À Alger, on négocie depuis le 16 juillet, mais dans le Septentrion, on se bat. Entre larmée, les milices et les rebelles touaregs, rien ne va plus& Seuls les jihadistes et les trafiquants paraissent y trouver leur compte. Le contraste est saisissant. Le gouffre entre, dun côté, les intentions des dirigeants (chefs de guerre ou [&]