera des femmes africaines pour échanger et favoriser de nouvelles idées susceptibles d'accroître leur influence et leur productivité dans leurs différents domaines d'activité, et pour offrir aux entreprises, philanthropes et investisseurs étrangers axés sur l'Afrique une plateforme leur permettant de rencontrer et de forger des alliances avec des femmes africaines entrepreneures, décideuses, influenceuses et professionnelles pour développer leur projets, relève la même source.
Plusieurs hauts dignitaires et d'autres personnalités du Nigeria, du Liberia, du Ghana, du Sénégal, de la Gambie, de la Namibie, du Kenya, du Cameroun, du Tchad, du Niger, du Maroc et d'autres pays africains, dont des ministres fédéraux, épouses de gouverneurs d'Etat, propriétaires d'entreprises et des représentants d'organisations de la société civile, sont attendus à cette édition.
Ce conclave verra ainsi la participation d'une délégation de haut niveau du Nigeria, ainsi que des chefs d'entreprises intéressés par l'économie africaine de toute l'Afrique et de la diaspora, des hauts fonctionnaires, des femmes innovantes, des femmes parlementaires et des épouses de chefs de gouvernement.
La Conférence des Femmes Africaines a été fondée par la Fondation Helpline for the Needy Abuja, une ONG dotée du statut consultatif auprès des Nations Unies, en collaboration avec Echoes Africa Initiatives New York. Elle se veut un rassemblement annuel des femmes africaines opérant dans les secteurs formels et non formels de l'économie africaine.
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12/11/2019

Cocaïne: comment expliquer la marée blanche sur les plages françaises?


Plus d'une tonne de cocaïne échouée au gré des vagues sur les plages, des Landes au Finistère: depuis près d'un mois, le littoral atlantique subit une mystérieuse marée blanche. Un phénomène rare, qui rappelle que les trafiquants privilégient le transport maritime.
- Une tempête en cause ? -
La déferlante, qui arrive sur le sable par paquets remplis de cocaïne, est exceptionnelle. Mardi, les autorités ont annoncé que la quantité retrouvée ces dernières semaines dépasse désormais la tonne.
A titre de comparaison, 17,5 tonnes de cocaïne ont été saisies en France sur l'ensemble de l'année 2018, selon l'Observatoire français des drogues et des toxicomanies (OFDT).
Accident de transport, délestage volontaire ? Les circonstances restent encore inconnues, mais les enquêteurs privilégient la piste d'"un délestage à la suite d'une avarie ou d'une tempête", d'après le procureur de Rennes.
"Statistiquement, l'hypothèse maritime est la plus probable", explique à l'AFP David Weinberger, spécialiste des drogues à l'Institut national des hautes études de la sécurité et de la justice (INHESJ).
"Les services de renseignements européens considèrent qu'environ deux tiers de la cocaïne qui arrive en Europe vient du trafic maritime", détaille l'expert, sans toutefois exclure un éventuel crash de jet privé clandestin en haute mer.
Peu cher et peu surveillé, le fret maritime est privilégié par les narcotrafiquants. "Les douanes mondiales ne contrôlent qu'environ 1 à 2% des conteneurs", rappelle l'expert.
- D'où vient la cocaïne consommée en Europe ? -
L'essentiel de la cocaïne provient des trois grands pays producteurs: la Colombie, le Pérou et la Bolivie. Le Vieux continent est le deuxième marché mondial, derrière l'Amérique du Nord. Les trafiquants doivent donc trouver des moyens efficaces pour traverser l'Atlantique.
"La première porte de sortie de la cocaïne c'est le Brésil", reprend M. Weinberger. "La plupart des grosses cargaisons de cocaïne partent des grands ports brésiliens, comme celui de Santos".
D'autres pays comme le Venezuela, voisin de la Colombie, dont la frontière est poreuse, sont également utilisés pour exfiltrer la drogue du continent sud-américain.
La marchandise transite ensuite "par les Caraïbes ou par l'Afrique de l'Ouest", avant d'arriver dans les grands ports européens, résume le spécialiste. Ceux de Rotterdam (Pays-Bas), Anvers (Belgique), Barcelone (Espagne) et Le Havre (France) sont les plus touchés.
Dans ce grand port français, les saisies de cocaïne ont quintuplé en deux ans et ont atteint 3,5 tonnes en 2017, selon l'OFDT. Depuis 2014, le trafic aérien depuis la Guyane vers l'Hexagone, avec des vols saturés de "mules" - des passeurs qui cachent de la cocaïne dans leur corps ou leurs bagages contre rémunération - s'est également "fortement développé", d'après l'organisme.
- Quel est l'état du trafic mondial ? -
Le narcotrafic est en plein essor, grâce à une production mondiale record, qui a "plus que doublé" en quatre ans, pour atteindre quasiment 2.000 tonnes en 2017, selon l'Office des Nations unies contre la drogue et le crime (ONUDC). Une hausse principalement attribuée à l'augmentation de l'offre en Colombie, principal producteur.
Le premier pays producteur a arrêté en 2015 ses épandages de glyphosate, utilisé jusque-là pour détruire les champs de coca, mais nocif pour la santé des populations locales. Et le récent accord de paix avec les Forces armées révolutionnaires colombiennes (FARC) s'est révélé être un succès en demi-teinte. Une partie des ex-guérilleros d'extrême gauche "a abandonné la politique et se concentre désormais uniquement sur le trafic de cocaïne", selon M. Weinberger.
Plus globalement, "les trafiquants ont amélioré leur production en développant des nouvelles variétés de feuilles de coca plus performantes", explique l'expert.
Résultat, les saisies européennes volent de record en record (140 tonnes en 2017, selon l'Observatoire européen des drogues et des toxicomanies) et la cocaïne interceptée est de plus en plus pure.
Le taux de pureté de la marchandise qui s'échoue actuellement en France dépasse ainsi les 80%. Très peu coupée, cette drogue "vient très certainement directement d'Amérique latine", avance M. Weinberger.
Déterminer son origine précise "reste compliqué", selon lui. Mais la présence de logos sur les emballages ou la collaboration avec les autorités américaines (DEA), qui disposent des bases de données recensant les différents types de cocaïne, pourrait aider les enquêteurs.
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12/11/2019

