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14/11/2019

Mali : Futur immédiat du Mali : Soit IBK tombe, soit le Mali tombe !

Des hommes armés ont simultanément attaqué le 12 novembre 2019 le commissariat, le camp de la garde nationale et la maison d?arrêt de Diré au Mali.  La mission fixée à notre armée était d?assurer l?intégrité du territoire ainsi que la sauvegarde de la vie des populations. Chargée de cette mission, notre défense ne devrait plus être confiée à [&]
14/11/2019

Mali : Patrouilles conjointes à Ménaka : La MINUSMA aux côtés des Forces de défense et de sécurité maliennes

La Police des Nations Unies (UNPOL) à Ménaka poursuit ses différentes patrouilles dans la commune urbaine. Notre équipe a suivi ses patrouilles qu?elle mène seule ou aux côtés des Forces de défense et de sécurité maliennes. Ce 11 novembre 2019 à 15h, trois véhicules blindés de l?Unité de Protection Togolaise (Togo FPU) sont de sortie. [&]
14/11/2019

Mali: Jeunesse et sports au mali : Arouna Mobibo Touré, le bourreau des défis !

D?exploit en exploit, Arouna Modibo Touré de l?équipe du Dr Boubou Cissé, patron du ministère de la Jeunesse et des Sports, est sans aucun doute un ministre porte bonheur. Partout où il est passé, Papou remporte le challenge. Le ministre Arouna Modibo Touré a une compétence jamais démentie. A 46 ans seulement, il semble être [&]
14/11/2019

Mali: La nouvelle génération de Maliennes veut imiter ses aînées

BAMAKO (Mali) ? Entre l?amour et le respect que deux s?urs peuvent partager, il n?en reste pas moins que dans certaines familles, un brin de compétitivité puisse s?installer, surtout si les deux sont des basketteuses. Cela vient sûrement de la nature du sport. Chez les Gandegas, c?est le cas. Certes, Touty a grandi en admirant [&]
14/11/2019

Mali : Cri de coeur du chanteur Salif Keita et message pour le président IBK

Le Musicien et chanteur malien salif Keita exprime sa colère dans cette vidéo et adresse un message au président Ibrahim Boubacar Keita
14/11/2019

Vers la normalisation des relations en le Kenya et la Somalie


Le Kenya et la Somalie ont convenu jeudi de normaliser leurs relations bilatérales, en commençant par le rétablissement de la délivrance des visas d'entrée aux citoyens des deux nations.Le rétablissement du visa à l'arrivée vise à faciliter la libre circulation des personnes et le commerce entre le Kenya et la Somalie.
L'accord a été conclu au cours d'une réunion entre les présidents Uhuru Kenyatta et son homologue somalien, Mohamed Abdullahi Mohamed en marge de la Conférence internationale des Nations Unies sur la population et le développement (ICPD25) qui vient de prendre fin à Nairobi.
Au cours de la réunion, les deux dirigeants ont réaffirmé « les relations inestimables » qui existent entre le Kenya et la Somalie et ont convenu d'étudier les moyens de renforcer les liens bilatéraux et diplomatiques entre Nairobi et Mogadiscio dans l'intérêt des citoyens des deux pays.
Le président Mohamed a exprimé sa gratitude au président Kenyatta pour le rôle que le Kenya continue de jouer au sein de l'AMISOM et pour l'hospitalité que le pays continue d'accorder à la Somalie.
Les relations entre les deux pays se sont détériorées à la suite d'un différend frontalier maritime.
La Somalie a déposé le différend relatif à la délimitation de la frontière le 28 août 2014 devant la Cour internationale de Justice (CIJ), en revendiquant la propriété d'un triangle riche en pétrole d'une superficie estimée à 62.000 km2 dans l'Océan indien.
Avant cela, les négociations bilatérales avaient traîné pendant six ans sans grand succès.
La Somalie cherche à redessiner la frontière maritime de l'actuelle frontière terrestre au sud de Kiunga vers l'est, pour la faire passer en diagonale.
Si le tribunal se prononce en faveur de la Somalie, le Kenya pourrait perdre jusqu'à 100.000 km2 de mer qui contiendrait d'énormes quantités d'hydrocarbures.
Nairobi a également accusé la Somalie de continuer à vendre des actions pétrolières aux investisseurs même si la région est toujours contestée. Mogadiscio utiliserait des cartes illégales qui empiétaient sur le côté kenyan, mais elle nie avoir empiété sur le territoire kenyan.
Selon des connaisseurs, Nairobi estime que les compagnies pétrolières et gazières alimentent le conflit, certaines d'entre elles prenant déjà des positions stratégiques pour se joindre à la course à l'exploration peu de temps après que le tribunal se soit prononcé sur la question.
Au cours de la réunion avec Kenyatta, le dirigeant somalien s'est dit convaincu que le différend relatif à la frontière maritime entre son pays et le Kenya qui est actuellement devant la Cour internationale de Justice à La Haye sera réglé d'une manière mutuellement acceptable.
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14/11/2019

