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26/03/2021
Tchad : la Police nationale met en garde contre l'incitation à la violenceLe porte-parole de la police nationale, le commissaire Paul Manga, a fait un point de presse vendredi pour mettre en garde les responsables des partis politiques, organisations de défense des droits de l'Homme et société civile qui incitent à la violence lors des différentes marches non autorisées... (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); |
26/03/2021
Tchad : en meeting au Wadi Fira, Pahimi Padacké s'engage à améliorer les conditions de vieLe candidat du RNDT Le Réveil pour la présidentielle d'avril 2021, Pahimi Padacké Albert, a animé le 25 mars un meeting à Biltine, dans la province du Wadi Fira. Le discours d'ouverture de Oumar Taboye, coordonnateur provincial du parti au Wadi Fira, a été suivi de la déclaratio... (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); |
26/03/2021
Tchad : Un atelier sur les risques professionnels au travail, organisé par la CNPS au CEFOD, du 18 au 19 mars 2021Mettre au même niveau d?information les responsables des ressources humaines et les médecins d?entreprises dans la gestion et le traitement des dossiers d?accidents du travail et maladies professionnelles : c?est l?objectif assigné à l?atelier organisé au CEFOD du 18 au 19 mars 2021 par la Caiss... (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); |
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26/03/2021
Tchad : le candidat Idriss Deby a retiré sa carte d'électeurLe candidat du consensus Idriss Deby et son épouse Hinda Deby ont retiré vendredi leur carte d'électeur à N'Djamena, à deux semaines du 1er tour de l'élection présidentielle. Idriss Deby a invité les électeurs à faire le même geste. "Nous devons avoir la pleine conscience de l... (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); |
26/03/2021
Lac Tchad : l'ASYDESEC lance une réflexion axée sur la lutte contre l'extrémisme violentL'association Yedena pour le développement économique, social, environnemental et culturel (ASYDESEC) a lancé le 25 mars un atelier de réflexion sur la question transfrontalière entre le Tchad, le Niger et le Cameroun. L'évènement est placé sous le thème : "consolidation etpérennisation de... (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); |
26/03/2021
Tchad : Le "Cheval Gagnant" (bureau de soutien au MPS), lance officiellement ses activitésIl s'est tenu ce 25 mars 2021, au palais du 15 janvier, une cérémonie d'installation des membres du bureau de soutien au MPS, "CHEVAL GAGNANT" ainsi que le lancement officiel de ses activités. Il s'est tenu ce 25 mars 2021, au palais du 15 janvier, une cérémoni... (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); |
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26/03/2021
Tchad - Covid-19 : 15 nouveau cas, 14 guéris, 228 malades sous traitementLa situation épidémiologique de la maladie à coronavirus de ce vendredi 26 mars 2021 se présente comme suit : - 240 échantillons analyses : - 15 cas confirmés, - 09 à Ndjamena, 03 Moyen Chari, 01 au Mandoul, 01 au Logone Occidental, 01 à Hadjer Lamis - 1... (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); |
26/03/2021
Union Africaine : Le Directeur de cabinet de Moussa Faki Mahamat a présenté sa démission ce vendrediLe diplomate malien et ancien ministre des affaires étrangères, Abdoulaye Diop a annoncé sur sa page Twitter, ce vendredi 26 mars, avoir démissionné de son poste de directeur de cabinet du Président de la commission de l'Union Africaine, M. Moussa Faki Mahamat. Le diplomate malien et ancie... (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); |
26/03/2021
Élections au Tchad : l?UTPC lance sa campagne au Logone OccidentalLe parti Union des travailleurs progressistes pour la cohésion (UTPC) a lancé officiellement ce 26 mars à Moundou, dans la province du Logone Occidental, la campagne présidentielle pour le compte de son parti. Ce sont des militants venus de plusieurs localité de la province, fortement mobilisés e... (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); |
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25/03/2021
Niger: 11 persone uccise in tre attacchi al confine con MaliArea di frequenti raid jihadisti, oltre 300 morti da inizio anno
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25/03/2021
Libia: Di Maio, si ritirino mercenari e forze straniere'Riaprire strada Sirte-Misurata in applicazione cessate fuoco'
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25/03/2021
Somalia photography: 'I want it to be normal for women to take photos'A photography exhibition in Somalia by two women challenges the way the country is seen.
