« On est traumatisés, essoufflés et toujours aucune lueur despoir », sapitoie Mohamed, un réfugié soudanais, affalé sur une natte dans un centre de transit onusien à
Agadez, dans le nord du Niger. « Il ny a pas de doute, nous sommes tombés dans le piège infernal du désert », renâcle un de ses compagnons dinfortune. Depuis septembre 2017, [&]