Rwanda : Kagame hausse le ton contre les « saboteurs »


Le président rwandais, Paul Kagame a déclaré, jeudi, que des forces négatives se cachent derrière la politique, la liberté et la démocratie pour saper la sécurité nationale de son pays.Il s'exprimait lors d'une cérémonie d'assermentation des nouveaux membres du cabinet et des hauts responsables militaires à Kigali.
« Nous allons augmenter les moyens que nous mettons dans la sécurité contre toute personne impliquée dans des plans visant à déstabiliser le pays », a-t-il promis.
«Aujourd'hui, nous avons pris la sécurité plus ou moins pour acquise... Nous continuerons à la prendre pour acquise par tous les moyens », a ajouté Kagame.
S'exprimant peu après la prestation de serment des nouveaux membres du cabinet et des hauts responsables militaires, le dirigeant rwandais a également souligné que les personnes qui veulent déstabiliser le pays vont payer un prix très élevé.
« Vous ne pouvez pas être ici en train de profiter de la paix et de la sécurité que nous avons créées, que nous avons payées de notre sang pendant de nombreuses années, puis vous faites des choses dans notre dos et nous causez des problèmes », a-t-il dit.
Les nouveaux membres du cabinet rwandais sont les ministres Jeanne d'Arc Mujawamariya (Environnement), Patrick Nyamvumba (Sécurité intérieure), Aurore Mimosa Munyangaju (Sports).
Ont également prêté serment, Edouard Bamporiki, nommé ministre d'Etat au ministère de la Jeunesse et de la Culture, et Ignatienne Nyirarukundo, nouveau ministre d'Etat chargé des Affaires sociales au ministère de l'Administration locale.
Les remarques de Kagame font suite à une attaque menée par un groupe d'assaillants inconnus le mois dernier contre des civils à Kinigi, un village du nord du Rwanda près de la frontière avec l'Ouganda et la République démocratique du Congo.
Selon la police rwandaise, au moins 14 villageois ont été tués lors d'un raid mené par des individus armés de machettes dans le village situé près de la forêt dense.
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14/11/2019

MTN choisi pour la digitalisation de la fonction publique camerounaise


L'opérateur sud-africain Mobile Telecommunications Network (MTN) a signé un mémorandum d'entente avec le ministère camerounais en charge de la Fonction publique et de la Réforme administrative (Minfopra) en vue d'accompagner ce dernier dans sa transformation digitale, a appris APA jeudi auprès des services compétents dudit département.Bien que ni le montant ni la durée du contrat n'aient pas été précisés, l'on apprend néanmoins que des solutions numériques seront développées afin de fournir des moyens simples, rapides et sécurisés permettant d'obtenir les informations dont auront besoin le personnel de l'État, ainsi que l'ensemble des usagers.
Les technologies et l'expertise apportées par MTN permettront ainsi, selon le Minfopra, le traitement automatique des réclamations en ligne afin de désengorger les ministères utilisateurs, améliorer le système d'information et d'alerte pour mieux renseigner les usagers, éviter les files d'attente et les éventuels déplacements des fonctionnaires de leurs régions vers la capitale, Yaoundé.
Il s'agira de solutions simples, accessibles, sécurisées et innovantes, insiste-t-on, permettant à des fonctionnaires en région d'avoir accès à un serveur vocal qui les renseignerait sur la composition d'un dossier, envoyer des pièces permettant de composer un dossier, accéder à certains services le week-end ou après les horaires de travail.
Il convient de noter que pour cette prestation, MTN était en lice avec le français Orange et un consortium mené par le marocain Arago Consulting.
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14/11/2019