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25/03/2021
In pictures: Efforts to dislodge huge ship from Egypt's Suez CanalTugboats and diggers are trying to get a container ship stuck in the Suez Canal moving again.
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25/03/2021
Libia, l?omicidio di Werfalli il macellaio di Bengasi «Era diventato un problema per Haftar»Un alto ufficiale vicino al Generale svela perché è stato ucciso il braccio armato dell?uomo forte della Cirenaica. La Corte dell?Aja aveva emesso due mandati su di lui per crimini di guerra
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25/03/2021
Natur?Art : L?art vecteur de changementPromouvoir la femme et la beauté africaine et sauvegarder les attributs naturels de cette beauté, c?est l?objectif de Natur?Art, un projet de sensibilisation pour convaincre les femmes de renoncer à se dépigmenter la peau et à se défriser les cheveux. Un projet ambitieux et « un sujet sensible », reconnaît Awa Bagayoko, artiste comédienne et porteuse du projet. C?est pourquoi elle a choisi de cibler prioritairement la jeune fille, souvent influencée par des stéréotypes de beauté qui font de la femme « de teint clair » l?idéal. Il faut donc bannir de l?esprit des jeunes filles, qui ignorent souvent les dangers qu?elles courent, cette « idéologie », car « la beauté est plurielle, mais naturelle », ajoute Awa Bagayoko. S?il était marginal il y a quelques décennies, le phénomène de la dépigmentation a pris tellement d?ampleur dans notre société qu?il n?épargne plus aucune couche sociale. Intellectuelle ou non instruite, environ une femme sur quatre, soit 25% de la population féminine, s?adonne à cette pratique. Une habitude dangereuse, qui porte atteinte au pouvoir économique et à la santé des femmes. Elles sont par ailleurs concernées par plusieurs types de cancers, dont certains favorisés par la dépigmentation. Responsabilités partagées ? Souvent accusés d?avoir un regard plus admiratif pour les femmes de teint clair, les hommes sont-ils responsables de cette tendance fâcheuse ? « Il y a ce fardeau qui fait que les femmes sont influencées. Mais généralement les hommes disent on aime les femmes claires mais pas dépigmentées », justifie Lévi Togo, Président de l?association Anw Ka blon et initiateur du projet. C?est aux femmes de comprendre qu?il faut s?assumer et s?accepter, poursuit-il. « Même si les conséquences sont nombreuses et peuvent toucher les hommes, ce sont les femmes les premières concernées ». Le phénomène est complexe, parce que ce sont souvent des « femmes claires » qui sont attirées par la dépigmentation. Un paradoxe qui pourrait s?expliquer par le fait qu?elles ne « mesurent pas les dangers », estime Samba Diakité, administrateur du projet, mais aussi par l?influence négative qu?exercent les femmes entre elles, selon lui. Malgré l?ampleur du phénomène, il est encore temps d?attirer l?attention des jeunes générations, grâce à des messages de sensibilisation véhiculés à travers l?art. Photographies, peintures, sketches, panels de discussions, caravane et concert, Natur?Art se déroulera du 26 au 27 mars 2021 au Mémorial Modibo Keïta et fera appel à des personnalités, spécialistes de la santé et personnes ressources du monde de la culture. Fatoumata Maguiraga Cet article Natur?Art : L?art vecteur de changement est apparu en premier sur Journal du Mali. |
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25/03/2021
Mali ? Modibo Sidibé: « Je ne me soustrairai à aucune responsabilité »Le Président des Forces alternatives pour le renouveau et l?