Après le second putsch au Mali, la CMA « décide de ne pas accompagner la transition actuelle sans un compromis garanti sur ses priorités. » Présente au sein du premier gouvernement de transition et du Conseil national de Transition, l?organe législatif, la Coordination des mouvements de l?Azawad (CMA ex-rebelles), réclame des gages sur l?application effective des dispositions de l?accord de paix [&]