Les autorités maliennes devaient continuer dimanche, veille de son ouverture, de tenter de convaincre groupes armés et opposition de revenir sur leur refus de participer à la « Conférence dentente nationale », présentée comme un jalon essentiel pour la réconciliation au Mali. Dans une déclaration commune vendredi, lex-rébellion à dominante touareg de la Coordination des Mouvements [&]