Inondations en Grande-Bretagne: l?armée, et les candidats, auprès des sinistrés


Le gouvernement britannique va dépêcher 100 militaires pour venir en aide aux populations du nord du pays touchées par les inondations, auprès desquelles se sont rendus les principaux candidats aux élections législatives du 12 décembre.
A l'issue d'une réunion d'urgence mardi, le gouvernement a décidé d'envoyer 100 militaires dans le Yorkshire du sud (nord de l'Angleterre) en plus des secours déjà sur place, a annoncé Downing street dans un communiqué. Des fonds ont également été débloqués afin de venir en aide aux sinistrés, à hauteur de 500 livres sterling (580 euros) pour les ménages et jusqu'à 2.500 livres (2.900 euros) pour les petites et moyennes entreprises qui ne pourraient pas être prises en charge par les assurances.
"Les inondations récentes ont eu un effet dévastateur sur les habitants et les entreprises et il est essentiel pour la population d'avoir le soutien dont ils ont besoin pour se rétablir", a déclaré le Premier ministre Boris Johnson dans un communiqué.
En pleine campagne électorale, le chef de l'opposition travailliste Jeremy Corbyn avait appelé le Premier ministre conservateur à organiser une réunion d'urgence, critiquant la réponse du gouvernement.
Après Boris Johnson vendredi dernier, Jeremy Corbyn s'est rendu mardi auprès de sinistrés dans le nord du pays, tout comme la cheffe du parti Libéral-démocrate, Jo Swinson. Tous deux ont reproché au gouvernement de ne pas avoir pris la mesure de l'ampleur de ces inondations.
Les inondations ont provoqué la semaine dernière la mort d'une femme dont le corps a été repêché dans le Derwent, un fleuve du nord de l'Angleterre, vendredi, jour où certaines parties du centre et du nord du pays ont vu tomber en un jour l'équivalent d'un mois de pluie.
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12/11/2019

