Une partition intense de Rokia Traoré, référence de la musique malienne, et une chorégraphie sans répit du Belgo-burkinabè Serge Aimé Coulibaly: lopéra contemporain « Kirina », présenté ce weekend à Marseille (sud-est de la France), évoque en 90 minutes lerrance, la lutte et lespoir. Donné en première mondiale au Festival de Marseille, « Kirina » sera ensuite en [&]