Le Groupe marocain de la BCP lève 300 millions d?euros en faveur de la Côte d?Ivoire


Le groupe marocain de la Banque centrale populaire (BCP) a levé 300 millions d'euros en faveur de la Côte d'Ivoire, une enveloppe qui rentre dans le cadre de la vision stratégique 2025 du marché ivoirien de la dette publique.Cette levée de fonds fait partie de la vision stratégique 2025 du marché ivoirien de la dette publique. Elle sera portée par le consortium Upline Corporate Finance et Atlantique Finance, banques d'affaires du groupe BCP respectivement au Maroc et en Côte d'Ivoire.
Pour rappel, la BCP et l'État ivoirien ont signé, mercredi, un protocole d'accord portant sur une mission de conseil pour l'optimisation de la gestion de la dette publique et sur cet emprunt obligataire.
À cet égard, le Directeur général de la BCP et de l'International, Kamal Mokdad s'est félicité de cet accord à portée stratégique pour la Côte d'Ivoire sur son marché de la dette.*
Ce mandat, qui vient renforcer un partenariat historique et durable, bénéficiera de l'expertise internationale du Groupe Banque centrale populaire en matière de levée de fonds, et notamment à travers des mécanismes de captation de nouvelles catégories d'investisseurs», a-t-il déclaré.
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14/11/2019

Tanger : Le Président Macky Sall reçoit le Grand prix MEDays


Le Président sénégalais, Macky Sall a reçu mercredi soir à Tanger, le Grand Prix de la 12ème édition du forum MEDays 2019, organisée sous le thème « Crise globale de confiance : faire face aux incertitudes et à la subversion ».S'exprimant à cette occasion, le chef de l'Etat sénégalais a tenu à adresser son salut fraternel au Roi Mohammed VI, exprimant dans ce sens ses sincères remerciements pour l'accueil toujours convivial qui lui a été réservé dans la pure tradition d'hospitalité marocaine.
« Le Maroc nous est familier parce que nos relations sont anciennes, diverses et fortes», a ajouté le Président sénégalais, notant qu'« en effet, de tout temps, l'espace sahélo-saharien a été un continûment de flux intenses rythmés par des caravanes commerciales, des missions diplomatiques et des échanges spirituels et notre présence à Tanger s'inscrit dans la continuité de cette longue histoire».
J'accepte avec plaisir le Grand Prix MEDays 2019, a dit Macky Sall, précisant qu'il y voit certes la reconnaissance des efforts déjà consentis, mais surtout un encouragement à poursuivre ces efforts tant les défis sont encore nombreux dans le Continent Africain.
Pour le Président sénégalais, il n'est possible de relever ces défis que dans un environnement de paix, de sécurité et de stabilité, qui offre la quiétude nécessaire au développement économique et social, ce qui donne sens au thème de cette 12e édition du Forum MEDays.
Il est vrai que le cours de l'histoire n'est pas rassurant, notamment en ces temps de crise aiguë et de vulnérabilité multiples, crise et vulnérabilité environnementales qui mettent en péril le devenir de la planète, de ses habitants ainsi que de ses ressources, crise et vulnérabilité sécuritaires et humanitaires, et crise et vulnérabilité économiques et sociales qui mettent à nue le paradoxe d'un monde d'extrême opulence et d'extrême pauvreté, a ajouté Macky Sall, relevant qu'au sein et entre les Etats, les inégalités persistent.
« Nous ne pouvons pas nous résigner à la perte de confiance, nous ne devons céder ni à l'hégémonisme civilisationnel, ni à l'inquiétude du présent, ni à la peur du lendemain, au risque de ne pas agir», a estimé le Président sénégalais, soulignant que le devoir d'agir engage tout le monde, que ce soit le pouvoir public, le secteur privé, la société civile ou les citoyens.
La 12e édition du Forum international MEDays, qui se tient du 13 au 16 novembre à Tanger, traite une série de thématiques allant de la croissance économique à la complexité du dialogue Nord-sud, en passant par les défis sécuritaires.
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14/11/2019