émergence (Fare An Ka Wuli), l?ancien Premier ministre Modibo Sidibé, l?une des figures de proue du M5-RFP et l?un des potentiels futurs candidats à la course pour Koulouba en 2022, a accepté de répondre aux questions de Journal du Mali. Transition, présidentielle, rapports avec le M5, vie de son parti, refondation du Mali, dialogue avec les djihadistes, il aborde dans ce long entretien, sans détours, des questions essentielles de l?actualité sociopolitique. Vous avez participé activement, au M5-RFP, à la chute du régime de l?ex Président IBK. Aujourd?hui, est-ce que la transition va dans le sens du changement et de la refondation du Mali auxquels vous aspiriez ? Il y a eu des difficultés dès le début, parce que nous n?avions pas la même compréhension. Et le fait qu?ils (les militaires) aient voulu faire de la Conférence des forces vives un moment pour essayer de faire valoir leurs points de vue a créé des frustrations et des différences de visions. La façon dont nous voulions que la Conférence des forces vives se passe était bien loin de ce qu?ils en ont fait. Vous avez d?ailleurs entendu des réactions de certains membres du M5 sur la façon dont les choses ont été menées. Nous, notre combat était d?obliger le Président IBK à une transition politique afin que nous puissions profiter de ce laps de temps pour refonder le Mali. Refonder le Mali, cela veut dire que nous devons nous interroger de façon endogène sur notre propre histoire institutionnelle et voir quel a été le parcours de l?État postcolonial, qui, véritablement, a rendu peut-être des services, mais n?a pas pris. Aujourd?hui, il est donc bon que le peuple malien se prononce sur les questions de l?État, de la Constitution, des institutions et même de démocratie. C?est cela le sens de la refondation. Il faut que les Maliens se retrouvent, à travers des Assises nationales de la refondation, pour débattre et déboucher sur un vrai renouveau de la démocratie, du politique, du citoyen et de la gouvernance. Aujourd?hui la transition ne va pas dans ce sens. C?est pourquoi dernièrement vous avez entendu le M5 dire qu?il allait travailler à une rectification. Êtes-vous favorable à une éventuelle prolongation de la transition ? Tout le monde est d?accord sur l?idée de ne pas voir de prolongation. Mais il n?y a pas de refus de prolongation en soi. Il faut examiner la situation, voir quelles sont les solutions qui se présentent à nous en raison des objectifs si nous voulons atteindre un minimum et ce qu?il faut faire pour créer les conditions des plus grandes réformes dans la durée. Voilà autant de questions auxquelles il faut que les uns et les autres répondent. Nous, nous sommes en interrogation au niveau de notre parti. Au niveau du M5, nous ne l?avons pas achevée. Ce sont pourtant des questions fondamentales. Votre parti ne semble pas avoir beaucoup évolué ces dernières années. Pour preuve, lors des dernières législatives contestées, vous n?aviez obtenu aucun siège de député? Nous n?avons pas présenté beaucoup de candidatures aux élections législatives de 2020 et nous n?avons pas voulu nouer certaines formes d?alliances, comme d?autres partis l?ont fait. Nous sommes allés à la bataille non seulement sur la base de quelques alliances mais avec nos valeurs, parce que les candidats des circonscriptions les portent, mais aussi avec notre éthique en la matière concernant les fraudes, les manipulations et autres pratiques. À Yanfolila, par exemple, nos 36 élus communaux sont des élus propres, qui ne sont pas mouillés dans quoi que ce soit, qui se sont présentés tels qu?ils sont avec leurs souhaits pour le pays. Nous étions aussi pour que les élections législatives ne se tiennent pas. Nous en avions demandé le report. Ce sont ces conditions dans lesquelles nous y sommes allés et nous n?avons pas obtenu d?élus. Jugez-vous l?implantation de votre parti satisfaisante ? Elle n?est pas satisfaisante, elle doit s?améliorer. Nous étions dans certaines parties du pays où nous avons enregistré des désistements. À d?autres endroits, nous devons y être. Par exemple en 2013, il n?y avait pas de cercle sur l?étendue du territoire où il n?y avait pas de permanences des mouvements de soutien à Modibo Sidibé. Elles ont servi de base à la mise en place du parti. Nous étions allés à l?époque aux élections législatives et nous avions obtenu 8 députés, avec des alliances sur lesquelles nous avions beaucoup discuté. D?ailleurs, après, 6 députés nous ont quittés parce que nous n?