Durant sa présidence, Hissène Habré exerçait un « droit de vie et de mort » sur son peuple et sest « substitué à Dieu » en usant dune redoutable police politique, ont affirmé lundi les avocats des parties civiles devant le tribunal spécial africain qui juge à Dakar lex-dirigeant tchadien pour « crimes contre lhumanité ». Ce procès inédit le [&]