Destitution: les soutiens de Trump organisent sa défense

Minimiser, dénigrer, contre-attaquer: la Maison Blanche a repris jeudi la stratégie de défense développée la veille par les élus républicains lors des premières auditions télévisées de lenquête en destitution qui menace Donald Trump. Alors que deux hauts diplomates témoignaient au Congrès des pressions exercées sur lUkraine pour quelle salisse un rival du président américain, celui-ci [&]
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14/11/2019

Rohingyas: feu vert de la CPI à une enquête sur des crimes présumés


La Cour pénale internationale (CPI) a donné jeudi son feu vert à une enquête sur les crimes présumés commis contre la minorité musulmane rohingya en Birmanie, pays confronté à une pression juridique croissante à travers le monde.
Les juges de la Cour, chargée de juger les pires atrocités commises dans le monde, ont donné leur aval à la procureure de la CPI, Fatou Bensouda, pour mener une enquête approfondie sur les actes de violence et la déportation alléguée de cette minorité musulmane, qui pourrait constituer un crime contre l'humanité.
En août 2017, plus de 740.000 musulmans rohingyas ont fui la Birmanie, majoritairement bouddhiste, après une offensive de l'armée en représailles d'attaques de postes-frontières par des rebelles rohingyas. Persécutés par les forces armées birmanes et des milices bouddhistes, ils se sont réfugiés dans d'immenses campements de fortune au Bangladesh.
Mme Bensouda a salué la décision de la Cour, estimant qu'elle "envoie un signal positif aux victimes des atrocités en Birmanie et ailleurs".
"Mon enquête visera à découvrir la vérité", a-telle ajouté dans un communiqué, en promettant une "enquête indépendante et impartiale".
La décision de la CPI intervient après une rude semaine pour le pays de l'Asie du Sud-Est : mercredi, une plainte a été déposée en Argentine concernant les crimes contre les Rohingya en Birmanie, en invoquant le principe de justice universelle. Cette plainte vise notamment l'ancienne icône de la démocratie, Aung San Suu Kyi, cheffe de facto du gouvernement.
La plainte pour torture, disparition et abus sexuels notamment, a été déposée devant un tribunal de Buenos Aires, où la juge Maria Servini doit déjà instruire des plaintes concernant des crimes commis pendant la Guerre civile espagnole (1936-39) et la dictature de Francisco Franco (1939-75).
- Justice internationale -
Lundi, la Gambie, mandatée par les 57 États membres de l'Organisation de la coopération islamique, a entamé une action judiciaire devant la Cour internationale de justice (CIJ) contre la Birmanie pour ses "actes de génocide" à l'encontre de la minorité musulmane des Rohingyas.
La Gambie demande notamment à la CIJ, plus haute juridiction de l'ONU basée à La Haye, d'ordonner à la Birmanie de "cesser ses actes de génocide" et "d'en punir les auteurs". La CIJ devrait tenir des audiences sur l'affaire dans les prochains mois.
De leur côté, les juges de la CPI, également basée à La Haye, ont évoqué des allégations "d'actes de violence systématiques", d'expulsion en tant que crime contre l'humanité et de persécution fondée sur l'appartenance ethnique ou la religion contre les Rohingya.
Bien que la Birmanie ne soit pas un État membre du Statut de Rome, traité fondateur de la Cour, celle-ci s'était déclarée compétente pour enquêter sur la déportation présumée de cette minorité vers le Bangladesh, qui est lui un État partie.
La Birmanie, qui a toujours réfuté les accusations de nettoyage ethnique ou de génocide, avait "résolument" rejeté la décision de la CPI, dénonçant un "fondement juridique douteux".
En septembre 2018, un examen préliminaire avait déjà été ouvert par la procureure, qui avait ensuite demandé l'ouverture d'une véritable enquête, pour laquelle les juges ont donné jeudi leur feu vert.
Les investigations pourraient à terme donner lieu à des mandats d?arrêt contre des généraux de l'armée birmane.
Des enquêteurs de l'ONU avaient demandé en août 2018 que la justice internationale poursuive le chef de l'armée birmane et cinq autres hauts gradés pour "génocide", "crimes contre l'humanité" et "crimes de guerre". Des accusations rejetées par les autorités birmanes.
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14/11/2019