RDC: « la souffrance du peuple continue » après l?alternance, dénonce le nouveau cardinal congolais


"La souffrance du peuple continue" malgré la première alternance politique en République démocratique du Congo, a déploré mardi le nouveau cardinal congolais, l'archevêque de Kinshasa Fridolin Ambongo, qui apporté un soutien sous conditions au président Félix Tshisekedi malgré "le mensonge spectaculaire des élections".
"Le peuple s'est exprimé pour le changement. Dix mois après, est-ce que ce souhait du peuple a été respecté? Ce souhait reste intact: la misère du peuple, la souffrance du peuple continuent", a déclaré Mgr Ambongo lors d'une conférence de presse à Kinshasa.
Toutefois, il considère qu'il "il y a des choses positives qui se font sous Félix Tshisekedi, comme la gratuité de l'enseignement".
"Nous voulons une vraie gratuité qui ne va pas fragiliser le système éducatif tel que ça existe maintenant", a-t-il ajouté, plaidant pour une revalorisation du salaire des enseignants au-delà de "120.000 francs congolais (75 dollars)" par mois.
"Nous avions dénoncé le mensonge spectaculaire des résultats des élections du 30 décembre 2018. Mais l'histoire évolue. Nous n'allons pas rester accrochés à la vérité des urnes. Nous devons évoluer", a ajouté le cardinal Ambongo.
Ce message semble s'adresser au candidat de l'opposition, Martin Fayulu, de plus en plus seul à revendiquer la victoire à l'élection du 30 décembre.
A l'époque, les observateurs de l'Eglise catholique lui avaient donné raison en émettant des doutes sur la victoire de l'autre opposant, Félix Tshisekedi, qui gouverne depuis en coalition avec les forces de son prédécesseur, Joseph Kabila.
"Ne passez pas votre temps à vous déchirer. Ce que le peuple attend de vous, c?est servir", a lancé le cardinal, alors que des proches du président Tshisekedi sont à couteaux tirés avec leurs "partenaires" pro-Kabila de la coalition ces derniers jours.
Mgr Ambongo avait été nommé archevêque de Kinshasa en novembre 2018. Il fait partie des treize nouveaux cardinaux créés par le pape François en octobre.
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12/11/2019

Maison Blanche: Buttigieg grimpe dans les sondages, Bloomberg à l?affût

Le jeune maire américain Pete Buttigieg sest hissé jusquaux sommets de la primaire démocrate dans lEtat-clé de lIowa, menaçant lancien vice-président Joe Biden qui fait aussi face à la perspective inquiétante de lentrée en lice du milliardaire Michael Bloomberg dans la course à la Maison Blanche. La lutte est rude pour prendre, ou garder, sa [&]
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12/11/2019

Tchad : Maître Nadji Madou, une expérience au service du pays






Maître Nadji Madou est né le 15 mars 1974. Assistant honoraire de 6ème échelon, il a été intégré à la fonction publique en 2001. Il était également inscrit en première année de thèse de science politique à l'université de Maastricht.

En 1999, il obtient un diplôme de préparatio...






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12/11/2019

Tchad : décès du chef de canton Djaatné ce matin à Ati



Le chef de canton Djaatné est décédé ce mardi matin à Ati. Il sera enterré dans son village natal.






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12/11/2019

Halima Aliko Dangote prend la direction des opérations commerciales du Groupe Dangote






LAGOS, Nigeria - Halima Aliko Dangote a été nommée directrice exécutive des opérations commerciales du Groupe Dangote Industries Limited (DIL) (www.Dangote.com), l?un des conglomérats africains les plus importants et les plus diversifiés.

Selon un communiqué de la Société, Halim...






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© Alberico Barattieri 1989-2021 eccetto ove indicato diversamente