épousions pas les mêmes visions. Aujourd?hui, le parti a défini nettement un plan stratégique de développement de son implantation. Beaucoup de mouvements sont en train de se créer autour du Président que je suis et je crois que ce sont des choses qui pourront nous permettre de consolider davantage le parti et surtout de le développer à l?horizontale pour plus d?adhésions encore. Envisagez-vous de vous retirer de la tête des Fare à l?issue de votre mandat actuel ? Ce sont les militants qui élisent et cela se fait lors des congrès. Si le congrès reconduit X fois le même Président à la tête du parti, c?est la volonté du congrès. Maintenant, si celui-ci, pour une raison ou une autre, ne veut pas se présenter comme candidat, il a aussi le droit de ne pas le faire. Pour l?instant, il faut rappeler que les Fare n?existent en tant que parti politique que depuis avril 2013. Nous avons tenu notre premier congrès ordinaire en 2014. J?ai un mandat, mais je n?en suis qu?à mon premier. Au prochain congrès, on verra bien comment la situation se présentera par rapport au bilan que je ferai moi-même, avec la direction du parti, et ce que nous pourrons convenir de faire. Mais je crois qu?il faut sortir de ces clichés, cela ne sert à rien. Ce n?est pas une preuve de gouvernance. La gouvernance dans les partis politiques c?est autre chose. Dans le Manifeste des Fare, nous demandons qu?il y ait une libre gouvernance des partis politiques. Ce n?est pas une question de renouvellement à la tête du parti, c?est beaucoup plus profond que cela. Une partie des Maliens croit en votre potentiel pour présider aux destinées du pays après la transition. Serez-vous candidat en 2022 ? Permettez-moi d?abord de dire que je suis honoré si ce que vous dites est exact et que beaucoup de nos compatriotes pensent que je peux faire quelque chose pour mon pays. Maintenant, je suis membre d?un parti politique. Les déclarations de candidature obéissent à des procédures. Mais il est tout simplement clair que je ne me soustrairai à aucune responsabilité si je pense que les conditions permettent qu?avec d?autres, toute une équipe, et les Maliens, nous sortions le pays de l?impasse. Avec du recul, estimez-vous avoir fait une erreur de jugement en adhérant au M5-RFP et en vous affichant avec certains politiques qui n?ont pas bonne presse ? C?est vous qui dites qu?ils n?ont pas bonne presse. Pour ma part, je n?ai pas fait de calcul. Nous n?étions pas là au rassemblement du 5 juin. Nous avions juste fait une déclaration la veille de la marche. Depuis 2013 nous demandons un rassemblement des forces patriotiques, républicaines et démocratiques pour permettre au pays de sortir de la crise de façon globale. Cela a été de tout temps notre combat. Donc, si au niveau du M5 le combat c?est d?aller vers la refondation de l?État, le changement de modèle tel que nous le souhaitons, et si les toutes conditions sont réunies, il n?y a aucune raison de ne pas y aller. Il faut éviter de faire des fixations autour des personnes à des moments cruciaux. C?est la question du pays qui est en jeu. Aujourd?hui, le pronostic vital du Mali est engagé. À partir de là, il faut de la volonté pour que trouvions un minimum de consensus pour un vrai redressement de notre pays. Et après, bien entendu, nous allons voir ce qui doit être fait. Je pense que personne ne doute un seul instant que le changement du Mali amènera un changement fondamental de la politique. Était-ce un moyen de vous rapprocher de l?imam Dicko en vue des prochaines échéances ? J?ai beaucoup de respect pour l?Imam Dicko, je l?estime pour ce qu?il représente, mais ce n?était pas cela notre démarche. Notre démarche, c?était de venir au M5 dès lors que c?était devenu un rassemblement des forces patriotiques. Et quand nous nous sommes assuré que le caractère républicain, les valeurs politiques, démocratiques et patriotiques que nous portions n?étaient pas remises en cause dans ce rassemblement et que l?objectif était juste de nous donner la possibilité de changer, je crois que nous avons choisi d?y aller. Nous n?avons aucun regret par rapport à cela. Nous avons passé des années à être constants dans notre volonté d?agir pour le Mali, de ne pas être dans des compromissions contre ce pays. Certains observateurs ont un temps pensé que vous pourriez être le candidat du M5 à la prochaine présidentielle, mais cette éventualité de candidature, au sein et soutenue par le M5, a été écartée par certains membres du Comité stratégique? Chacun des membres du Comité stratégique est peut-être dans son droit de donner son point de vue individuel sur quelque chose. Mais, à ma connaissance, le Comité stratégique n?a rien écarté en tant qu?organe politique. Vous savez, la lutte du M5 comptait trois phases. C?