Partout en France, les personnels hospitaliers crient misère


Manque de bras, de temps et de matériel: dans tous les cortèges de personnels hospitaliers qui ont défilé jeudi dans les grandes villes françaises, les mêmes histoires reviennent et racontent un système détraqué, qui laisse les patients "sur le carreau" et fait "craquer" les soignants.
A Toulouse, "c'est allé trop loin"
Isabelle Roger, kinésithérapeute
"Là, c'est allé trop loin. On est tout le temps obligé de trier, de prioriser. Parfois on ne peut même pas sortir un patient de son lit pendant deux jours."
"On fait des journées très longues, mais le plus dur c'est le poids psychologique par rapport aux patients, quand on en laisse la moitié sur le carreau."
A Marseille, "économies à tous les niveaux"
Morgane Girard, psychologue clinicienne
"On a un bureau pour cinq, une demi-heure par patient, et une liste d'attente pour consulter un psychologue qui atteint un an pour certains."
"Les économies se font à tous les niveaux, de la pâte à modeler pour les enfants patients aux boîtes de mouchoirs en papier pour lesquelles on doit se battre".
A Strasbourg, "il faut avoir la foi"
Elodie Lehacaut, infirmière
"On ne prend plus en charge que la phase aiguë, plus les patients en convalescence. C'est du travail humain mais à la chaîne. Et on n'a pas de pause fixe, c'est seulement si le service le permet."
"Moi j'aime mon métier, mais il faut avoir la foi. On se demande dans quel état on va arriver à la retraite. On voit les collègues craquer les uns après les autres."
A Lille, "on ne s'y retrouve plus"
Clément Fournier, pneumologue
"La situation du service public hospitalier ne fait que se dégrader avec des soignants qui sont de plus en plus en souffrance. On reste sur l'idée qu'on a le meilleur système de santé du monde, ça n'est plus vrai depuis plusieurs années."
"Soit ça change, soit on va être de nombreux médecins à se poser la question de quitter l'hôpital public, parce qu'on ne s'y retrouve plus."
A Bordeaux, "des histoires de rentabilité"
Gilles Combeau, infirmier anesthésiste
"Au bloc opératoire, au lieu de faire un programme des opérations de 8h à 16h, on est obligé de le faire de 8h à 23h: pour des histoires de rentabilité, on ne travaille plus qu'avec trois salles alors qu'on en a cinq."
"Normalement, les opérations programmées devraient être réglées plus tôt. Ca fait forcément une mauvaise prise en charge."
A Besançon, "plus assez de matériel"
Cécile Fourgeux, étudiante en 6e année de médecine
"Les médecins ont tellement de travail qu'ils n'ont plus le temps de nous apprendre le métier, on est de moins en moins bien formés. Nous, étudiants, il nous arrive de faire du travail administratif et de remplacer les secrétaires."
"Et on n'a plus assez de matériel. Une fois, j'ai entendu un chirurgien dire +On n'a plus un bistouri qui coupe correctement+. Vous imaginez, un bistouri qui ne coupe pas bien, pour une opération ?"
A Rennes, "on tire sur la corde"
Céline Vigneau, néphrologue
"Nous ne sommes pas en grève contre notre direction, mais pour sauver l'hôpital public, pour augmenter le financement de la santé."
"Nous manquons de lits parce qu'on ne peut pas embaucher de personnel, on tire sur la corde avec un personnel qui doit s'occuper de plus en plus de malades. Nous avons une médecine moins humaine. Nous n'avons plus de temps à consacrer à nos malades."
A Paris, "la méthode du tourniquet"
Mareva Lhermitte, interne en pédo-psychiatrie
"Je peux être de garde le vendredi, c'est à dire travailler de 18h à 8h30 le lendemain, sans qu'on me donne mon temps de repos sécuritaire derrière."
"En psychiatrie, il y a parfois des listes d'attente de 10 à 12 patients, donc nous appliquons la méthode du tourniquet: les patients sont hospitalisés pendant trois semaines uniquement, avant d'être +relâchés+, ce qui n'est souvent pas assez."
burs-gbh/cel/cam
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14/11/2019

