Confronté à ses anciennes victimes, lex-chef de la « police islamique » de Gao sest défendu vendredi au cours de son procès davoir « coupé des mains » de voleurs dans cette ville du nord du Mali contrôlée par des jihadistes entre 2012 et 2013. « Ce nest pas moi. Ce sont des jihadistes mauritaniens, algériens et sahraoui qui coupaient [&]