était d?abord de permettre de sortir du régime et de mettre fin à la mauvaise spirale, ce qui a été fait le 18 août, puis d?ouvrir une transition qui permette de créer les fondamentaux pour aller vers une démocratie refondée. Et cette démocratie refondée, avec les élections qui vont la porter, il faut que le M5, en tant que force politique de changement, soit là pour la porter, pour en être garant et pour aussi remporter les législatives et s?assurer que les premiers pas du Mali Koura seront bien posés. Le Mali a besoin d?un changement et changer de modèle demande parfois du temps, mais dès le début il faut que les pas soient assurés. Le M5 a une responsabilité politique. La question de candidatures n?a pas été exclue au niveau du M5, elle est en débat. Il semble que le M5 soit divisé aujourd?hui. Certains dénonçant la mainmise et la gestion personnelle de certains membres du Comité exécutif, Choguel Maiga et Mountaga Tall notamment. Quel est votre position à ce sujet ? Je ne suis pas dans des questions de personnes. Le Comité stratégique est en train de se structurer depuis quelques temps. Cette structuration est en voie d?être achevée, donc les camarades du Comité stratégique choisiront de leur plein gré qui et qui doivent occuper certains postes à l?issue de la structuration. Cela va être fait simplement par rapport à la capacité de la personne, pour répondre à la mission particulière qui lui sera confiée dans cette position au sein du comité. Le reste n?a pas d?importance. Vous portez un projet de société, « Mali Horizon 2030 », dans lequel vous insistez sur la refondation du Mali et la transition générationnelle. En quoi ce projet peut-il contribuer à redresser le pays ? Ce projet a été pensé à un moment où très peu de gens parlaient de transition. Nous avions dit alors qu?il faut mettre le pays en transition. Le projet s?est penché sur cela. Comme c?est une transformation structurelle, il faut qu?il y ait une masse critique de Maliens qui adhère à cela. Même si j?étais élu et que j?avais la légitimité, je la remettrai en débat sur un certain nombre de questions fondamentales, pour que les Maliens disent la direction dans laquelle ils veulent aller et de quelle manière. Il faut une démocratie participative pour replacer le citoyen dans un schéma de décisions critiques, surtout quand elles vont engager le pays dans la durée, les deux ou trois générations à venir. La solidité et l?applicabilité de tout projet de gouvernance, c?est d?abord un consensus entre les Maliennes et les Maliens. C?est pour cela que pour nous tout est lié. Il faut sortir du court-termisme. Or les mandats démocratiques de 5 ans nous y enferment et nous avons besoin des projets à long terme si nous voulons vraiment poser les fondamentaux et sortir de la situation actuelle. Pour que ces projets à long terme ne butent pas sur les mandats de cinq ans, il faut qu?il y ait un consensus pour que chaque gouvernement qui viendra soit tenu de mettre en place ce que les Maliens auront décidé de faire. C?est la seule manière républicaine et démocratique de transcender les cinq ans politiques et de s?assurer que le minimum fondamental pour le Mali sera fait. Quel est votre position par rapport à un éventuel dialogue avec les djihadistes ? Avant la chute d?IBK j?avais très clairement demandé avec qui nous allons dialoguer, autour de quoi et pourquoi faire ? C?est la question fondamentale. Personne ne peut exclure le dialogue dans un conflit. Mais il faut que celui qui veut mener le dialogue se positionne en termes de rapports de forces dans le conflit et sache à quel moment ouvrir le dialogue, sur quoi et pour quelle finalité. S?asseoir et dire simplement : on veut dialoguer n?est pas la bonne méthode. Propos recueillis par Germain Kenouvi Cet article Mali Modibo Sidibé: « Je ne me soustrairai à aucune responsabilité » est apparu en premier sur Journal du Mali. |