L?implacable répétition des fusillades à l?école en Amérique


Les Etats-Unis sont le seul pays développé où se répètent désespérément les fusillades en milieu scolaire, comme celle qui a endeuillé jeudi un lycée en Californie. Voici les principales récentes, ainsi que les plus meurtrières de l'Histoire.
- Santa Clarita, Californie, 14 novembre 2019 -
Un adolescent de 16 ans marque le jour de son anniversaire en tirant sur des élèves de son lycée, tuant deux camarades et en blessant trois autres avant de tenter de se suicider. Les victimes ont 14/15 ans.
- Highlands Ranch, Colorado, 7 mai 2019 -
Deux adolescents ouvrent le feu dans un établissement scolaire de la banlieue de Denver, tuant un lycéen de 18 ans et faisant huit blessés.
- Santa Fe, Texas, 18 mai 2018 -
Un élève de 17 ans fauche sous ses balles 20 personnes dans son lycée: deux adultes et huit jeunes succombent. Le tireur est depuis emprisonné.
- Parkland, Floride, 14 février 2018 -
Le jour de la Saint-Valentin, un jeune homme de 19 ans, Nikolas Cruz, décharge son fusil semi-automatique au lycée Marjory Stoneman Douglas, dont il avait été exclu pour raisons disciplinaires. On déplore 17 morts dont une majorité d'adolescents. Le tireur est arrêté.
- Benton, Kentucky, 23 janvier 2018 -
Un élève de 15 ans abat à l'arme de poing deux autres élèves du même âge au lycée de Marshall County. Dix-huit autres personnes sont blessées par balle ou dans le chaos créé par les tirs.
- Roseburg, Oregon, 1er octobre 2015 -
Un étudiant de 26 ans abat neuf personnes à l'université d'Umpqua. Blessé, il se tire une balle dans la tête.
- Oakland, Californie, 2 avril 2012 -
Un homme abat méthodiquement sept personnes dans la petite université Oikos en Californie. Le tireur, un ancien étudiant d'origine coréenne, est arrêté et meurt sept ans plus tard en prison.
- Newtown, Connecticut, 14 décembre 2012 -
Après avoir abattu sa mère, un déséquilibré de 20 ans, Adam Lanza, tue 26 personnes, dont vingt enfants âgés de 6 et 7 ans, à l'école primaire Sandy Hook. Il se suicide après. Les Etats-Unis restent hantés par ce massacre en raison des nombreux enfants tués.
- Université Virginia Tech, Virginie, 16 avril 2007 -
Un étudiant déséquilibré originaire de Corée du Sud fait 32 morts avec ses deux pistolets semi-automatiques, avant de se suicider dans cet établissement d'enseignement supérieur réputé.
- Columbine, Colorado, 20 avril 1999 -
Deux élèves du lycée Columbine, âgés de 17 et 18 ans et lourdement armés, abattent en quelques minutes douze camarades et un professeur avant de se suicider dans la bibliothèque. Le bilan aurait été pire encore s'ils avaient réussi à faire détoner leurs bombes artisanales.
- Austin, Texas, 1er août 1966 -
Un ancien Marine juché au sommet de la tour du bâtiment principal de l'université du Texas à Austin tire au hasard durant plus de 90 minutes sur toutes les personnes qu'il aperçoit en bas. Il fait une quinzaine de morts et une trentaine de blessés avant d'être tué.
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14/11/2019

