Une douzaine de vidéos présentées comme des preuves des violences sexuelles reprochées au patron de presse marocain Taoufik Bouachrine ont polarisé les audiences à huis clos, cette semaine, à Casablanca. Arrêté le 23 février et incarcéré depuis, le directeur du quotidien indépendant Akhbar al-Yaoum est accusé de « traite dêtres humains », « abus de pouvoir à des [&]