Les autorités camerounaises ont de très forts doutes sur les affirmations de la kamikaze arrêtée vendredi qui dit faire partie des 276 lycéennes enlevées en avril 2014 à Chibok (Nigeria) par les islamistes de Boko Haram, a-t-on appris lundi de source administrative. « Nous ne pensons pas quelle est une fille (élève) de Chibok », a déclaré [&]