A Guantanamo, Diaz-Canel dit aux « yankees » que Cuba ne se rend pas


"Zone ultra-sensible pour la défense", dit le panneau à l'entrée du village de Caimanera, à deux kilomètres de la base militaire américaine de Guantanamo: c'est l'endroit qu'a choisi le président cubain Miguel Diaz-Canel pour répéter jeudi aux "yankees" que Cuba ne cèdera pas aux pressions de Washington.
"Les yankees continuent de nous étrangler, mais nous résistons", a-t-il lancé à un groupe d'habitants du village, baptisé par les autorités "première tranchée anti-impérialiste" pour sa proximité avec la base.
Petit port de pêche, Caimanera et ses 10.000 habitants n'intéresseraient pas tant le chef de l'Etat s'ils n'étaient situés sur la côte ouest de la baie de Guantanamo, à seulement deux kilomètres au nord de la base navale américaine du même nom, qui occupe depuis 1903 un territoire de 117 kilomètres carrés.
De cette surface, seuls 49 kilomètres carrés sont sur la terre ferme. Le reste? De l'eau et des marécages. Et tout autour de la base navale, une zone minée.
L'entrée même à Caimanera est contrôlée par les militaires. Le village ressemble à tout autre village cubain: des rues balayées par la brise de mer, des bicyclettes et des carrioles à cheval comme moyens de transport. Sur la côte, on aperçoit des pêcheurs en train de lancer leurs filets.
On y croise régulièrement des soldats des Forces armées révolutionnaires, vêtus de l'uniforme vert olive, qui patrouillent aux abords de la baie militarisée.
- Première visite -
"Oh, c'est beau", s'exclame une dame du village, à l'arrivée du cortège présidentiel. Le chef de l'Etat y fait sa première visite depuis son arrivée au pouvoir en avril 2018, et à sa descente de voiture il est acclamé par des vivats pour ses prédécesseurs, Fidel et Raul Castro.
Miguel Diaz-Canel, qui a multiplié les voyages en province ces derniers mois pour mieux se faire connaître du grand public, s'approche des habitants, leur explique son programme, celui de ses ministres qui vont aussi être présents avec lui dans le village.
Il leur explique aussi que les Etats-Unis renforcent leur embargo contre l'île, en vigueur depuis 1962, avec un seul objectif: ils veulent "continuer à asphyxier l'économie, en pensant que ce peuple va se rendre".
Et il leur rappelle que Washington tente d'empêcher la livraison de carburant à Cuba, ce qui a provoqué de graves pénuries et obligé les autorités à mettre en place un strict plan d'économies.
Les Etats-Unis accusent le gouvernement cubain d'opprimer son peuple, avec un système de parti unique - le Parti communiste - qui n'admet aucune opposition, et de soutenir militairement le Venezuela de Nicolas Maduro.
- "Nous allons résister" -
"Toutes les semaines apparaît une nouvelle mesure", assure le président Diaz-Canel. Le gouvernement cubain en a comptabilisé plus de 180 depuis juin 2017.
Parmi elles, l'activation en mai de la loi américaine Helms-Burton, qui menace de poursuites des entreprises étrangères présentes sur l'île. Des géants comme American Airlines, Carnival et Amazon sont depuis dans le viseur de la justice.
"A Cuba, nous allons résister, nous ne nous rendrons jamais, et avec le soutien de tous, nous allons continuer à développer nos idées, nos concepts et le pays continuera d'avancer", a promis le chef de l'Etat.
Cuba exige des Etats-Unis qu'ils lui rendent ce territoire, qui abrite depuis 2002 un centre de détention pour "combattants ennemis" ouvert dans le cadre de la "guerre contre le terrorisme" lancée par le président d'alors, Georges W. Bush, après les attentats du 11 septembre 2001.
Au plus fort de son activité, cette prison, dont les conditions de détention ont été souvent décriées, a hébergé jusqu'à 680 détenus, mais actuellement ils ne sont plus que 40.
Le président Barack Obama avait entamé les démarches pour fermer ce centre controversé, mais son successeur Donald Trump a signé en janvier 2018 l'ordre donné au Pentagone de le garder ouvert.
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14/11/2019

Tchad : l'accord de paix à Miski salué






Le président du Réseau des associations pour la paix et la cohabitation pacifique du Logone Occidental (RAPCLO), Moussa Alkali Moussaa félicité dans un communiqué le président Idriss Deby Itno et le Gouvernement tchadien pour avoir largement contribué à la restauration de la pai...