25/03/2021
Suspension du service de la dette : La CEA invitée à s?impliquerLe Comité d?experts de la Conférence des ministres africains des Finances, de la planification et du développement économique sollicite le soutien de la Commission économique pour l?Afrique (CEA) pour accompagner le plaidoyer des États membres en faveur de la prolongation de l?Initiative de suspension du service de la dette (Dssi) jusqu?à fin 2021. Il invite également la CEA à apporter un appui technique aux États et à la Commission de l?Union africaine concernant la Zone de libre-échange continentale. Parmi les questions abordées par la réunion du Comité d?experts figure la nécessité pour la Commission économique pour l'Afrique (CEA) de soutenir les États membres dans leur demande de prolongation de l?Initiative de suspension du service de la dette (Dssi) pour permettre de libérer 8 milliards de dollars supplémentaires pour la relance en 2021 et offrir des possibilités de répondre aux difficultés nées de la crise. Les différentes initiatives de la CEA pour aider les États membres à tirer parti de l?adoption de la Stratégie continentale conjointe de la Commission de l?Union africaine et des Centres africains pour le contrôle et la prévention des maladies pour la pandémie de Covid-19, en mars 2020, en tant que modèle et plan directeur de coordination des efforts régionaux pour assurer la synergie, tout en sauvant des vies et en soutenant le développement social et économique de l?Afrique, ont aussi été appréciées par les experts, dont la réunion a pris fin le 21 mars 2021. Fatoumata Maguiraga Cet article Suspension du service de la dette : La CEA invitée à s?impliquer est apparu en premier sur Journal du Mali. |
25/03/2021
Mali : Réconciliation à Farabougou-Coro/Ségou: Le Haut Conseil du Mali rassure la populationAprès avoir réussi un accord verbal de cessez-le-feu entre les communautés en conflit dans les localités de Niono, le Haut Conseil Islamique du Mali, à travers une délégation conduite par Moufa Haidra, s?est rendu dans le village de Farabougou-Coro le mardi 23 mars dernier. L?objectif de cette visite était de rassurer la population sur l?accord [&]
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25/03/2021
Mali : Dicko face au destin malien: Pourquoi ce long silence ?Face à un destin aussi menaçant au Mali, destin dont nul ne saurait prédire l?avenir pour l?heure. Tant l?avenir est incertain, tant la volonté est obscure et cachée. L?on ne sait pas où mettre les pieds. L?imam Dicko avait haussé le ton. Depuis, il vit dans le noir. Pourquoi ce long silence ? Et pourtant [&]
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25/03/2021
Mali : Dégradation des m?urs dans la société: L?impact des réseaux sociaux !Actuellement, les réseaux sociaux sont de plus en plus utilisés. Ils servent à véhiculer l?information. Également, son utilisation tient lieu de communicant à de nombreux internautes. Très utilisés, les réseaux sociaux nuisent gravement à nos sociétés. Chaque jour ou, disons chaque minute, des millions de personnes se connectent, créent des comptes et se communiquent [&]
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25/03/2021
Mali : Reformes politiques et institutionnelles : des acteurs de la société civile proposentUn forum national sur les reformes politiques et institutionnelles initiée par l?Association des jeunes pour la citoyenneté active et la démocratie (AJCAD- Mali) et ses partenaires, a pris fin ce mercredi 25 mars 2021 à Bamako. Après deux jours d?échanges, de nombreux acteurs de la société civile ont demandé que des modifications soient apportées à [&]
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25/03/2021
Mali : 22e session ordinaire de l?UEMOA, aujourd?hui: La campagne de vaccination contre la COVID-19 et la situation économique de l?espace au menuLa 22e Session ordinaire de la Conférence des chefs d?État et de gouvernement de l?Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA) se tiendra par visioconférence à cause de la crise sanitaire mondiale. Le nouveau coronavirus sera au c?ur des débats avec le point de « la situation au sein de l?espace communautaire à l?heure des campagnes de [&]