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14/11/2019

11 novembre, commémoration de l?armistice de 1918




L’Ambassadeur de France au Tchad, M.Bertrand COCHERY et le général de division L’Ambassadeur de France au Tchad...






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14/11/2019

Tchad : le ministre de l'Environnement réceptionne des oryx et addax à l'Est






Le ministre de l'Environnement, de l'Eau et de la Pêche, Mahamat Ibrahim Djamaladine, a réceptionné mercredi à l'aéroport d'Abéché, un convoi de 15 addax.

L'avion cargo s'est posé en fin de journée sur le tarmac de l'aéroport.

Le gouverneur de la province d...






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14/11/2019

Tchad : une mission de contrôle séjourne à Moundou






Une mission de contrôle séjourne depuis ce matin à Moundou, chef-lieu de la province du Logone Occidental.

Le but de la mission est de faire un contrôle à la mairie afin de faire la lumière sur la gestion de cette institution qui fonctionne difficilement.

Le personnel est e...






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14/11/2019

Tchad : les commerçants appelés à déposer les armes à l'Est, déjà 18 Famas récupérés






Les opérateurs économiques de la ville d'Abéché ont reçu ce jeudi matin, dans leur bureau de la chambre de commerce et de l'artisanat, le comité mixte de désarmement. L'objectif de cette rencontre est de sensibiliser les commerçants qui détiennent des armes à feu afin de les déposer aux autorité...






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14/11/2019

Tchad : le "mouvement des 12 revendications" durcit le ton






La branche de la société civile du M12R, composée de l'association des anciens étudiants du Japon, l'association des jeunes pour la paix et le développement ainsi que 72 autres associations, a animé ce jeudi une conférence de presse.

D?après Moïse Ndondo, membre du M12R, "l...






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14/11/2019

Tchad : le faible taux d'enfants inscrits à l'école inquiète au Batha






Le préfet de département du Batha Ouest, le sous-préfet d'Ati rural, l'inspecteur de l'enseignement et le syndicat départemental des enseignants ont animé jeudi à Birni,chef-lieu de canton Medogo situé à 55 km d'Ati, un meeting de sensibilisation intitulé "Ecole d'abord".

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14/11/2019

Tchad : le président de l?Assemblée en visite à l?hôpital de la renaissance






Le président de l'Assemblée nationale, Haroun Kabadi, a visité jeudi matin l'hôpital de Renaissance pour s'enquérir du fonctionnement de cet établissement hospitalier. Il était accompagné du 4ème vice-président, Ahmat Annadif, de quelques membres du bureau de l'Assemblée et de députés.





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13/11/2019

Regeni: Di Maio, procure si incontrino

'Egitto ha ruolo chiave ma vogliamo avere giustizia per Giulio'
13/11/2019

Polio in Nigeria: 'I opposed vaccinations until my son caught polio'

A Nigerian father who used to chase health workers away from his home has a change of heart.
13/11/2019

Libya: Migrant mother's dying wish to get children to Europe

The BBC's Orla Guerin meets a family waiting to cross to Europe from Libya with orphaned children whose mother died on the way.
13/11/2019

Fire after gas leak in Egypt kills seven, injures 16 ? state newspaper

At least seven people were killed and 16 injured in a fire in a Nile Delta village on Wednesday evening, hours after the attempted theft of gas from a pipeline caused a...
13/11/2019

Recap: Sierra Leone held at home by Lesotho as Nigeria top group

A last-gasp Lesotho equaliser in an empty Siaka Steven Stadium on Wednesday denied Sierra Leone opening victory at home. Both nations face each other for the first time in continental football history in a closed-doors contest. Icelandic-based midfielder...
13/11/2019

Tunisia parliament elects Ennahdha's Rachid Ghannouchi as speaker

Rival Heart of Tunisia supports Ghannouchi's election and appears likely to join coalition government with Ennahdha.
13/11/2019

Egypt under fire over 'shrinking' freedoms at UN rights review

Representatives of wide range of countries voice concern over serious abuses during UN's Universal Periodic Review.

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