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25/03/2021
Mali : Difficile transition: Bonnes et utopiques propositions de Aboubacar Sidiki Fomba à Bah N?DawFace à l?ampleur de la crise M. Aboubacar Sidiki Fomba, membre du Conseil National de la Transition a fait une série de propositions au président de la République, M. Bah N?Daw pour reprendre le gouvernail du pays. En sommes, le conseiller fait des propositions en 17 points. Malgré le putsch et la prise du pouvoir [&]
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25/03/2021
Mali : Tombouctou : la MINUSMA échange avec les populations de NiafunkéLe 22 Mars dernier, une délégation du bureau régional de la MINUSMA à Tombouctou, conduite par son chef Riccardo MAIA s?est rendue à Niafunké, cercle situé à environ 160 km de la cité des 333 saints. La mission à laquelle ont pris part Oumar Koly KEITA, le Conseiller aux Affaires économiques du Gouverneur de Tombouctou [&]
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25/03/2021
Mali : La photographie au c?ur de la commémoration du 26 Mars: Interroger le passé pour penser l?avenirC?est le souhait de l?AMAP en proposant cette exposition photos, à travers laquelle cette activité, véritable devoir de mémoire pour contribuer à une prise de conscience de l?importance de cette étape historique de la vie de notre pays.Faire comprendre l?importance du 26 Mars aux Maliens de toutes les générations, rappeler les péripéties de ce mouvement [&]
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25/03/2021
Mali : En fin de mission au Mali, le chef de la Minusma l?a affirmé à l?issue de sa rencontre avec le président Bah N?daw: « Partout où je serai, je resterai l?avocat pour la stabilité et la paix au Mali »Faisant ses adieux aux plus hautes autorités de la Transition, le Représentant spécial du Secrétaire Général des Nations-unies, Chef de la MINUSMA, Mahamat Saleh Annadif, a rencontré successivement, le mardi 23 mars dernier, le Premier ministre Moctar Ouane et le président de la Transition, Bah N?Daw. Au cours de son audience avec ce dernier, il [&]
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25/03/2021
Mali : SAIGNEE AU SEIN L?EX-PARTI PRESIDENTIEL RPM : Cinq hauts cadres dont le maire de Gao et l?ancien ministre Malick Alhousseini Maïga démissionnentL?ex-parti présidentiel Rassemblement pour le Mali (RPM) vient de subir sa première série de démissions de hauts cadres depuis la perte brutale du pouvoir le 18 août 2020. C?est la section de la région de Gao qui a enregistré cette première série de démissions de cadres. Il s?agit de Dacka Boubacar, maire de la Commune [&]
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25/03/2021
Mali : OHADA : Les ministres en conclave à BamakoLe président de la Transition a présidé, hier à l?hôtel Sheraton, la 50e session du conseil des ministres de l?Organisation pour l?harmonisation en Afrique du droit des affaires (Ohada). A Bamako, les ministres des pays membres de l?Organisation ont approuvé le projet budget de l?Ohada, le rapport du commissaire aux comptes pour l?exercice 2019, les [&]
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25/03/2021
Mali : CERCLE DE DIOILA : Un accident fait un mort et des blessésUn véhicule de transport 207 a dérouté, le jeudi 18 mars dernier, pour finir sa course dans un ravin, faisant plusieurs blessés et un mort. Les occupants de ce véhicule venaient de Bamako pour se rendre dans leur village dans le cadre d?un sacrifice collectif. Les ressortissants du village de Konfon, dans la Commune rurale de [&]
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25/03/2021
Mali : Koro réclame de l?eau à la SOMAPEP et SOMAGEP : «Nous sommes à bout de souffle »Dans les villages de Pomorododiou, Pomorododiou-Bégné, Péné et Gorobouro dans la commune de Koro, les habitants vivent le pire moment de leur histoire, et cela est dû à une extrême pénurie d?eau. Une délégation a été dépêchée à Bamako par les autorités locales avec à sa tête, le 1er adjoint au maire de Koro, Issa [&]
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